C'était l'une des questions majeures lors du dialogue national : le processus électoral va-t-il se poursuivre ou sera-t-il recommencé ?
Finalement, la première option a été maintenue, avec les 19 candidats retenus par le Conseil constitutionnel. Mais il y a une possibilité pour que tout reprenne à zéro.
Selon Daouda Mine, il y a même trois situations qui pourraient forcer une reprise totale du processus électoral.
Pour le spécialiste, la première est que le Conseil constitutionnel déclare nul le processus et décide de le reprendre dès le début. Le deuxième cas, c'est qu'un des candidats retenus décède. La troisième situation est que le président de la République démissionne avant la fin de son mandat, soit le 2 avril.
"Dans ce cas, les dispositions de l'article 39 de la Constitution vont s'appliquer. Le président de l'Assemblée nationale sera installé et il aura 90 jours pour organiser de nouvelles élections. Les compteurs seront remis à zéro", a expliqué Daouda Mine sur TFM.
Une troisième situation qui semble très plausible, puisque Macky Sall a exprimé et réexprimé sa volonté de quitter le pouvoir le 2 avril. Et pour partir avant la fin de son mandat, il lui faut démissionner, car la Constitution l'oblige à rester au pouvoir jusqu'à l'installation de son successeur.
seneweb
Finalement, la première option a été maintenue, avec les 19 candidats retenus par le Conseil constitutionnel. Mais il y a une possibilité pour que tout reprenne à zéro.
Selon Daouda Mine, il y a même trois situations qui pourraient forcer une reprise totale du processus électoral.
Pour le spécialiste, la première est que le Conseil constitutionnel déclare nul le processus et décide de le reprendre dès le début. Le deuxième cas, c'est qu'un des candidats retenus décède. La troisième situation est que le président de la République démissionne avant la fin de son mandat, soit le 2 avril.
"Dans ce cas, les dispositions de l'article 39 de la Constitution vont s'appliquer. Le président de l'Assemblée nationale sera installé et il aura 90 jours pour organiser de nouvelles élections. Les compteurs seront remis à zéro", a expliqué Daouda Mine sur TFM.
Une troisième situation qui semble très plausible, puisque Macky Sall a exprimé et réexprimé sa volonté de quitter le pouvoir le 2 avril. Et pour partir avant la fin de son mandat, il lui faut démissionner, car la Constitution l'oblige à rester au pouvoir jusqu'à l'installation de son successeur.
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