Décédé des suites d’une courte maladie, ce mercredi, un peu après 12 heures, à l’hôpital Aristide le Dantec de Dakar, Doudou Ndiaye Coumba Rose, sera inhumé ce jeudi, après la levée du corps prévu à 11 heures à la mosquée Abba Sall aux Hlm 1.
A la grande maison du défunt, sise aux Hlm 1, où vit sa première femme, c’est la consternation. A notre arrivée sur les lieux, à 15 heures, elle ne désemplissait pas, en majorité de femmes assises à même le sol, foulard sur la tête. De temps à temps, un cri strident suivi de pleurs et de lamentation vient se confondre à la tristesse qui se lisait sur les visages. Ce sont des proches qui viennent d’arriver. Un homme, un arabisant psalmodiait des versets du Coran, à la Gloire du Seigneur.
C’est à 17 heures, que Youssou Ndour, tout de blanc vêtu, franchit la porte de la maison mortuaire. Conduit à, l’intérieur, il a d’abord tenu à rendre grâce à Dieu, avant de présenter ses condoléances à la première femme de l’illustre disparu.
A sa sortie, il s’est prêté aux questions des journalistes venus nombreux, éterniser les premiers témoignages.
«C’est une grande surprise pour moi. Le mardi 18 août, nous étions ensemble à l’enterrement de son ami Vieux Sing Faye, père de Mbaye Dièye. Les choses sont allées très vide, mais nous ne pouvons que nous en remettre à Dieu. Doudou Ndiaye Rose est un grand homme, un ambassadeur de la culture sénégalaise. Je ne fais rien sans l’informer auparavant. Il était un modèle pour moi. Il ne cessait de me donner des conseils.
Avec cette perte, ce n’est pas seulement le Sénégal qui est en deuil, mais le monde entier. Au Japon, si on parle de Youssou Ndour, on parle aussi de Doudou Ndiaye Rose. C’est pourquoi, son décès a mis le monde de la culture dans la consternation totale. Nous prions que Dieu qui en a décidé ainsi, l’accueille dans son Paradis», a déclaré l’artiste planétaire.
Selon son fils aîné Thiouna Ndiaye, âgé de 65 ans, «mon père a surpris tout son monde. Pourtant, ce mercredi, à l’aube, en compagnie de sa première épouse, il est allé prier à la mosquée. C’est un peu après midi qu’on l’a emmené à l’hôpital Aristide Le Dantec. C’est là-bas qu’il a été rappelé à Dieu. Mon père était venu en mission sur terre, c’est cette mission qui est terminée. Il nous a éduqués dans le travail, le droit chemin et sur la religion musulmane. Toute sa vie était remplie de bonnes œuvres. Sa famille ne souffrait de rien, car il a su prendre tout le monde en considération, sans distinction».
Mame Less Thioune, compagnon infatigable de Doudou Ndiaye Rose, larmes aux yeux derrières des lunettes de soleil, témoigne : «depuis l’âge de 13 ans, je ne me suis jamais séparé de l’homme. Nous étions des confidents. Aucun homme, ne peut aujourd’hui, remplacer Doudou Ndiaye sur terre, au regard de ce qu’il a fait. Il a su adopter tout le monde. Tu n’arrives pas chez lui et mourir de faim. Il ne reste qu’à demander au Tout Puissant de l’accueillir dans son Paradis. Partout à travers le monde, en France, en Italie, en Espagne, aux Etats Unis, les proches ont pleuré l’homme à l’annonce de son décès».
Pour l’artiste Doudou Ndiaye Mbengue, «Doudou Ndiaye Rose est un homme multidimensionnel. Il a guidé nos pas d’artistes, nous a fait voyager partout à travers le monde. C’est le Sénégal tout entier qui perd un grand homme. C’est le Président de la République et sa femme Maréme Faye qui ont perdu un homme de valeur, de générosité. Mes condoléances au pays tout entier».
Pape Ndiaga Ndiaye, petit fils de Doudou Ndiaye Rose : «Il nous a inculqué le travail, la bonne éducation. Nous avons perdu un ami, un compagnon, car il nous invite partout dans ses déplacements à Dakar. Nous étions fiers d’être toujours à ses côtés».
A la grande maison du défunt, sise aux Hlm 1, où vit sa première femme, c’est la consternation. A notre arrivée sur les lieux, à 15 heures, elle ne désemplissait pas, en majorité de femmes assises à même le sol, foulard sur la tête. De temps à temps, un cri strident suivi de pleurs et de lamentation vient se confondre à la tristesse qui se lisait sur les visages. Ce sont des proches qui viennent d’arriver. Un homme, un arabisant psalmodiait des versets du Coran, à la Gloire du Seigneur.
C’est à 17 heures, que Youssou Ndour, tout de blanc vêtu, franchit la porte de la maison mortuaire. Conduit à, l’intérieur, il a d’abord tenu à rendre grâce à Dieu, avant de présenter ses condoléances à la première femme de l’illustre disparu.
A sa sortie, il s’est prêté aux questions des journalistes venus nombreux, éterniser les premiers témoignages.
«C’est une grande surprise pour moi. Le mardi 18 août, nous étions ensemble à l’enterrement de son ami Vieux Sing Faye, père de Mbaye Dièye. Les choses sont allées très vide, mais nous ne pouvons que nous en remettre à Dieu. Doudou Ndiaye Rose est un grand homme, un ambassadeur de la culture sénégalaise. Je ne fais rien sans l’informer auparavant. Il était un modèle pour moi. Il ne cessait de me donner des conseils.
Avec cette perte, ce n’est pas seulement le Sénégal qui est en deuil, mais le monde entier. Au Japon, si on parle de Youssou Ndour, on parle aussi de Doudou Ndiaye Rose. C’est pourquoi, son décès a mis le monde de la culture dans la consternation totale. Nous prions que Dieu qui en a décidé ainsi, l’accueille dans son Paradis», a déclaré l’artiste planétaire.
Selon son fils aîné Thiouna Ndiaye, âgé de 65 ans, «mon père a surpris tout son monde. Pourtant, ce mercredi, à l’aube, en compagnie de sa première épouse, il est allé prier à la mosquée. C’est un peu après midi qu’on l’a emmené à l’hôpital Aristide Le Dantec. C’est là-bas qu’il a été rappelé à Dieu. Mon père était venu en mission sur terre, c’est cette mission qui est terminée. Il nous a éduqués dans le travail, le droit chemin et sur la religion musulmane. Toute sa vie était remplie de bonnes œuvres. Sa famille ne souffrait de rien, car il a su prendre tout le monde en considération, sans distinction».
Mame Less Thioune, compagnon infatigable de Doudou Ndiaye Rose, larmes aux yeux derrières des lunettes de soleil, témoigne : «depuis l’âge de 13 ans, je ne me suis jamais séparé de l’homme. Nous étions des confidents. Aucun homme, ne peut aujourd’hui, remplacer Doudou Ndiaye sur terre, au regard de ce qu’il a fait. Il a su adopter tout le monde. Tu n’arrives pas chez lui et mourir de faim. Il ne reste qu’à demander au Tout Puissant de l’accueillir dans son Paradis. Partout à travers le monde, en France, en Italie, en Espagne, aux Etats Unis, les proches ont pleuré l’homme à l’annonce de son décès».
Pour l’artiste Doudou Ndiaye Mbengue, «Doudou Ndiaye Rose est un homme multidimensionnel. Il a guidé nos pas d’artistes, nous a fait voyager partout à travers le monde. C’est le Sénégal tout entier qui perd un grand homme. C’est le Président de la République et sa femme Maréme Faye qui ont perdu un homme de valeur, de générosité. Mes condoléances au pays tout entier».
Pape Ndiaga Ndiaye, petit fils de Doudou Ndiaye Rose : «Il nous a inculqué le travail, la bonne éducation. Nous avons perdu un ami, un compagnon, car il nous invite partout dans ses déplacements à Dakar. Nous étions fiers d’être toujours à ses côtés».