« Le linge sale se lave en famille », dit l’adage. Mais aujourd’hui, la famille Mboup, domiciliée à la Médina a préféré laver son linge sale, devant le tribunal de Grande Instance de Dakar.
Agée de 20 ans, B. M a comparu devant la barre pour les délits de Cbv, ayant entrainés une Itt de 21 jours et des menaces de mort au préjudice de sa tante, Tabaski Mboup (sœur de son père).
En l’espèce, la partie civile présente à la barre avec un visage recouverte de bande, a toujours gardé des relations très tendues avec sa nièce. Alors qu’elle est plus âgée d’elle, de 17 ans. Selon elle, cette dernière ne cesse de le provoquer et de proférer des injures contre elle.
C’est ainsi qu’après une première bagarre, au cours de la matinée du 1eroctobre, la prévenue a essayé de se faire justice. Ce faisant, elle va surprendre la partie civile vers les coups de 18h pour sectionner son visage avec deux lames de rasoir.
Interpellée, la belliqueuse explique : « Lors du premier accrochage, c’est elle qui s’est jetée sur moi en m’étranglant. Il a fallu l’intervention de mon père pour qu’elle lâche prise. Frustrée par cette agression pour laquelle j’ai nourri l’intention de me venger. J’ai attendu le soir pour lui lacérer le visage avec deux lames ».
Avant de poursuivre, «Je regrette vraiment mon acte, parce que j’ai réagi sous le coup de la colère. Mais, je n’ai jamais proféré des menaces de mort contre elle ».
Le représentant du Ministère public a requis six mois de prison ferme contre la prévenue.
Prenant la parole, l’avocat de la défense a tenu tout d’abord, à écarter le délit de menaces de mort.
Selon lui, depuis l’enquête préliminaire, sa cliente est constante dans ses déclarations.
Ainsi, la robe noire a plaidé pour une application extrêmement bienveillante de la loi pour le délit de Cbv. Puisque, sa cliente a regretté son acte.
D’après lui, lors du premier affrontement, sa cliente a été sérieusement molestée par la partie civile. « Et comme cette dernière n’a rien demandé. Je demande au tribunal de faire preuve de compréhension pour permettre à mon client qui doit faire la seconde cette année de rejoindre les classes», plaide la robe noire.
Le tribunal a requis trois mois de prison ferme contre le prévenu pour Cbv, ayant entrainé une Itt de 21 jours. Avant de prononcer sa relaxe pour le délit de menaces de mort.
Kady FATY Leral
Agée de 20 ans, B. M a comparu devant la barre pour les délits de Cbv, ayant entrainés une Itt de 21 jours et des menaces de mort au préjudice de sa tante, Tabaski Mboup (sœur de son père).
En l’espèce, la partie civile présente à la barre avec un visage recouverte de bande, a toujours gardé des relations très tendues avec sa nièce. Alors qu’elle est plus âgée d’elle, de 17 ans. Selon elle, cette dernière ne cesse de le provoquer et de proférer des injures contre elle.
C’est ainsi qu’après une première bagarre, au cours de la matinée du 1eroctobre, la prévenue a essayé de se faire justice. Ce faisant, elle va surprendre la partie civile vers les coups de 18h pour sectionner son visage avec deux lames de rasoir.
Interpellée, la belliqueuse explique : « Lors du premier accrochage, c’est elle qui s’est jetée sur moi en m’étranglant. Il a fallu l’intervention de mon père pour qu’elle lâche prise. Frustrée par cette agression pour laquelle j’ai nourri l’intention de me venger. J’ai attendu le soir pour lui lacérer le visage avec deux lames ».
Avant de poursuivre, «Je regrette vraiment mon acte, parce que j’ai réagi sous le coup de la colère. Mais, je n’ai jamais proféré des menaces de mort contre elle ».
Le représentant du Ministère public a requis six mois de prison ferme contre la prévenue.
Prenant la parole, l’avocat de la défense a tenu tout d’abord, à écarter le délit de menaces de mort.
Selon lui, depuis l’enquête préliminaire, sa cliente est constante dans ses déclarations.
Ainsi, la robe noire a plaidé pour une application extrêmement bienveillante de la loi pour le délit de Cbv. Puisque, sa cliente a regretté son acte.
D’après lui, lors du premier affrontement, sa cliente a été sérieusement molestée par la partie civile. « Et comme cette dernière n’a rien demandé. Je demande au tribunal de faire preuve de compréhension pour permettre à mon client qui doit faire la seconde cette année de rejoindre les classes», plaide la robe noire.
Le tribunal a requis trois mois de prison ferme contre le prévenu pour Cbv, ayant entrainé une Itt de 21 jours. Avant de prononcer sa relaxe pour le délit de menaces de mort.
Kady FATY Leral