Au lendemain des attentats terroristes survenues à Paris et la prise d'otages meurtrière dans un hôtel de Bamako, le président malien a appelé, samedi 21 novembre, à une vigilance accrue face à la menace terroriste alors que son pays est en proie depuis près de quatre ans aux attaques jihadistes. Ce n'est pas que le Mali qui est exposé. La menace est plus que diffuse. Aucun pays n'est épargné.
Selon une source de dakarposte.com, au fait de ce qui se trame dans les plus hautes sphères de l'Etat, des mesures draconiennes ont été prises par les autorités Sénégalaises. " L'Etat a pris les devants. Vous avez certainement remarqué l'impressionnant mais assez dissuasif dispositif sécuritaire déployé au niveau de l'aéroport, du Port, des hôtels, des grandes surfaces entre autres lieux de rassemblement. Il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Les contrôles sont devenues plus strictes. Vous avez remarqué le renforcement des dispositifs un peu partout" tient à rassurer notre interlocuteur.
Soit, mais le risque zéro n'existe nulle part au monde. En atteste, ce qui s'est passé en France. Maintenant, il faut bien avoir conscience que des actes terroristes restent quand même (et heureusement) des actes isolés et assez rares.
Aussi, les autorités devraient mettre l'accent sur la surveillance au niveau de nos frontières, particulièrement avec la Gambie dont le Président n'a pas caché son inimité au Sénégal. En effet, Jammeh a récemment déversé son sentiment d'antipathie ,d'haine viscérale au Sénégal, particulièrement au Président Macky Sall.
Il urge donc de surveiller les mouvements de foules venant de la Gambie, notamment en cette période faste du Magal de Touba où l'on note une forte affluence, particulièrement de disciples venant de chez Jammeh. Il importe de tenir compte du contexte: Jammeh, qui s'est "himself démasqué (en s'attaquant ouvertement au Sénégal via les médias) peut saisir l'opportunité de cette festivité du Magal pour introduire ses éléments et semer le bordel pour reprendre le jargon de la grande muette.
Loin de jouer aux Cassandre, mais osons le dire, cette manifestation religieuse, qui, comme à l'accoutumée, rassemble une déferlante humaine, peut servir de potentielle cible. Le mal que l'on souhaite est que la paix continue de subsister sous nos cieux et dans le reste du globe.
La surveillance devrait donc être accentuée dans l'ensemble du pays bref, le Sénégal devrait maintenir le niveau d'alerte maximal en vigueur depuis l'éclatement de ses attaques terroristes.
Selon une source de dakarposte.com, au fait de ce qui se trame dans les plus hautes sphères de l'Etat, des mesures draconiennes ont été prises par les autorités Sénégalaises. " L'Etat a pris les devants. Vous avez certainement remarqué l'impressionnant mais assez dissuasif dispositif sécuritaire déployé au niveau de l'aéroport, du Port, des hôtels, des grandes surfaces entre autres lieux de rassemblement. Il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Les contrôles sont devenues plus strictes. Vous avez remarqué le renforcement des dispositifs un peu partout" tient à rassurer notre interlocuteur.
Soit, mais le risque zéro n'existe nulle part au monde. En atteste, ce qui s'est passé en France. Maintenant, il faut bien avoir conscience que des actes terroristes restent quand même (et heureusement) des actes isolés et assez rares.
Aussi, les autorités devraient mettre l'accent sur la surveillance au niveau de nos frontières, particulièrement avec la Gambie dont le Président n'a pas caché son inimité au Sénégal. En effet, Jammeh a récemment déversé son sentiment d'antipathie ,d'haine viscérale au Sénégal, particulièrement au Président Macky Sall.
Il urge donc de surveiller les mouvements de foules venant de la Gambie, notamment en cette période faste du Magal de Touba où l'on note une forte affluence, particulièrement de disciples venant de chez Jammeh. Il importe de tenir compte du contexte: Jammeh, qui s'est "himself démasqué (en s'attaquant ouvertement au Sénégal via les médias) peut saisir l'opportunité de cette festivité du Magal pour introduire ses éléments et semer le bordel pour reprendre le jargon de la grande muette.
Loin de jouer aux Cassandre, mais osons le dire, cette manifestation religieuse, qui, comme à l'accoutumée, rassemble une déferlante humaine, peut servir de potentielle cible. Le mal que l'on souhaite est que la paix continue de subsister sous nos cieux et dans le reste du globe.
La surveillance devrait donc être accentuée dans l'ensemble du pays bref, le Sénégal devrait maintenir le niveau d'alerte maximal en vigueur depuis l'éclatement de ses attaques terroristes.