Dans la nuit du mercredi 10 au jeudi 11 juin, une attaque a visé un poste mixte à Kafolo, dans le nord de la Côte d’Ivoire, non loin de la frontière avec le Burkina Faso.
Pas de bilan officiel pour le moment. Mais selon des sources sécuritaires citées par jeuneafrique.com lu à Dakaractu, une dizaine de soldats auraient péri dans cette action attribuée aux groupes armés terroristes.
La Côte d’Ivoire n’avait jamais connu un affront d’une telle envergure depuis l’attentat du Grand Bassam en 2016, revendiqué à l’époque par AQMI.
L’assaut de ce mercredi pourrait être l’œuvre de la cellule locale de la Katiba Macina du prédicateur Peulh Amadou Kouffa. C’est d’autant plus probable que les armées burkinabé et ivoirienne mènent conjointement des opérations dans la zone pour débusquer les terroristes qui y auraient élu domicile courant 2019.
Pas de bilan officiel pour le moment. Mais selon des sources sécuritaires citées par jeuneafrique.com lu à Dakaractu, une dizaine de soldats auraient péri dans cette action attribuée aux groupes armés terroristes.
La Côte d’Ivoire n’avait jamais connu un affront d’une telle envergure depuis l’attentat du Grand Bassam en 2016, revendiqué à l’époque par AQMI.
L’assaut de ce mercredi pourrait être l’œuvre de la cellule locale de la Katiba Macina du prédicateur Peulh Amadou Kouffa. C’est d’autant plus probable que les armées burkinabé et ivoirienne mènent conjointement des opérations dans la zone pour débusquer les terroristes qui y auraient élu domicile courant 2019.