Dimanche 22 décembre dans la soirée, la cheffe Zeinab Bancé a dépassé la barre des 120 heures de cuisine, dépassant ainsi le record mondial, précédemment établi à 119 heures et 57 minutes. Mais, déterminée à marquer l’histoire, elle a choisi de continuer pour repousser encore ses limites, au-delà des cinq jours déjà dépassés.
« En tant que chef, on est toujours confronté à ce genre d’évènements, avec beaucoup de pression. Un défi culinaire comme celui du record Guinness, c’est vraiment le bienvenu pour moi. J’aime les challenges, j’aime me dépasser, j’aime faire ce que les autres n’arrivent pas à faire facilement », confie Zeinab Bancé.
Une ferveur nationale
Depuis le début de ce marathon, l’agora de Koumassi ne désemplit pas. De jour comme de nuit, les supporters viennent encourager leur compatriote. « Zeinab si tu ne dors pas, je ne dors pas » peut-on lire au dos de Evaristide Kouassi, qui est sur place depuis cinq jours.
« Elle représente la nation, donc moi aussi, je suis venu pour la soutenir jusqu’au bout. C’est ma sœur qui competit. Ivoirien, c’est la solidarité, c’est la famille. Depuis novembre, quand ils ont annoncé cette compétition, je savais que ce serait la fête », s'enthousiasme Evaristide Kouassi.
Durant ce marathon, Zeinab prépare des mets ivoiriens et africains, qui sont ensuite distribués à des centres sociaux et des hôpitaux. Une dégustation est également offerte au public, rassemblé autour de cette jeune cheffe, dont la détermination inspire une véritable ferveur nationale.
Rfi
« En tant que chef, on est toujours confronté à ce genre d’évènements, avec beaucoup de pression. Un défi culinaire comme celui du record Guinness, c’est vraiment le bienvenu pour moi. J’aime les challenges, j’aime me dépasser, j’aime faire ce que les autres n’arrivent pas à faire facilement », confie Zeinab Bancé.
Une ferveur nationale
Depuis le début de ce marathon, l’agora de Koumassi ne désemplit pas. De jour comme de nuit, les supporters viennent encourager leur compatriote. « Zeinab si tu ne dors pas, je ne dors pas » peut-on lire au dos de Evaristide Kouassi, qui est sur place depuis cinq jours.
« Elle représente la nation, donc moi aussi, je suis venu pour la soutenir jusqu’au bout. C’est ma sœur qui competit. Ivoirien, c’est la solidarité, c’est la famille. Depuis novembre, quand ils ont annoncé cette compétition, je savais que ce serait la fête », s'enthousiasme Evaristide Kouassi.
Durant ce marathon, Zeinab prépare des mets ivoiriens et africains, qui sont ensuite distribués à des centres sociaux et des hôpitaux. Une dégustation est également offerte au public, rassemblé autour de cette jeune cheffe, dont la détermination inspire une véritable ferveur nationale.
Rfi