Soit, ce sont des proches du jeune chouchou des midinettes, pour ne pas dire ceux-là nombreux qui bouffent sur son râtelier qui ont proposé de lancer ce ballon d'essai (au seuil de la sortie de son album prévu ce samedi 12 décembre 2015); en d'autres termes lancer ce premier jet d'une annonce publique (comme ce qui a été divulgué et suscité). Ce, aux fins de voir comment il sera accueilli par sa cible (le public). Mais, c'est maladroit! D'ici, nous en voyons qui vont ruer sur les brancards pour interpréter comme bon leur semble.
On en disconvient pas, le fils de Thione Seck a bel et bien le droit de nourrir l'ambition d'être du même tonneau que son "papa" comme il appelle affectueusement Youssou Ndour, mais il faudrait être d'une extrême mauvaise foi pour ne pas reconnaitre qu'il n'est pas encore comparable au "Roi du Mbalax".
Ainsi, on va se limiter ici à donner des pistes de choses à éviter et de choses à faire, sans chercher à vexer ou critiquer pour critiquer ce jeune, qui monte, monte, monte (touchons du bois!)
Ce sont de toute façon essentiellement des conseils issus d'observations empiriques qui se révèlent tout simplement de l'ordre du bon sens.
Qu'on l'accepte ou pas, on ne peut pas en tant que responsable faire ces genres de choses, lancer ce ballon de sonde (car c'est de cela qu'il s'agit) et pour cause. Primo, la musique au Senegal n'est ni une affaire de compétition ni complaisance. Secundo, Youtube est une structure européenne qui ne peut répondre a donner une couronne à notre musique. Faudrait-il rappeler que le Sénégal dispose si besoin en est d'assez d'instruments de mesure et de statistique; que ce soit au niveau du Bureau Sénégalais du Droit d'Auteur (BSDA) ou d'autres organes de diffusion du public sont disponibles pour donner un cachet à la limite du crédible.
Faudrait-il rappeler à titre illustratif que le morceau "lonkotina" de Pape Cheikh a engrangé plus de 1 million 600 milles vus en 1 mois et ils n'ont pas ameuté l'opinion.
Et, pour ceux qui l'ignorent encore, il est loisible à tout un chacun de cliquer 1000 fois ou 5000 fois sur un même titre pour avoir autant de vus sur Youtube
Interpelé sur ce cas, le Sg de l'AMS, Guissé Pène réagira pour dire: "Wally est une valeur sûre de la musique je dirais même un phénomène. Je lui demanderais de ne point tenir compte ni se fier à des complaisance, il est indéniable qu'il est l'un des artistes le plus représentatif de la scène sénégalaise alors qu'il continue de travailler; et comme on dit seul le travail paie. A force de travailler dur comme son papa Youssou Ndour, il pourra dans l'avenir porter la musique Sénégalaise". Une manière donc de suggérer à Waly de garder encore les pieds sur terre et de ne point se presser. Car, le chemin à parcourir sur le terrain glissant du show-biz est encore long et nul ne conteste son talent (touchons encore du bois).
Qui plus est, Waly gagnerait à éviter ceux-là qui lui collent le titre de "Yaa fi meun"ou le fameux "khalé laa té sokhor naa". Qu'il demande des conseils à par exemple un Abou Thioubalo. Qui est tombé de ce piédestal sur lequel d'aucuns, notamment de soit disant inconditionnels, l'avaient installé.
Certes, les étoiles ne sont pas pareilles, mais Waly a peut-être la veine d'avoir, entre autres, hérité de moyens de son ambition, c'est à dire un groupe musical au complet (le Raam daan) à sa disposition avec en point d'orgue: une boite de nuit disponible où il lui est loisible de prester chaque week-end (à sa guise).
Marcher sur le sillon de son "papa" Youssou
A la question de savoir les mérites de Youssou Ndour qui l'ont propulsé sur le toit envié de "Roi du Mbalax", Guissé Pène d'argumenter encore: "Il suffit de suivre son parcours exceptionnel pour avoir la réponse. Youssou de part la musique figure parmi les personnalités les plus influentes au monde. Il règne sans partage sur tout l'environnement musicale avec des consécrations parmi les plus prisées"
Contrairement à Waly qui a débuté certes en grande pompe et de fort belle manière en 2009 avec son fameux "Boo djoudoo", son pater Youssou Ndour a exporté le Mbalakh, des décennies durant, sur toutes les scènes du monde avec des artistes planétaires qui le regardent en égaux. Nanti d'un répertoire riche de plusieurs centaines de titres, il a pu être sacré pour ne pas dire rafler autant de distinctions: disque d'or, Kora awards, et Grammy, docteur honoris causa.
Un dernier conseil à Waly: hormis votre papa biologique, Thione Ballago Seck, vous avez vraiment de qui tenir, mais ne tombez pas dans le piège de ceux qui veulent mettre Youssou au rencart, alors qu'il reste une légende vivante à l'image de "papa Thione"!
A bon entendeur...
On en disconvient pas, le fils de Thione Seck a bel et bien le droit de nourrir l'ambition d'être du même tonneau que son "papa" comme il appelle affectueusement Youssou Ndour, mais il faudrait être d'une extrême mauvaise foi pour ne pas reconnaitre qu'il n'est pas encore comparable au "Roi du Mbalax".
Ainsi, on va se limiter ici à donner des pistes de choses à éviter et de choses à faire, sans chercher à vexer ou critiquer pour critiquer ce jeune, qui monte, monte, monte (touchons du bois!)
Ce sont de toute façon essentiellement des conseils issus d'observations empiriques qui se révèlent tout simplement de l'ordre du bon sens.
Qu'on l'accepte ou pas, on ne peut pas en tant que responsable faire ces genres de choses, lancer ce ballon de sonde (car c'est de cela qu'il s'agit) et pour cause. Primo, la musique au Senegal n'est ni une affaire de compétition ni complaisance. Secundo, Youtube est une structure européenne qui ne peut répondre a donner une couronne à notre musique. Faudrait-il rappeler que le Sénégal dispose si besoin en est d'assez d'instruments de mesure et de statistique; que ce soit au niveau du Bureau Sénégalais du Droit d'Auteur (BSDA) ou d'autres organes de diffusion du public sont disponibles pour donner un cachet à la limite du crédible.
Faudrait-il rappeler à titre illustratif que le morceau "lonkotina" de Pape Cheikh a engrangé plus de 1 million 600 milles vus en 1 mois et ils n'ont pas ameuté l'opinion.
Et, pour ceux qui l'ignorent encore, il est loisible à tout un chacun de cliquer 1000 fois ou 5000 fois sur un même titre pour avoir autant de vus sur Youtube
Interpelé sur ce cas, le Sg de l'AMS, Guissé Pène réagira pour dire: "Wally est une valeur sûre de la musique je dirais même un phénomène. Je lui demanderais de ne point tenir compte ni se fier à des complaisance, il est indéniable qu'il est l'un des artistes le plus représentatif de la scène sénégalaise alors qu'il continue de travailler; et comme on dit seul le travail paie. A force de travailler dur comme son papa Youssou Ndour, il pourra dans l'avenir porter la musique Sénégalaise". Une manière donc de suggérer à Waly de garder encore les pieds sur terre et de ne point se presser. Car, le chemin à parcourir sur le terrain glissant du show-biz est encore long et nul ne conteste son talent (touchons encore du bois).
Qui plus est, Waly gagnerait à éviter ceux-là qui lui collent le titre de "Yaa fi meun"ou le fameux "khalé laa té sokhor naa". Qu'il demande des conseils à par exemple un Abou Thioubalo. Qui est tombé de ce piédestal sur lequel d'aucuns, notamment de soit disant inconditionnels, l'avaient installé.
Certes, les étoiles ne sont pas pareilles, mais Waly a peut-être la veine d'avoir, entre autres, hérité de moyens de son ambition, c'est à dire un groupe musical au complet (le Raam daan) à sa disposition avec en point d'orgue: une boite de nuit disponible où il lui est loisible de prester chaque week-end (à sa guise).
Marcher sur le sillon de son "papa" Youssou
A la question de savoir les mérites de Youssou Ndour qui l'ont propulsé sur le toit envié de "Roi du Mbalax", Guissé Pène d'argumenter encore: "Il suffit de suivre son parcours exceptionnel pour avoir la réponse. Youssou de part la musique figure parmi les personnalités les plus influentes au monde. Il règne sans partage sur tout l'environnement musicale avec des consécrations parmi les plus prisées"
Contrairement à Waly qui a débuté certes en grande pompe et de fort belle manière en 2009 avec son fameux "Boo djoudoo", son pater Youssou Ndour a exporté le Mbalakh, des décennies durant, sur toutes les scènes du monde avec des artistes planétaires qui le regardent en égaux. Nanti d'un répertoire riche de plusieurs centaines de titres, il a pu être sacré pour ne pas dire rafler autant de distinctions: disque d'or, Kora awards, et Grammy, docteur honoris causa.
Un dernier conseil à Waly: hormis votre papa biologique, Thione Ballago Seck, vous avez vraiment de qui tenir, mais ne tombez pas dans le piège de ceux qui veulent mettre Youssou au rencart, alors qu'il reste une légende vivante à l'image de "papa Thione"!
A bon entendeur...