Convaincu du tollé que vont susciter les sanctions sévères du Nouveau Code de la presse : Macky Sall arme ses cadres et leur demande d’investir les réseaux sociaux
Depuis quelques heures, la presse épilogue sur le caractère ô combien sévère des sanctions pénales et pécuniaires contre les journalistes et les entreprises de presse contenues dans le Nouveau Code de la presse.
Eh bien, le Président de la République ne veut pas, alors pas du tout que ses cadres soient à la traîne dans les débats passionnés que va susciter l’adoption dudit Code, ce mardi, par l’Assemblée nationale.
En effet, Actusen.com a appris de sources généralement bien informées que, se prononçant sur ce Nouveau Code de la presse, Macky Sall, Président de l’Alliance pour la République, a demandé à la Convergence des cadres républicains de prendre part au débat.
«En tant que Cadres, il vous revient de relever le débat et de ne pas être dans une posture attentiste. C’est vous qui devez porter ça aussi bien dans les médias que dans les réseaux sociaux», a dit Macky Sall à ses camarades du Parti présidentiel.
Ainsi, à peine leur chef les a-t-il sommés de plonger que les cadres de l’Alliance pour la République ont, séance tenante, au coeur même du Palais de la République, rédigé le communiqué aussitôt envoyé aux organes de presse, confie-t-on à Actusen.com.
Les hôtes de Macky Sall, pour s’exécuter, rédigent, séance tenante, au Palais, le Communiqué de la CCR balancé aux médias
La page du Nouveau Code de la presse fermée, Macky Sall en a ouvert une autre. Laquelle a trait aux prochaines élections législatives. Sur ce, le chef de file de «Benno Bokk Yakaar», Mouvance présidentielle, a demandé à ses cadres de s’impliquer pleinement dans la campagne aux Législatives. Motif invoqué : «je veux qu’on ait le maximum de députés. A défaut, évidemment, de rafler tous les sièges en jeu», a-t-il titillé l’opposition, non sans égayer l’assistance.
Pour ceux qui ne le savent pas, Macky Sall recevait les cadres républicains, au détour d’un «Ndogou» (rupture du jeûne). Dans une ambiance décontractée, le patron du Parti présidentiel et de la Mouvance présidentielle avait, avant le démarrage des échanges, demandé à chaque cadre de décliner son identité et d’indiquer la Commune dans laquelle il milite.
Actusen
Eh bien, le Président de la République ne veut pas, alors pas du tout que ses cadres soient à la traîne dans les débats passionnés que va susciter l’adoption dudit Code, ce mardi, par l’Assemblée nationale.
En effet, Actusen.com a appris de sources généralement bien informées que, se prononçant sur ce Nouveau Code de la presse, Macky Sall, Président de l’Alliance pour la République, a demandé à la Convergence des cadres républicains de prendre part au débat.
«En tant que Cadres, il vous revient de relever le débat et de ne pas être dans une posture attentiste. C’est vous qui devez porter ça aussi bien dans les médias que dans les réseaux sociaux», a dit Macky Sall à ses camarades du Parti présidentiel.
Ainsi, à peine leur chef les a-t-il sommés de plonger que les cadres de l’Alliance pour la République ont, séance tenante, au coeur même du Palais de la République, rédigé le communiqué aussitôt envoyé aux organes de presse, confie-t-on à Actusen.com.
Les hôtes de Macky Sall, pour s’exécuter, rédigent, séance tenante, au Palais, le Communiqué de la CCR balancé aux médias
La page du Nouveau Code de la presse fermée, Macky Sall en a ouvert une autre. Laquelle a trait aux prochaines élections législatives. Sur ce, le chef de file de «Benno Bokk Yakaar», Mouvance présidentielle, a demandé à ses cadres de s’impliquer pleinement dans la campagne aux Législatives. Motif invoqué : «je veux qu’on ait le maximum de députés. A défaut, évidemment, de rafler tous les sièges en jeu», a-t-il titillé l’opposition, non sans égayer l’assistance.
Pour ceux qui ne le savent pas, Macky Sall recevait les cadres républicains, au détour d’un «Ndogou» (rupture du jeûne). Dans une ambiance décontractée, le patron du Parti présidentiel et de la Mouvance présidentielle avait, avant le démarrage des échanges, demandé à chaque cadre de décliner son identité et d’indiquer la Commune dans laquelle il milite.
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