Le président Macky Sall avait «sonné» la fin du débat sur la réduction de son mandat qu’il compte soumettre à l’appréciation du peuple par voie référendaire. Une option tantôt agitée, tantôt discréditée par ses proches qui continuent d’enfoncer la brèche ouverte qui monopolise le débat politique depuis bien des mois.
En effet, sommé par ses opposants de respecter sa promesse de campagne en procédant à la réduction de 7 à 5 ans de son mandat en cours, le chef de l’Etat qui a annoncé la saisie du Conseil constitutionnel, se trouve très mal à l’aise surtout quant aux voies et moyens légaux par lesquels il devrait (ou pourrait) procéder.
La pléthore d’avis de constitutionnalistes, très opposés sur la question, n’est pas pour faciliter la tâche au président de la République pris entre deux feux : celui des défenseurs et souteneurs du mandat de sept ans pour lequel il est élu, et celui des «légalistes» qui l’invitent au respect de la parole donnée et le mettent en garde contre toute tentative de «wax waxeete» (dédit) qui a coûté cher à son prédécesseur, Abdoulaye Wade.
Et selon les différentes sorties dans la presse sur la question, le débat continue de faire rage et d’opposer la classe politique. Il faut rappeler que c’est le président Macky Sall lui-même qui avait ordonné à ses partisans et militants de l’Apr de ne plus s’exprimer sur la question. Depuis lors, tout est prétexte à un avis sur les voies et moyens à emprunter ou pour mettre en œuvre cette promesse, ou pour encourager le président à se dédire. L’Apr et ses militants quant à eux, sont toujours dans cette phase récréative et continuent de s’adonner à cœur joie à ce débat qui sera tranché seulement le jour où le président Macky Sall aura indiqué clairement son choix définitif dont il sera le seul à en assumer les conséquences.
La dernière intervention en date, celle du député de l’Apr et coordonnateur du parti présidentiel à Mbacké, Moustapha Cissé Lô qui encore une fois, a exprimé son opposition au respect d’une promesse de campagne, une réduction du mandat qui risque d’envoyer l’Apr dans l’opposition avant l’heure. Convaincu, est-il, que «L’Apr n’a pas la capacité de mobilisation nécessaire pour gagner des élections». et que «ces alliés qui demandent à Macky de faire 5 ans, ne voteront pas pour lui».
seneweb News
En effet, sommé par ses opposants de respecter sa promesse de campagne en procédant à la réduction de 7 à 5 ans de son mandat en cours, le chef de l’Etat qui a annoncé la saisie du Conseil constitutionnel, se trouve très mal à l’aise surtout quant aux voies et moyens légaux par lesquels il devrait (ou pourrait) procéder.
La pléthore d’avis de constitutionnalistes, très opposés sur la question, n’est pas pour faciliter la tâche au président de la République pris entre deux feux : celui des défenseurs et souteneurs du mandat de sept ans pour lequel il est élu, et celui des «légalistes» qui l’invitent au respect de la parole donnée et le mettent en garde contre toute tentative de «wax waxeete» (dédit) qui a coûté cher à son prédécesseur, Abdoulaye Wade.
Et selon les différentes sorties dans la presse sur la question, le débat continue de faire rage et d’opposer la classe politique. Il faut rappeler que c’est le président Macky Sall lui-même qui avait ordonné à ses partisans et militants de l’Apr de ne plus s’exprimer sur la question. Depuis lors, tout est prétexte à un avis sur les voies et moyens à emprunter ou pour mettre en œuvre cette promesse, ou pour encourager le président à se dédire. L’Apr et ses militants quant à eux, sont toujours dans cette phase récréative et continuent de s’adonner à cœur joie à ce débat qui sera tranché seulement le jour où le président Macky Sall aura indiqué clairement son choix définitif dont il sera le seul à en assumer les conséquences.
La dernière intervention en date, celle du député de l’Apr et coordonnateur du parti présidentiel à Mbacké, Moustapha Cissé Lô qui encore une fois, a exprimé son opposition au respect d’une promesse de campagne, une réduction du mandat qui risque d’envoyer l’Apr dans l’opposition avant l’heure. Convaincu, est-il, que «L’Apr n’a pas la capacité de mobilisation nécessaire pour gagner des élections». et que «ces alliés qui demandent à Macky de faire 5 ans, ne voteront pas pour lui».
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