Le fait est assez insolite pour mériter d'être porté à l'attention de nos chers lecteurs. Que se passe t'il? Figurez-vous qu'une jeune fille en dreadlokcs, a voulu introduire du chanvre indien dans la prison du Cap Manuel. Incroyable, mais telle est la triste réalité.
Selon des informations en possession de dakarposte.com, la fille, certainement de mèche avec son parent embastillé, a voulu profiter de l'affluence de la visite aux détenus de ce vendredi pour déjouer la vigilance des matons. C'était peine perdue, car elle a été vite démasquée par un des gardes pénitentiers. Très téméraire, la fille, qui a jeté un regard furtif aux gardes en faction, a tenté de filer à son parent détenu le cornet de chanvre dans la salle aménagée pour les visites des parents aux détenus.
Alpaguée en tour de main par un des gardes qui n'a rien raté de son manège, la fille sera du coup extraite manu militari de la salle de visite avant d'être soumise à une fouille minutieuse par des surveillantes de prison. C'est par la suite qu'elle a été acheminée sous bonne escorte dans un commissariat de police dont nous tairons pour le moment le nom pour ne pas entraver l'enquête en cours. Remontée, l'administration de cette citadelle a du écourter les visites dites contact jusqu'ici tolérées pour les détenus du Cap Manuel. Qui ont comme dénominateur commun d'être tous condamnés. Du moins, la quasi totalité.
Nous y reviendrons amplement...
Selon des informations en possession de dakarposte.com, la fille, certainement de mèche avec son parent embastillé, a voulu profiter de l'affluence de la visite aux détenus de ce vendredi pour déjouer la vigilance des matons. C'était peine perdue, car elle a été vite démasquée par un des gardes pénitentiers. Très téméraire, la fille, qui a jeté un regard furtif aux gardes en faction, a tenté de filer à son parent détenu le cornet de chanvre dans la salle aménagée pour les visites des parents aux détenus.
Alpaguée en tour de main par un des gardes qui n'a rien raté de son manège, la fille sera du coup extraite manu militari de la salle de visite avant d'être soumise à une fouille minutieuse par des surveillantes de prison. C'est par la suite qu'elle a été acheminée sous bonne escorte dans un commissariat de police dont nous tairons pour le moment le nom pour ne pas entraver l'enquête en cours. Remontée, l'administration de cette citadelle a du écourter les visites dites contact jusqu'ici tolérées pour les détenus du Cap Manuel. Qui ont comme dénominateur commun d'être tous condamnés. Du moins, la quasi totalité.
Nous y reviendrons amplement...