"L'écrasante majorité des pays européens reste vulnérable", a estimé M. Kluge, le directeur Europe de l'OMS, pour qui "à l'heure actuelle, la frontière est mince entre l'espoir" suscité par les vaccins et "un faux sentiment de sécurité".
La question des variants du coronavirus vient bousculer l'optimisme né de la mise au point de vaccins, et entraîne de nouvelles restrictions.
Par crainte de ces variants, l'Allemagne a décidé jeudi de fermer sa frontière avec la République tchèque et le Tyrol autrichien. Le ministre allemand de l'Intérieur Horst Seehofer a indiqué que cette mesure prendrait effet dimanche soir, et que le Tyrol et les régions tchèques frontalières de l'Allemagne allaient être classés dans la liste des territoires très touchés par les mutations du virus. Cette liste comprend déjà plusieurs pays comme la Grande-Bretagne, l'Afrique du Sud, le Brésil ou le Portugal avec lesquels l'Allemagne a interdit fin janvier la plupart des voyages.
Le gouvernement tchèque a annoncé jeudi isoler trois cantons, dont deux à la frontière avec l'Allemagne en raison de la prévalence du variant britannique du coronavirus. Les habitants ne sont pas autorisés à quitter ces territoires, et personne ne pourra y entrer sauf exceptions, a indiqué Prague.
Côté restrictions, la chancelière allemande Angela Merkel avait déjà annoncé mercredi soir la prolongation jusqu'au 7 mars de la plupart des restrictions en place dans le pays.
La Grèce a durci jeudi son confinement national, et l'Irlande étend le sien jusqu'à début avril, sans doute jusqu'à Pâques.
L'UE, qui a franchi mardi le seuil symbolique des 500 000 décès, a vu toutefois la tendance s'améliorer depuis quelques jours, avec des contaminations et des décès quotidiens en légère baisse.
Mais rares sont encore les pays enclins à relâcher la pression, au moment où les campagnes de vaccination enregistrent des retards.
La Pologne rouvre toutefois vendredi ses théâtres, hôtels et piscines, après la réouverture lundi des musées, bibliothèques, galeries d'art et centres commerciaux. La plupart des écoles resteront pour leur part fermées au moins jusqu'en mars, a toutefois déclaré le ministre de la Santé Adam Niedzielski.
La question des variants du coronavirus vient bousculer l'optimisme né de la mise au point de vaccins, et entraîne de nouvelles restrictions.
Par crainte de ces variants, l'Allemagne a décidé jeudi de fermer sa frontière avec la République tchèque et le Tyrol autrichien. Le ministre allemand de l'Intérieur Horst Seehofer a indiqué que cette mesure prendrait effet dimanche soir, et que le Tyrol et les régions tchèques frontalières de l'Allemagne allaient être classés dans la liste des territoires très touchés par les mutations du virus. Cette liste comprend déjà plusieurs pays comme la Grande-Bretagne, l'Afrique du Sud, le Brésil ou le Portugal avec lesquels l'Allemagne a interdit fin janvier la plupart des voyages.
Le gouvernement tchèque a annoncé jeudi isoler trois cantons, dont deux à la frontière avec l'Allemagne en raison de la prévalence du variant britannique du coronavirus. Les habitants ne sont pas autorisés à quitter ces territoires, et personne ne pourra y entrer sauf exceptions, a indiqué Prague.
Côté restrictions, la chancelière allemande Angela Merkel avait déjà annoncé mercredi soir la prolongation jusqu'au 7 mars de la plupart des restrictions en place dans le pays.
La Grèce a durci jeudi son confinement national, et l'Irlande étend le sien jusqu'à début avril, sans doute jusqu'à Pâques.
L'UE, qui a franchi mardi le seuil symbolique des 500 000 décès, a vu toutefois la tendance s'améliorer depuis quelques jours, avec des contaminations et des décès quotidiens en légère baisse.
Mais rares sont encore les pays enclins à relâcher la pression, au moment où les campagnes de vaccination enregistrent des retards.
La Pologne rouvre toutefois vendredi ses théâtres, hôtels et piscines, après la réouverture lundi des musées, bibliothèques, galeries d'art et centres commerciaux. La plupart des écoles resteront pour leur part fermées au moins jusqu'en mars, a toutefois déclaré le ministre de la Santé Adam Niedzielski.