En Côte d’Ivoire, la justice a prononcé ce jeudi le divorce entre Simone Ehivet Gbagbo et Laurent Gbagbo, selon Maître Rodrigue Dadjé, l’avocat de l’ex-première dame.
À l’origine, cette requête émane de l’ancien président du pays (2000-2011) qui, dès son retour à Abidjan en juin 2021, a fait cette démarche.
La rupture est donc officiellement actée. « Le divorce a été prononcé aux torts exclusifs de Monsieur Laurent Gbagbo, pour adultère caractérisé et notoire, abandon de domicile conjugal et injures graves à l’encontre de Madame Simone », affirme un communiqué du conseil de l’ex-première dame.
Ce document ne mentionne pas les implications financières de cette séparation.
L’entourage de l’ancien chef de l’État relativise cette décision de justice, précisant qu’il s’agit d’un « acte privé », qui n’a « aucune incidence sur la situation politique ».
Et, dans les faits, ce tandem qui a été membre fondateur du Front populaire ivoirien (FPI) et qui a rythmé la vie politique ivoirienne pendant plusieurs années, a pris des chemins différents depuis deux ans : à son retour, après son acquittement par la Cour pénale internationale (CPI), Laurent Gbagbo a créé son parti, qui se bat ces dernières semaines pour le faire réintégrer sur la liste électorale.
Simone Ehivet Gbagbo a récemment publié un livre, Du sous-sol de la République à la restauration, dans lequel elle livre son témoignage sur la crise post-électorale de 2011 et ses sept années d’incarcération.
Amnistiée de sa condamnation à vingt ans de prison pour atteinte à la sûreté de l’État en 2018, Simone Ehivet Gbagbo s’est, depuis, lancée dans l’arène politique, avec un nouveau parti : le Mouvement des générations capables (MGC).
Le MGC cherche à nouer des alliances, principalement avec le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), en vue des élections municipales et régionales du 2 septembre.
À l’origine, cette requête émane de l’ancien président du pays (2000-2011) qui, dès son retour à Abidjan en juin 2021, a fait cette démarche.
La rupture est donc officiellement actée. « Le divorce a été prononcé aux torts exclusifs de Monsieur Laurent Gbagbo, pour adultère caractérisé et notoire, abandon de domicile conjugal et injures graves à l’encontre de Madame Simone », affirme un communiqué du conseil de l’ex-première dame.
Ce document ne mentionne pas les implications financières de cette séparation.
L’entourage de l’ancien chef de l’État relativise cette décision de justice, précisant qu’il s’agit d’un « acte privé », qui n’a « aucune incidence sur la situation politique ».
Et, dans les faits, ce tandem qui a été membre fondateur du Front populaire ivoirien (FPI) et qui a rythmé la vie politique ivoirienne pendant plusieurs années, a pris des chemins différents depuis deux ans : à son retour, après son acquittement par la Cour pénale internationale (CPI), Laurent Gbagbo a créé son parti, qui se bat ces dernières semaines pour le faire réintégrer sur la liste électorale.
Simone Ehivet Gbagbo a récemment publié un livre, Du sous-sol de la République à la restauration, dans lequel elle livre son témoignage sur la crise post-électorale de 2011 et ses sept années d’incarcération.
Amnistiée de sa condamnation à vingt ans de prison pour atteinte à la sûreté de l’État en 2018, Simone Ehivet Gbagbo s’est, depuis, lancée dans l’arène politique, avec un nouveau parti : le Mouvement des générations capables (MGC).
Le MGC cherche à nouer des alliances, principalement avec le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), en vue des élections municipales et régionales du 2 septembre.