Sexe, sang, scandales, buzz, diffamations en série, enregistrements Whatsapp à l’insu, photos pornographiques sur facebook et vidéos obscènes sur Snapchat : c’est qui ressortirait si on essayait actuellement de faire, avec l’Iphone 7 ou la Galaxie Note, le Selfie du Sénégal. Le pays honoré par Serigne Touba et d’El Hadji Malick Sy est assurément en train d’aller à la dérive. L’heure est grave…
Le phénomène du selfie a montré comment notre société est devenue exhibitionniste. L’anonymat faisant peur, forcer le regard de l’autre, est devenu un combat qu’on veut mener à tout prix à ses risques et périls, quitte à y laisser sa noblesse, son humanité et sa généalogie ou alors insulter sa descendance en 2035. « Beut bou roussoul tothie » disent les Wolofs.
Pourtant, le Sénégal est le pays de Cheikh Ahmadou Bamba et d’El Hadji Malick Sy
En guise de couverture spirituelle de légitimation, chanteurs, danseurs, animateurs aiment, avec ostentation, citer El Hadji Malick Sy ou se fendre d’un : «Mane dama beugue Serigne Fallou ak Serigne Touba». Or, dans les faits et gestes, on prône le répréhensible que Serigne Touba, Serigne Sohibou et les soufis du Sénégalais détestaient jusqu’à la moelle. L’essentiel, c’est de faire le buzz et d’être célèbre et ainsi avoir constamment le regard admirateur et envieux de l’autre.
La dernière série de scandale avec Mbathio Ndiaye montre combien l’homosenegalensis est en train de dériver comme dans une fonte des glaces, tellement, le Sunugalien a buté sur l’iceberg de la perdition et des contrevaleurs. Le repère moral n’existe plus et à force de dire « kou nekoul ci bou goud bi, ya ngui bou gat », on laisse le Sénégal dans un kaléidoscope insondable et, pêle-mêle, les scandales à tout va… et personne ne dit rien. Hypocrisie sociale.
Si certains animateurs ne rechignent plus à utiliser un habillement féminin et un langage vulgaire et ordurier, des émissions télés rivalisent, elles, avec de l’obscénité à gogo dans des sabars télévisées mettant tous les voyeurs et maniaques sexuels dans tous ses états. « Fi adounala » ou encore « Maylène niou tchep », répondent, insouciants, les auteurs de ses obscénités. Le Sénégal marche sur la tête. Sunugal est train de chavirer.
Le Sénégal est malade, il est devenu psychopathe, maniaque, sans vergognes. Les meurtres de Fatoumata Mactar Ndiaye, du taximan de Yoff, du viol de veilles femmes à Foire et à Kolda. Les mariages des gays dans une école à Kaolack. La névrose est là présente dans toute sa nomenclature et sur le divan, même les plus grands psychologues ont du mal à comprendre le nouvel homosenegalensis.
Le phénomène du selfie a montré comment notre société est devenue exhibitionniste. L’anonymat faisant peur, forcer le regard de l’autre, est devenu un combat qu’on veut mener à tout prix à ses risques et périls, quitte à y laisser sa noblesse, son humanité et sa généalogie ou alors insulter sa descendance en 2035. « Beut bou roussoul tothie » disent les Wolofs.
Pourtant, le Sénégal est le pays de Cheikh Ahmadou Bamba et d’El Hadji Malick Sy
En guise de couverture spirituelle de légitimation, chanteurs, danseurs, animateurs aiment, avec ostentation, citer El Hadji Malick Sy ou se fendre d’un : «Mane dama beugue Serigne Fallou ak Serigne Touba». Or, dans les faits et gestes, on prône le répréhensible que Serigne Touba, Serigne Sohibou et les soufis du Sénégalais détestaient jusqu’à la moelle. L’essentiel, c’est de faire le buzz et d’être célèbre et ainsi avoir constamment le regard admirateur et envieux de l’autre.
La dernière série de scandale avec Mbathio Ndiaye montre combien l’homosenegalensis est en train de dériver comme dans une fonte des glaces, tellement, le Sunugalien a buté sur l’iceberg de la perdition et des contrevaleurs. Le repère moral n’existe plus et à force de dire « kou nekoul ci bou goud bi, ya ngui bou gat », on laisse le Sénégal dans un kaléidoscope insondable et, pêle-mêle, les scandales à tout va… et personne ne dit rien. Hypocrisie sociale.
Si certains animateurs ne rechignent plus à utiliser un habillement féminin et un langage vulgaire et ordurier, des émissions télés rivalisent, elles, avec de l’obscénité à gogo dans des sabars télévisées mettant tous les voyeurs et maniaques sexuels dans tous ses états. « Fi adounala » ou encore « Maylène niou tchep », répondent, insouciants, les auteurs de ses obscénités. Le Sénégal marche sur la tête. Sunugal est train de chavirer.
Le Sénégal est malade, il est devenu psychopathe, maniaque, sans vergognes. Les meurtres de Fatoumata Mactar Ndiaye, du taximan de Yoff, du viol de veilles femmes à Foire et à Kolda. Les mariages des gays dans une école à Kaolack. La névrose est là présente dans toute sa nomenclature et sur le divan, même les plus grands psychologues ont du mal à comprendre le nouvel homosenegalensis.
Vivianne Chedid et Cie obsédées par le buzz…
Nous sommes devenus des obsédés du buzz. Même Vivianne ose poster des photos sur sa page Facebook en déclarant qu’elle s’est mariée or, c’est juste pour le buzz de son prochain clip. Tchipri. Et le mensonge ne dérange presque personne. Ah oui, le buzz, encore du buzz, quitte pour les hommes de porter des habits de femmes et des sacs de femmes. Marylin Monroe avait fait le buzz, les belles femmes qui étaient dans le clip de Fallou Dieng « Alal» dans les années 1990 avaient aussi fait le buzz, les Miss Senegal des années 80 90 aussi, mais, le buzz n’est jamais éternel.
Cependant, les images de Mbathio Ndiaye, avec l’évolution des NTICS peuvent être éternelles, les enregistrements Whatsapp de Cheikh Sarr aussi. Qui dire de cette image vidéo postée sur un site internet et disant que c’est telle fille célèbre qui est en train de se mast…. Kawtef. Qu’est ce qui passe au Sénégal. Les scandales font légions avec affaires Goudi Town, les lesbiennes Grand Yoff, Yama, Mbathio, Nabou Diallo, le mariage de Louga, les mariages gay de Kaolack.
Toutefois, le paroxysme de ces scandales a été la parution de ces photos de Mbathio Ndiaye qui était pourtant sur une pente ascendante, avec une nouvelle carrière dans la chanson. On ne sait plus à quel saint se vouer, alors que d’habitude au Sénégal. Personne n’est pas parfait, mais, on cache toujours les défauts, puisque si tu caches un défaut d’un musulman, Dieu cachera aussi tes défauts dans l’au-dela. Alors cachons nos défauts et les défauts des autres. Mais, le Sénégal avec son nombrilisme légendaire, donneur de leçon, qui se prend pour le centre de gravité de l’univers, s’est développé un cancer sociologique et sociétal qui pourrait gangrêner tout le Sénégal en 2035 où est prévue l’émergence de Macky Sall.
Mais, qu’est ce qui s’est passé. Plus de loyauté, plus d’amitié, plus de retenue, plus de pudeur. Nous sommes tous coupables, les télés sont coupables, les médiats, les sites internet, les journalistes, les parents aussi, tous à la guillotine. Il suffit de parcourir les forums des sites internet pour se rendre compte que l’homosenegalenseis est devenu méchant, envieux, maniaque et psychopathe. Les Sénégalais adorent aujourd’hui faire mal. Comme des vampires assoiffés de sang, ils aiment mordre et sucer comme des sangsues le sang et, après, te brûler sous l’autel de la jalousie, de l’envie et de la méchanceté gratuite et du «ôtes toi que je m’y mette».
Les mariages gay de Kaolack, Goudi Town, Mbathio, Cheikh Sarr…
Quant à Louga, on se permet de célébrer un mariage en plein air où la mariée porta une tenues deux pièces ou encore quand celui qui tatoue les femmes ose poster sur les réseaux sociaux des photos obscènes et s’en vantant, ou encore quand les photos d’une danseuse nue est révélée au grand public sans gêne, ni censure. Le Sénégal marche sur la tête.
Mais, après tout en regardant dans le rétroviseur, il y a eu le fameux scandale Goudi Town qui avait défrayé la chronique. Et quoi d’autre… Au moins, on doit se départir de l’idée selon laquelle, le Sénégal a des saints, mais, nous ne sommes pas des Saints et pire nous sommes en train de devenir des êtres sataniques démoniaques qui enregistrent, vilipendent, mangent la chair de leurs prochains. Nous, les Sénégalais sommes devenus des cannibales sans pitié affreux, sans morale, sans pudeur. Le ver est dans le fruit.
Seul l’argent, la médisance et faire mal à l’autre, nous intéresse. Alors de grâce, arrêtons avec les leçons de morale. Les Sénégalais ne sont pas parfaits, mais, ils sont en train de devenir des léviathans, des monstres froids qui ont perdu leurs âmes et vu leurs corps et leur humanité transformés en des bébés de Victor Frankenstein. Que DIEU nous fasse miséricorde. Nous sommes tous des pêcheurs devant l’Eternel, et habiter le pays des vénérés El Hadji Malick Sy et Cheikh Ahmadou Bamba n’y changeront rien…à moins que…
Leral.net
Quant à Louga, on se permet de célébrer un mariage en plein air où la mariée porta une tenues deux pièces ou encore quand celui qui tatoue les femmes ose poster sur les réseaux sociaux des photos obscènes et s’en vantant, ou encore quand les photos d’une danseuse nue est révélée au grand public sans gêne, ni censure. Le Sénégal marche sur la tête.
Mais, après tout en regardant dans le rétroviseur, il y a eu le fameux scandale Goudi Town qui avait défrayé la chronique. Et quoi d’autre… Au moins, on doit se départir de l’idée selon laquelle, le Sénégal a des saints, mais, nous ne sommes pas des Saints et pire nous sommes en train de devenir des êtres sataniques démoniaques qui enregistrent, vilipendent, mangent la chair de leurs prochains. Nous, les Sénégalais sommes devenus des cannibales sans pitié affreux, sans morale, sans pudeur. Le ver est dans le fruit.
Seul l’argent, la médisance et faire mal à l’autre, nous intéresse. Alors de grâce, arrêtons avec les leçons de morale. Les Sénégalais ne sont pas parfaits, mais, ils sont en train de devenir des léviathans, des monstres froids qui ont perdu leurs âmes et vu leurs corps et leur humanité transformés en des bébés de Victor Frankenstein. Que DIEU nous fasse miséricorde. Nous sommes tous des pêcheurs devant l’Eternel, et habiter le pays des vénérés El Hadji Malick Sy et Cheikh Ahmadou Bamba n’y changeront rien…à moins que…
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