En 2016, un trou de 800 millions de francs Cfa a été décelé par le rapport du comité national de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE).
Les chiffres des versements des compagnies minières bidonnées ? Tout porte à le croire au vu du fossé entre les calculs de l’Etat et ceux des entreprises extractives. Un gap de 0,8 % a été décelé entre les deux déclarations en 2016. Ce qui correspond à environ 800 millions de francs Cfa, selon Pape Alioune Badara Paye de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie) qui présentait, hier, les rapports 2015 et 2016. Le gap de 2015 est encore plus important car le trou enregistré, est de 1,4 %. Ces écarts, bien qu’ils soient décroissants, c’est-à-dire passant de 5 milliards en 2013 à 800 millions en 2016, ont néanmoins été jugés minimes.
La faiblesse des paiements sociaux des entreprises a aussi été décriée vu l’augmentation de la production et des retombées. Les dépenses sociales sont estimés à 1 milliard 750 millions de francs Cfa, soit environ 1,5 % des recettes. Ces versements sociaux ont un volet obligatoire et un autre volontaire.
Hormis ces écarts qui reviennent à chaque calcul des paiements et versements des industries minières et la faiblesse des contributions sociales, le comité national de l’Itie présente une tendance à la hausse des versements des sociétés extractives (secteur minier et pétrolier y compris).
Walf
Les chiffres des versements des compagnies minières bidonnées ? Tout porte à le croire au vu du fossé entre les calculs de l’Etat et ceux des entreprises extractives. Un gap de 0,8 % a été décelé entre les deux déclarations en 2016. Ce qui correspond à environ 800 millions de francs Cfa, selon Pape Alioune Badara Paye de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie) qui présentait, hier, les rapports 2015 et 2016. Le gap de 2015 est encore plus important car le trou enregistré, est de 1,4 %. Ces écarts, bien qu’ils soient décroissants, c’est-à-dire passant de 5 milliards en 2013 à 800 millions en 2016, ont néanmoins été jugés minimes.
La faiblesse des paiements sociaux des entreprises a aussi été décriée vu l’augmentation de la production et des retombées. Les dépenses sociales sont estimés à 1 milliard 750 millions de francs Cfa, soit environ 1,5 % des recettes. Ces versements sociaux ont un volet obligatoire et un autre volontaire.
Hormis ces écarts qui reviennent à chaque calcul des paiements et versements des industries minières et la faiblesse des contributions sociales, le comité national de l’Itie présente une tendance à la hausse des versements des sociétés extractives (secteur minier et pétrolier y compris).
Walf