La bataille que se livrent les acteurs politiques vire vers l’expression achevée de la folie et de la névrose. Et la dépression du langage qui altère le débat politique ne se manifeste que dans le PS, le PDS et l’APR, des partis de pouvoir infectés d’une dégénérescence lobaire fronto-temporale qui rend fous les acteurs devant leurs intérêts menacés et leurs agendas hypothéqués.
Ce sont des intérêts menacés et un agenda hypothéqué qui font vivre aux Socialistes un traumatisme autodestructeur, un traumatisme qui se manifeste par une diabolisation extrême de camarades considérés comme des démons à faire déguerpir parce qu’ils fulminent contre les options boursières d’une certaine tendance du parti.
Le Khalifat socialiste est pour cette tendance un grenier de monstres effrontés qui refusent de s’accommoder de l’agenda politique de la Tanorie. Et pour les gens de ce Khalifat en déficit de minarets qui indiquent clairement leur position, cette Tanorie est un désastre politique qui mène le parti vers l’abime. Et les mots tombent bas, bas et bas comme il en est ainsi du langage de tout fou de boulevard qui, comme un chien aux abois, se transforme en aboyeur.
Si face à ces Socialistes, certains Libéraux restent fidèles au Vieux de Versailles, d’autres se perdent dans leurs fourberies. Contre les contradicteurs qui leur refusent une marche triomphaliste d’apostasiés, ces égarés libéraux devenus des renifleurs de sinécures optent pour la médisance et le déballage, amusant le public par des bourdes éhontées qui compromettent tristement leur crédibilité.
Me Ousmane Ngom voit sa bourde se retourner contre lui. Pape Samba Mboup lui donne l’attribut d’un ingrat et Samuel Sarr révèle une vaine volonté du Ministre de l’Intérieur qu’il fut de confisquer la victoire de Macky en 2012.
Ailleurs, dans le Baol, leur sœur Aïda Mbodji dit que son ancien frère de parti, Pape Diouf, qui a transhumé vers le Macky, est un trouillard. Et en réplique, celui-ci, totalement talé dans les matoiseries de la Lionne de Bambey qui lacère de ses griffes son pauvre faciès, argue qu’elle aurait besoin de « cure psychanalytique à cause de séquelles du traumatisme qu’elle a subies durant son adolescence ». Hideuse réplique de l’ancien collaborateur qu’il fut et qui ne découvre que dans la querelle puérile que son ancienne sœur de parti traine des séquelles de traumatisme !
Certes ces séquelles ne sont pas en Mame Mbaye Niang de l’APR. Mais certains de ses camarades de parti insinuent que le pouvoir le rend si fou qu’il ose mettre en apnée toute solidarité interne en remettant en cause toute légitimité historique du frère de Chef. Et les réactions spontanées de ses frères ou camarades de parti n’ont fait que renvoyer à la danse démentielle des égarés dont la seule délectation est l’avanie du propos et l’affront.
Ce glissement vers la folie s’élargit même dans les aphorismes drolatiques et hilarants de la Société civile avec l’Universitaire Malick Ndiaye. « Wathiathiatie, Thiothiothiothie, Kathiathiathie, Fagnefagne, le pouvoir n’est pas une affaire de Lamb ! », égaye-t-il comme aurait dit l’aliéné de Rue Carnot.
La folie envahit ainsi le champ politique. De nombreux acteurs politiques dégagent des indices d’une maladie psychique qui semble altérer leurs facultés mentales. À travers les envolées hallucinatoires de borne fontaine, se lit une tragique réduction de leurs capacités cognitives et cette réduction rend le langage ordurier et les répliques politiques rudimentaires.
La neurodégénérescence du comportement immodéré et du langage démentiel de ces acteurs politiques, rend bien compte d’une classe politique qui perd la raison et se laisse aller à d’hideux enfantillages.
Ce sont des intérêts menacés et un agenda hypothéqué qui font vivre aux Socialistes un traumatisme autodestructeur, un traumatisme qui se manifeste par une diabolisation extrême de camarades considérés comme des démons à faire déguerpir parce qu’ils fulminent contre les options boursières d’une certaine tendance du parti.
Le Khalifat socialiste est pour cette tendance un grenier de monstres effrontés qui refusent de s’accommoder de l’agenda politique de la Tanorie. Et pour les gens de ce Khalifat en déficit de minarets qui indiquent clairement leur position, cette Tanorie est un désastre politique qui mène le parti vers l’abime. Et les mots tombent bas, bas et bas comme il en est ainsi du langage de tout fou de boulevard qui, comme un chien aux abois, se transforme en aboyeur.
Si face à ces Socialistes, certains Libéraux restent fidèles au Vieux de Versailles, d’autres se perdent dans leurs fourberies. Contre les contradicteurs qui leur refusent une marche triomphaliste d’apostasiés, ces égarés libéraux devenus des renifleurs de sinécures optent pour la médisance et le déballage, amusant le public par des bourdes éhontées qui compromettent tristement leur crédibilité.
Me Ousmane Ngom voit sa bourde se retourner contre lui. Pape Samba Mboup lui donne l’attribut d’un ingrat et Samuel Sarr révèle une vaine volonté du Ministre de l’Intérieur qu’il fut de confisquer la victoire de Macky en 2012.
Ailleurs, dans le Baol, leur sœur Aïda Mbodji dit que son ancien frère de parti, Pape Diouf, qui a transhumé vers le Macky, est un trouillard. Et en réplique, celui-ci, totalement talé dans les matoiseries de la Lionne de Bambey qui lacère de ses griffes son pauvre faciès, argue qu’elle aurait besoin de « cure psychanalytique à cause de séquelles du traumatisme qu’elle a subies durant son adolescence ». Hideuse réplique de l’ancien collaborateur qu’il fut et qui ne découvre que dans la querelle puérile que son ancienne sœur de parti traine des séquelles de traumatisme !
Certes ces séquelles ne sont pas en Mame Mbaye Niang de l’APR. Mais certains de ses camarades de parti insinuent que le pouvoir le rend si fou qu’il ose mettre en apnée toute solidarité interne en remettant en cause toute légitimité historique du frère de Chef. Et les réactions spontanées de ses frères ou camarades de parti n’ont fait que renvoyer à la danse démentielle des égarés dont la seule délectation est l’avanie du propos et l’affront.
Ce glissement vers la folie s’élargit même dans les aphorismes drolatiques et hilarants de la Société civile avec l’Universitaire Malick Ndiaye. « Wathiathiatie, Thiothiothiothie, Kathiathiathie, Fagnefagne, le pouvoir n’est pas une affaire de Lamb ! », égaye-t-il comme aurait dit l’aliéné de Rue Carnot.
La folie envahit ainsi le champ politique. De nombreux acteurs politiques dégagent des indices d’une maladie psychique qui semble altérer leurs facultés mentales. À travers les envolées hallucinatoires de borne fontaine, se lit une tragique réduction de leurs capacités cognitives et cette réduction rend le langage ordurier et les répliques politiques rudimentaires.
La neurodégénérescence du comportement immodéré et du langage démentiel de ces acteurs politiques, rend bien compte d’une classe politique qui perd la raison et se laisse aller à d’hideux enfantillages.