Aujourd’hui à l’université, dans les instituts de formation professionnelle et universités privées, légions sont les étudiantes qui s’adonnent à la prostitution clandestine pour diverses raisons. Quand certaines d’entre elles aimant le paraître, la belle vie, s’offrent aux hommes, d’autres face au pouvoir de l’argent, capitulent au grand bonheur des adeptes de bonne chair. Grand reportage ou opération de grosse fouine dans ce milieu clandestin.
Pour amasser beaucoup d’argent, beaucoup d’étudiantes s’adonnent à la prostitution déguisée dans la plus grande discrétion. A tort ou à raison, la cité Claudel, (gardons son ancien nom pour ne pas lui celui de notre héroïne), avait des presque dix ans une mauvaise réputation. Pour vérifier les informations fournies par des confidences récentes, nous nous sommes pointés à 18 heures devant la cité Claudel où logent presque des étudiantes de l’université.
Calme comme si de rien n’était….
Ici on note des mouvements incessants d’étudiants et étudiantes. Au moment où certaines étudiantes sortent de la cité, un lot impressionnant de filles, regagne leur chambre après plusieurs heures de cours passées dans les facultés.
Seules quelques voitures sont garées aux abords et les occupants attendent sagement leur copine. Ce qui est frappant, c’est le spectacle qui s’offre aux yeux, des véhicules s’arrêtent pour faire descendre des étudiantes. Mais apparemment il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Ce sont des filles majeures qui ont leur coté sentimental.
Début troublant
Pourtant une conversation d’un homme qui se croyait peut-être seul avec sa copine et qui lui lâche sa flatterie couple semble en dire long sur la pratique atteint des proportions insoupçonnées selon notre source.
« Tu as été superbe au lit, où l’as-tu appris, tu maîtrises de ton corps. Je ne savais pas que tu pouvais faire des choses pareilles», lance l’homme à l’endroit de la fille.
Cette dernière lui lâche cette réplique qui lève toute équivoque : « La prochaine fois si tu n’augmentes pas , je ne vais même pas t’embrasser . Tu ne peux pas faire comme les autres qui me payent mon déplacement ?» Pourtant d’une apparence correcte, elle s’empresse après un bisou de regagner la cité Claudel et franchit la grande porte en laissant derrière elle le gars en train de rigoler.
Une attitude qui montre qu’elle est un peu gênée parce qu’il y a du monde à cette heure qui coïncide avec le retour de la Fac de plusieurs pensionnaires, et ces paroles pouvaient tomber dans n’importe quelle oreille. Si ce n’est fait d’ailleurs…
prostitutées
Quand d’autres confirment un phénomène courant
Car ce spectacle passé sous leurs yeux, des étudiantes commencent à blâmer la fille. Et c’est parti pour des révélations à ne plus en finir.
« Ces genres d’étudiantes sont nombreuses ici. Au début, elles se cachaient pour faire ces genres de choses mais aujourd’hui, elles s’en moquent », raconte une étudiante.
Et sa copine de témoigner : « Ma voisine de chambre a failli m’emporter dans ses pratiques. Pour mener une belle vie, elle est obligée d’avoir plusieurs partenaires. Elle m’a dit carrément que sa bourse ne lui suffit pas, c’est la raison pour laquelle, elle fait du racolage. Et il lui arrive d’aller passer le week-end chez l’un de ses connaissances ».
Pour amasser beaucoup d’argent, beaucoup d’étudiantes s’adonnent à la prostitution déguisée dans la plus grande discrétion. A tort ou à raison, la cité Claudel, (gardons son ancien nom pour ne pas lui celui de notre héroïne), avait des presque dix ans une mauvaise réputation. Pour vérifier les informations fournies par des confidences récentes, nous nous sommes pointés à 18 heures devant la cité Claudel où logent presque des étudiantes de l’université.
Calme comme si de rien n’était….
Ici on note des mouvements incessants d’étudiants et étudiantes. Au moment où certaines étudiantes sortent de la cité, un lot impressionnant de filles, regagne leur chambre après plusieurs heures de cours passées dans les facultés.
Seules quelques voitures sont garées aux abords et les occupants attendent sagement leur copine. Ce qui est frappant, c’est le spectacle qui s’offre aux yeux, des véhicules s’arrêtent pour faire descendre des étudiantes. Mais apparemment il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Ce sont des filles majeures qui ont leur coté sentimental.
Début troublant
Pourtant une conversation d’un homme qui se croyait peut-être seul avec sa copine et qui lui lâche sa flatterie couple semble en dire long sur la pratique atteint des proportions insoupçonnées selon notre source.
« Tu as été superbe au lit, où l’as-tu appris, tu maîtrises de ton corps. Je ne savais pas que tu pouvais faire des choses pareilles», lance l’homme à l’endroit de la fille.
Cette dernière lui lâche cette réplique qui lève toute équivoque : « La prochaine fois si tu n’augmentes pas , je ne vais même pas t’embrasser . Tu ne peux pas faire comme les autres qui me payent mon déplacement ?» Pourtant d’une apparence correcte, elle s’empresse après un bisou de regagner la cité Claudel et franchit la grande porte en laissant derrière elle le gars en train de rigoler.
Une attitude qui montre qu’elle est un peu gênée parce qu’il y a du monde à cette heure qui coïncide avec le retour de la Fac de plusieurs pensionnaires, et ces paroles pouvaient tomber dans n’importe quelle oreille. Si ce n’est fait d’ailleurs…
prostitutées
Quand d’autres confirment un phénomène courant
Car ce spectacle passé sous leurs yeux, des étudiantes commencent à blâmer la fille. Et c’est parti pour des révélations à ne plus en finir.
« Ces genres d’étudiantes sont nombreuses ici. Au début, elles se cachaient pour faire ces genres de choses mais aujourd’hui, elles s’en moquent », raconte une étudiante.
Et sa copine de témoigner : « Ma voisine de chambre a failli m’emporter dans ses pratiques. Pour mener une belle vie, elle est obligée d’avoir plusieurs partenaires. Elle m’a dit carrément que sa bourse ne lui suffit pas, c’est la raison pour laquelle, elle fait du racolage. Et il lui arrive d’aller passer le week-end chez l’un de ses connaissances ».