C’est en septembre 2022 que M. Dia a vu sa famille dispersée. A l’origine, un signalement auprès de la Direction de la protection de la Jeunesse ( DPJ). L’organisme québécois a des pouvoirs lui permettant d’intervenir lorsqu’un enfant n’est pas en sécurité ou lorsque son développement est en danger. Un pouvoir qui, depuis deux ans, sépare les Dia de leurs deux enfants et qui empêche celui qui est devenu père pour une troisième fois en début mai de voir son bébé. Face à ce drame familial, M. Dia a choisi de s'adresser à la ministre des Affaires Étrangères, Mme Yassine Fall, à travers une lettre ouverte.
LETTRE OUVERTE À MADAME LE MINISTRE DE L’INTÉGRATION AFRICAINE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES (par M. DIA. Québec-CANADA)
« Nos enfants de la diaspora, une partie intégrante de notre souveraineté culturelle et les garants de notre Intégration africaine future ! »
Québec, le 29 février 2024: « Silence…… ! la Fratrie DIA enlevée à l’école & la garderie puis séparée dans deux familles québécoises différentes. »
Québec, le 13 mai 2024: « Silence…! Nouveau-né de 5 jours forcé d’arrêter son allaitement maternel et placé en famille d’accueil. »
Son Excellence Madame Yassine Fall, Ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères,
De prime abord, je tiens surtout à vous féliciter pour votre nomination au sein de ce nouveau Ministère de l'Intégration africaine et des Affaires étrangères.
Cette nomination est une lueur d'espoir pour tous les sénégalais de la Diaspora mais aussi pour tous les africains en général.
Je ne saurai continuer sans pour autant adresser mes vives félicitations à son Excellence, notre Président de la République du Sénégal Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye ainsi que notre Premier Ministre du Sénégal, Monsieur Ousmane Sonko.
Les Sénégalais de la Diaspora ont été aussi parmi ceux qui ont eu à subir des dommages collatéraux dans la lutte pour le changement de pouvoir.
Je vous adresse cette lettre ouverte afin de solliciter votre assistance et intervention diplomatique afin de sauver nos deux enfants âgés seulement de 6 ans et demi et 5 ans et demi.
Un troisième enfant est également né il n’y a même pas 3 semaines et a été séquestré à l’hôpital avec sa mère et, on m’a empêché d’y accéder le lendemain après-midi alors que j’avais assisté à l’accouchement la veille et c’est moi qui avais fait le peau à peau de mon bébé pour stabiliser son battement de cœur car la maman avait une césarienne très douloureuse.
Afin d’éviter la redondance dans l’article paru hier le 23 mai 2024 concernant le dossier de nos trois enfants, cette lettre ouverte vient donc clarifier rapidement quels sont les stratagèmes utilisés par la DPJ afin d’enlever les 2 enfants et puis le placement illégal du nouveau-né.
Les 4 jours d’audiences dans le fond en fin mai 2023 et début juin 2023 qui ont mené au jugement du 09 juin 2023 ont été très chaotiques et les parents n’ont pas eu de procès équitable.
Lors de la 1ère audience du 28 octobre 2022, Il avait été également annoncé que c’était telle juge (une Madame) qui devait siéger et à notre grande surprise c’est un juge suppléant retraité qui a siégé dans les 4 jours d’audiences de fin mai et de début juin 2023.
Depuis le début de son intervention en 2022, la DPJ avait retenu comme motif de compromission : mauvais traitements psychologiques du fait que mon épouse quittait le domicile conjugal mais ils ont attendu la veille du procès (fin mai 2023) pour changer illégalement le motif et mettre exposition à la violence conjugale car étant adopté qu’en avril 2023.
La rétroactivité de la loi ou l’application directe ne pouvait se faire pour un dossier entamé en 2022.
Lors de ces 4 jours d’audience en fin mai et début juin : le juge suppléant retraité n’arrêtait pas de crier et de faire des commentaires partiaux.
Le père a mené à des contre-interrogatoires aux policiers intervenus dans son logement en date du 23 octobre 2022 & du 24 octobre 2022 : ils ont tous affirmé que la DPJ les ont appelés pour expulser le père mais que ce n’était pas de leur rôle et qu’ils ne pouvaient émettre un 810 car aucune violence conjugale.
Le père contre-interrogea également la belle-sœur ainsi que le beau-père.
Le père contre-interrogea également le voisin.
Ils ont tous affirmé qu’ils n’ont jamais été témoin d’une quelconque forme de violence conjugale.
Le père contre-interrogea également la mère qui affirma que c’est l’intervenante de la DPJ qui la faisait quitter du domicile conjugal en l’absence du père sous la menace de placer ses enfants.
Le père contre-interrogea également l’intervenante qui affirma qu’elle a reçu l’ordre de ses supérieurs de séparer la famille et qu’il y’avait d’autres modèles de famille!
Le 09 juin 2023, le juge suppléant retraité déclara comme motif de compromission exposition à la violence conjugale falsifiant beaucoup d’allégués et en créant des faits qui n’ont jamais été dits à l’audience.
Le père demanda les audios de ces audiences avec les contre-interrogatoires mais les audios ont été trafiqués et le volume diminué; le père envoya une plainte à la qualité des services du Ministère de la justice du Québec.
Le père fit un appel de plein droit de ce jugement devant la Cour Supérieure du Québec mais la DPJ introduisit une demande de rejet; celle-ci fut refusée par un autre juge de la Cour Supérieure.
La juge au dossier affirma séance tenante le 07 février 2024 ceci : « Monsieur DIA, c’est vous la victime dans tout cela! Entendez-vous » et déclara que son jugement allait lui prendre au moins 2 à 3 mois mais à notre grande surprise ce jugement sera rejeté le 20 février 2024 (13 jours après donc on est vraiment loin des mois qu’elle avait préalablement annoncés en procès).
Vos services pourront demander les audios du jugement du 07 février 2024 de la Cour Supérieure du Québec ainsi que les audios des 4 jours d’audiences de la Chambre de jeunesse de Québec de fin mai 2023 et de début juin 2023
devant le juge suppléant retraité.
Le 27 février 2024, le père déposa un appel devant la Cour d’appel du Québec; le 29 février 2024, les enfants de 6 ans et demi et de 5 ans et demi furent enlevés à la l’école puis à la garderie par la DPJ et ils ont été séparés dans 2
familles différentes. Les enfants étaient sous le choc.
Ces mesures de représailles c’était pour nous forcer de revenir en Chambre de la jeunesse en mars 2024 au point de départ alors que le dossier était déjà devant la Cour d’appel de Québec.
Le juge du Québec, au lieu de rendre sa décision dans les 4h selon l’urgence, il a traîné pendant près de 45 jours son jugement (un placement déguisé) en faisant fi de l’autorité de la Cour d’appel et a ordonné après les 45 jours c’est-à dire en mi-avril 2024, que les enfants restent en famille d’accueil pour 60 jours encore.
Le juge de la Cour d’appel du Québec malgré le rejet de l’appel du père indiqua que le juge de la Cour supérieure a fait beaucoup d’erreurs sur les faits et ces erreurs avaient été identifiées par le père donc c’était à la juge de la Cour supérieure de casser le jugement du 9 juin 2023 de la Cour du Québec.
Depuis 2 ans maintenant, le père voit ses enfants dans une salle à lunch de la DPJ une fois par semaine comme mesures de représailles car il ne veut toujours pas accepter le motif de compromission, la mère quant à elle a accepté le motif de compromission.
Près de 90% des avocats de la DPJ d’une ville, deviennent les mêmes juges jeunesse de cette même ville. Les avocats des enfants sont automatiquement assignés par l’aide juridique, qui, deviennent aussi juge de la Chambre de jeunesse et ils sont tous des avocats du public sans aucune exception et les 10 premiers de cette liste sont les mêmes depuis très longtemps car c’est eux qui acceptent de collaborer avec la DPJ.
Dans le dossier des enfants DIA, le père avait même prouvé en audience la connivence entre l’avocate des enfants (aide juridique) avec l’avocate de la DPJ.
L’avocate des enfants pleura en salle d’audience et demanda de se révoquer et elle est partie.
La nouvelle avocate dans le privé assignée aussi par l’aide juridique ne fait qu’aller dans le sens de la DPJ.
Le nouveau-né est né ce début Mai 2024 et quand l’Hôpital l’a séquestré avec sa mère, le père introduisit une demande d’injonction à l’Hôpital présentable la 2ème semaine de Mai 2024, mais la juge coordonnateur de la Cour Supérieure a retardé exprès notre passage en audience d’urgence pour permettre à la DPJ de venir en après-midi vers 16h avec une requête non notifiée ni signifiée afin que l’on me force à passer à la Chambre de jeunesse et quand je suis arrivé devant la juge de la Chambre de jeunesse : la juge ne faisait que crier!
Elle affirma aussi que la preuve était déjà terminée car j’étais absent alors que j’étais dans la salle d’audience de la Cour Supérieure. C’est un déni de justice.
Comment un juge supérieur peut se laisser défier par un juge inférieur ? Du jamais vu !
La juge de la Chambre de jeunesse a ordonné que le nouveau-né soit dans une des familles d’accueil d’un de nos enfants mais le nouveau-né ne s’y trouve toujours pas et donc les 3 sont dans 3 familles québécoises différentes maintenant.
Cela va faire plus de 10 jours maintenant que l’on n’a pas vu l’ordonnance de la juge de la chambre de jeunesse qui a placé le nouveau-né en famille d’accueil.
Est-ce que nous sommes dans un trafic déguisé d’enfants ? Est-ce un système déguisé d’enlèvement d’enfants?
C’est tout sauf de la justice et je souhaite interpeller toutes les autorités sénégalaises mais plus spécifiquement votre aide & intervention urgente.
Les sociétés civiles des droits de l’enfance, Unicef Sénégal ou autres doivent aussi se saisir de ce dossier.
Nos enfants sont aussi des sénégalais avant tout. La nationalité québécoise n’existe pas en droit car le Québec n’est pas un pays mais une province.
La DPJ doit respecter les conventions internationales telles que la Convention relative aux droits de l’enfant et la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Le Canada a pris des engagements internationaux et le Québec ne peut pas se soustraire à ces instruments juridiques internationaux.
Aucun enfant québécois n’a été ramené jusqu’ici chez des familles sénégalaises ni au Québec ni au Sénégal.
Nos enfants de la diaspora où qu’ils puissent naître, sont nos enfants et nos richesses de demain et il ne faut surtout pas que les forces occultes nous les enlèvent.
Ce combat je l’ai mené non seulement pour mes enfants mais aussi afin qu’aucun autre enfant sénégalais ou d’une quelconque communauté culturelle ne puisse vivre cette cruauté.
Le code de la nationalité sénégalaise stipule ceci : « Art. 5. - Est Sénégalais :
1• L'enfant légitime né d'un père Sénégalais;
2° L'enfant légitime né d'une mère Sénégalaise et d'une mère sans nationalité ou de nationalité inconnue;
3° L'enfant naturel lorsque celui de ses parents à l'égard duquel la filiation a d'abord été établie, est Sénégalais ;
4° L'enfant naturel lorsque celui de ses parents à l'égard duquel la filiation a été établie en second lieu est Sénégalais et lorsque l'autre parent est sans nationalité ou de nationalité inconnue. »
Les certificats de transcription de mes 2 ans enfants ne sont toujours pas prêts depuis plus d’un an.
Une lettre datée du 10 mars 2023 avait été adressée à Madame le Ministre sortant Me Aïssata Tall Sall pour une protection envers les enfants ainsi que deux lettres datées du 11 & 13 janvier 2023 à son Excellence Madame Viviane Laure Elisabeth Bampassy.
J’avais aussi suggéré à ce que l’Ambassade puisse assister aux audiences virtuelles et le père avait obtenu une ordonnance de la Cour Supérieure afin que l’Ambassade puisse assister les enfants DIA et M. Diop avait assisté également à la quasi-majorité des audiences virtuelles mais avec les échéances électorales, les charges étaient beaucoup plus élevées et il avait pas eu certainement l’aval de ces supérieurs afin d’appliquer d’autres actions diplomatiques via les canaux diplomatiques ou mêmes des actions juridiques.
M. Diop a eu beaucoup de sensibilité et continue d’en avoir pour ce dossier.
Le débat est aujourd’hui lancé sur la place des enfants de la Diaspora sénégalaise face au nouveau monde (forces occultes) et la diplomatie sénégalaise face à ces enjeux de société.
Il y’a des abus dans cette notion de violence conjugale accaparée par des lobbies féministes ou autres qui veulent détruire la cellule familiale et nos cultures (contre les immigrants) ou même par de malhonnêtes femmes qui veulent également se débarrasser de leurs époux.
Silence : les Hommes souffrent au Québec !
Je convie également vos services aux audiences virtuelles ci-dessous :
• Le 03 juin devant la Cour Supérieure du Québec pour le dossier d’injonction de l’Hôpital qui avait séquestré notre nouveau-né et leur mère.
• 10 juin 2024 devant la Cour d’appel du Québec • Le 13 & 14 juin 2024 devant la Chambre de jeunesse de Québec.
Son excellence Madame le Ministre Yassine Fall, tout en vous réitérant votre intervention diplomatique, je vous remercie beaucoup de votre attention et qu’Allah vous facilite dans vos nouvelles fonctions.
Qu’Allah facilite également notre Président de la République du Sénégal ainsi que notre Premier Ministre du Sénégal face à cette lourde tâche entachée également par les forces occultes de ce Nouveau-Monde.
Je remercie également Seneweb d’avoir contacté en vain la DPJ mais sans réponse et aussi d’avoir contacté l’Ambassade du Sénégal à Ottawa.
M.DIA
Avec Seneweb
LETTRE OUVERTE À MADAME LE MINISTRE DE L’INTÉGRATION AFRICAINE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES (par M. DIA. Québec-CANADA)
« Nos enfants de la diaspora, une partie intégrante de notre souveraineté culturelle et les garants de notre Intégration africaine future ! »
Québec, le 29 février 2024: « Silence…… ! la Fratrie DIA enlevée à l’école & la garderie puis séparée dans deux familles québécoises différentes. »
Québec, le 13 mai 2024: « Silence…! Nouveau-né de 5 jours forcé d’arrêter son allaitement maternel et placé en famille d’accueil. »
Son Excellence Madame Yassine Fall, Ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères,
De prime abord, je tiens surtout à vous féliciter pour votre nomination au sein de ce nouveau Ministère de l'Intégration africaine et des Affaires étrangères.
Cette nomination est une lueur d'espoir pour tous les sénégalais de la Diaspora mais aussi pour tous les africains en général.
Je ne saurai continuer sans pour autant adresser mes vives félicitations à son Excellence, notre Président de la République du Sénégal Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye ainsi que notre Premier Ministre du Sénégal, Monsieur Ousmane Sonko.
Les Sénégalais de la Diaspora ont été aussi parmi ceux qui ont eu à subir des dommages collatéraux dans la lutte pour le changement de pouvoir.
Je vous adresse cette lettre ouverte afin de solliciter votre assistance et intervention diplomatique afin de sauver nos deux enfants âgés seulement de 6 ans et demi et 5 ans et demi.
Un troisième enfant est également né il n’y a même pas 3 semaines et a été séquestré à l’hôpital avec sa mère et, on m’a empêché d’y accéder le lendemain après-midi alors que j’avais assisté à l’accouchement la veille et c’est moi qui avais fait le peau à peau de mon bébé pour stabiliser son battement de cœur car la maman avait une césarienne très douloureuse.
Afin d’éviter la redondance dans l’article paru hier le 23 mai 2024 concernant le dossier de nos trois enfants, cette lettre ouverte vient donc clarifier rapidement quels sont les stratagèmes utilisés par la DPJ afin d’enlever les 2 enfants et puis le placement illégal du nouveau-né.
Les 4 jours d’audiences dans le fond en fin mai 2023 et début juin 2023 qui ont mené au jugement du 09 juin 2023 ont été très chaotiques et les parents n’ont pas eu de procès équitable.
Lors de la 1ère audience du 28 octobre 2022, Il avait été également annoncé que c’était telle juge (une Madame) qui devait siéger et à notre grande surprise c’est un juge suppléant retraité qui a siégé dans les 4 jours d’audiences de fin mai et de début juin 2023.
Depuis le début de son intervention en 2022, la DPJ avait retenu comme motif de compromission : mauvais traitements psychologiques du fait que mon épouse quittait le domicile conjugal mais ils ont attendu la veille du procès (fin mai 2023) pour changer illégalement le motif et mettre exposition à la violence conjugale car étant adopté qu’en avril 2023.
La rétroactivité de la loi ou l’application directe ne pouvait se faire pour un dossier entamé en 2022.
Lors de ces 4 jours d’audience en fin mai et début juin : le juge suppléant retraité n’arrêtait pas de crier et de faire des commentaires partiaux.
Le père a mené à des contre-interrogatoires aux policiers intervenus dans son logement en date du 23 octobre 2022 & du 24 octobre 2022 : ils ont tous affirmé que la DPJ les ont appelés pour expulser le père mais que ce n’était pas de leur rôle et qu’ils ne pouvaient émettre un 810 car aucune violence conjugale.
Le père contre-interrogea également la belle-sœur ainsi que le beau-père.
Le père contre-interrogea également le voisin.
Ils ont tous affirmé qu’ils n’ont jamais été témoin d’une quelconque forme de violence conjugale.
Le père contre-interrogea également la mère qui affirma que c’est l’intervenante de la DPJ qui la faisait quitter du domicile conjugal en l’absence du père sous la menace de placer ses enfants.
Le père contre-interrogea également l’intervenante qui affirma qu’elle a reçu l’ordre de ses supérieurs de séparer la famille et qu’il y’avait d’autres modèles de famille!
Le 09 juin 2023, le juge suppléant retraité déclara comme motif de compromission exposition à la violence conjugale falsifiant beaucoup d’allégués et en créant des faits qui n’ont jamais été dits à l’audience.
Le père demanda les audios de ces audiences avec les contre-interrogatoires mais les audios ont été trafiqués et le volume diminué; le père envoya une plainte à la qualité des services du Ministère de la justice du Québec.
Le père fit un appel de plein droit de ce jugement devant la Cour Supérieure du Québec mais la DPJ introduisit une demande de rejet; celle-ci fut refusée par un autre juge de la Cour Supérieure.
La juge au dossier affirma séance tenante le 07 février 2024 ceci : « Monsieur DIA, c’est vous la victime dans tout cela! Entendez-vous » et déclara que son jugement allait lui prendre au moins 2 à 3 mois mais à notre grande surprise ce jugement sera rejeté le 20 février 2024 (13 jours après donc on est vraiment loin des mois qu’elle avait préalablement annoncés en procès).
Vos services pourront demander les audios du jugement du 07 février 2024 de la Cour Supérieure du Québec ainsi que les audios des 4 jours d’audiences de la Chambre de jeunesse de Québec de fin mai 2023 et de début juin 2023
devant le juge suppléant retraité.
Le 27 février 2024, le père déposa un appel devant la Cour d’appel du Québec; le 29 février 2024, les enfants de 6 ans et demi et de 5 ans et demi furent enlevés à la l’école puis à la garderie par la DPJ et ils ont été séparés dans 2
familles différentes. Les enfants étaient sous le choc.
Ces mesures de représailles c’était pour nous forcer de revenir en Chambre de la jeunesse en mars 2024 au point de départ alors que le dossier était déjà devant la Cour d’appel de Québec.
Le juge du Québec, au lieu de rendre sa décision dans les 4h selon l’urgence, il a traîné pendant près de 45 jours son jugement (un placement déguisé) en faisant fi de l’autorité de la Cour d’appel et a ordonné après les 45 jours c’est-à dire en mi-avril 2024, que les enfants restent en famille d’accueil pour 60 jours encore.
Le juge de la Cour d’appel du Québec malgré le rejet de l’appel du père indiqua que le juge de la Cour supérieure a fait beaucoup d’erreurs sur les faits et ces erreurs avaient été identifiées par le père donc c’était à la juge de la Cour supérieure de casser le jugement du 9 juin 2023 de la Cour du Québec.
Depuis 2 ans maintenant, le père voit ses enfants dans une salle à lunch de la DPJ une fois par semaine comme mesures de représailles car il ne veut toujours pas accepter le motif de compromission, la mère quant à elle a accepté le motif de compromission.
Près de 90% des avocats de la DPJ d’une ville, deviennent les mêmes juges jeunesse de cette même ville. Les avocats des enfants sont automatiquement assignés par l’aide juridique, qui, deviennent aussi juge de la Chambre de jeunesse et ils sont tous des avocats du public sans aucune exception et les 10 premiers de cette liste sont les mêmes depuis très longtemps car c’est eux qui acceptent de collaborer avec la DPJ.
Dans le dossier des enfants DIA, le père avait même prouvé en audience la connivence entre l’avocate des enfants (aide juridique) avec l’avocate de la DPJ.
L’avocate des enfants pleura en salle d’audience et demanda de se révoquer et elle est partie.
La nouvelle avocate dans le privé assignée aussi par l’aide juridique ne fait qu’aller dans le sens de la DPJ.
Le nouveau-né est né ce début Mai 2024 et quand l’Hôpital l’a séquestré avec sa mère, le père introduisit une demande d’injonction à l’Hôpital présentable la 2ème semaine de Mai 2024, mais la juge coordonnateur de la Cour Supérieure a retardé exprès notre passage en audience d’urgence pour permettre à la DPJ de venir en après-midi vers 16h avec une requête non notifiée ni signifiée afin que l’on me force à passer à la Chambre de jeunesse et quand je suis arrivé devant la juge de la Chambre de jeunesse : la juge ne faisait que crier!
Elle affirma aussi que la preuve était déjà terminée car j’étais absent alors que j’étais dans la salle d’audience de la Cour Supérieure. C’est un déni de justice.
Comment un juge supérieur peut se laisser défier par un juge inférieur ? Du jamais vu !
La juge de la Chambre de jeunesse a ordonné que le nouveau-né soit dans une des familles d’accueil d’un de nos enfants mais le nouveau-né ne s’y trouve toujours pas et donc les 3 sont dans 3 familles québécoises différentes maintenant.
Cela va faire plus de 10 jours maintenant que l’on n’a pas vu l’ordonnance de la juge de la chambre de jeunesse qui a placé le nouveau-né en famille d’accueil.
Est-ce que nous sommes dans un trafic déguisé d’enfants ? Est-ce un système déguisé d’enlèvement d’enfants?
C’est tout sauf de la justice et je souhaite interpeller toutes les autorités sénégalaises mais plus spécifiquement votre aide & intervention urgente.
Les sociétés civiles des droits de l’enfance, Unicef Sénégal ou autres doivent aussi se saisir de ce dossier.
Nos enfants sont aussi des sénégalais avant tout. La nationalité québécoise n’existe pas en droit car le Québec n’est pas un pays mais une province.
La DPJ doit respecter les conventions internationales telles que la Convention relative aux droits de l’enfant et la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Le Canada a pris des engagements internationaux et le Québec ne peut pas se soustraire à ces instruments juridiques internationaux.
Aucun enfant québécois n’a été ramené jusqu’ici chez des familles sénégalaises ni au Québec ni au Sénégal.
Nos enfants de la diaspora où qu’ils puissent naître, sont nos enfants et nos richesses de demain et il ne faut surtout pas que les forces occultes nous les enlèvent.
Ce combat je l’ai mené non seulement pour mes enfants mais aussi afin qu’aucun autre enfant sénégalais ou d’une quelconque communauté culturelle ne puisse vivre cette cruauté.
Le code de la nationalité sénégalaise stipule ceci : « Art. 5. - Est Sénégalais :
1• L'enfant légitime né d'un père Sénégalais;
2° L'enfant légitime né d'une mère Sénégalaise et d'une mère sans nationalité ou de nationalité inconnue;
3° L'enfant naturel lorsque celui de ses parents à l'égard duquel la filiation a d'abord été établie, est Sénégalais ;
4° L'enfant naturel lorsque celui de ses parents à l'égard duquel la filiation a été établie en second lieu est Sénégalais et lorsque l'autre parent est sans nationalité ou de nationalité inconnue. »
Les certificats de transcription de mes 2 ans enfants ne sont toujours pas prêts depuis plus d’un an.
Une lettre datée du 10 mars 2023 avait été adressée à Madame le Ministre sortant Me Aïssata Tall Sall pour une protection envers les enfants ainsi que deux lettres datées du 11 & 13 janvier 2023 à son Excellence Madame Viviane Laure Elisabeth Bampassy.
J’avais aussi suggéré à ce que l’Ambassade puisse assister aux audiences virtuelles et le père avait obtenu une ordonnance de la Cour Supérieure afin que l’Ambassade puisse assister les enfants DIA et M. Diop avait assisté également à la quasi-majorité des audiences virtuelles mais avec les échéances électorales, les charges étaient beaucoup plus élevées et il avait pas eu certainement l’aval de ces supérieurs afin d’appliquer d’autres actions diplomatiques via les canaux diplomatiques ou mêmes des actions juridiques.
M. Diop a eu beaucoup de sensibilité et continue d’en avoir pour ce dossier.
Le débat est aujourd’hui lancé sur la place des enfants de la Diaspora sénégalaise face au nouveau monde (forces occultes) et la diplomatie sénégalaise face à ces enjeux de société.
Il y’a des abus dans cette notion de violence conjugale accaparée par des lobbies féministes ou autres qui veulent détruire la cellule familiale et nos cultures (contre les immigrants) ou même par de malhonnêtes femmes qui veulent également se débarrasser de leurs époux.
Silence : les Hommes souffrent au Québec !
Je convie également vos services aux audiences virtuelles ci-dessous :
• Le 03 juin devant la Cour Supérieure du Québec pour le dossier d’injonction de l’Hôpital qui avait séquestré notre nouveau-né et leur mère.
• 10 juin 2024 devant la Cour d’appel du Québec • Le 13 & 14 juin 2024 devant la Chambre de jeunesse de Québec.
Son excellence Madame le Ministre Yassine Fall, tout en vous réitérant votre intervention diplomatique, je vous remercie beaucoup de votre attention et qu’Allah vous facilite dans vos nouvelles fonctions.
Qu’Allah facilite également notre Président de la République du Sénégal ainsi que notre Premier Ministre du Sénégal face à cette lourde tâche entachée également par les forces occultes de ce Nouveau-Monde.
Je remercie également Seneweb d’avoir contacté en vain la DPJ mais sans réponse et aussi d’avoir contacté l’Ambassade du Sénégal à Ottawa.
M.DIA
Avec Seneweb