L'affaire est loin de connaître son épilogue. Des détonations ont retenti samedi dernier, lors de l'inauguration du centre de santé de Sakal. Pour se dégager de l'étau des éléments de la sécurité du Premier ministre, Amadou Bâ, l'élément de la Brigade d'intervention polyvalente (Bip), assurant la sécurité du ministre de la Santé, Marie Khémesse Ngom Ndiaye, avait dégainé et tiré deux coups de feu au sol. Des blessés ont été enregistrés dans la bousculade.
Le policier, livré au commissariat central de Louga, où il a passé la nuit du samedi au dimanche, a été finalement mis à la disposition de la Brigade prévôtale, laquelle a ouvert une enquête, informe L'Observateur.
Selon le journal, l'agent incriminé a déjà admis avoir tiré des coups de feu, assurant, toutefois, que "c'était pour s'échapper des griffes" des éléments du Gign qui l'avaient encerclé.
"Je préfère être radié plus tôt que de subir l'humiliation publique. J'ai réagi pour préserver ma dignité de policier", aurait-il clamé, avec fierté, lors de son audition.
La suite de l'affaire dépend des conclusions de l'enquête à l'issue de laquelle le ministre de l'Intérieur pourra décider d'ordonner des poursuites ou classer l'affaire.
seneweb
Le policier, livré au commissariat central de Louga, où il a passé la nuit du samedi au dimanche, a été finalement mis à la disposition de la Brigade prévôtale, laquelle a ouvert une enquête, informe L'Observateur.
Selon le journal, l'agent incriminé a déjà admis avoir tiré des coups de feu, assurant, toutefois, que "c'était pour s'échapper des griffes" des éléments du Gign qui l'avaient encerclé.
"Je préfère être radié plus tôt que de subir l'humiliation publique. J'ai réagi pour préserver ma dignité de policier", aurait-il clamé, avec fierté, lors de son audition.
La suite de l'affaire dépend des conclusions de l'enquête à l'issue de laquelle le ministre de l'Intérieur pourra décider d'ordonner des poursuites ou classer l'affaire.
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