"Le ministère public de la Cour suprême, c’est-à-dire le procureur de la Cour suprême, a clairement expliqué que ce que la Direction générale des élections et le ministère de l’Intérieur ont fait, relève d’une voie de fait.
Qu’ils n'ont pas la compétence dévolue par la loi pour procéder comme ils l’ont fait. Qu’ils ont porté gravement atteinte aux droits de Ousmane Sonko. Qu’il ne leur appartient pas de dire si la candidature de Ousmane Sonko est valable ou pas, parce qu’on est, en ce moment, qu’à la phase de la candidature à la candidature. Que ces questions ne relèvent que du pouvoir du Conseil constitutionnel.
Que par voie de conséquence, il s’agit, en réalité, d’une violence d’Etat qui est exercée et qui n’a pas de fondement juridique assis. Et l’Avocat général a demandé qu’on délivre à Ousmane Sonko les fiches de parrainage. On a été surpris. Parce que dès qu’il a terminé, le Juge a commencé à lire sa décision."
igfm
Qu’ils n'ont pas la compétence dévolue par la loi pour procéder comme ils l’ont fait. Qu’ils ont porté gravement atteinte aux droits de Ousmane Sonko. Qu’il ne leur appartient pas de dire si la candidature de Ousmane Sonko est valable ou pas, parce qu’on est, en ce moment, qu’à la phase de la candidature à la candidature. Que ces questions ne relèvent que du pouvoir du Conseil constitutionnel.
Que par voie de conséquence, il s’agit, en réalité, d’une violence d’Etat qui est exercée et qui n’a pas de fondement juridique assis. Et l’Avocat général a demandé qu’on délivre à Ousmane Sonko les fiches de parrainage. On a été surpris. Parce que dès qu’il a terminé, le Juge a commencé à lire sa décision."
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