En effet, cette phrase de Moustapha Guirassy en dit long sur sa frustration, car le député a tiré sur le président de l’institution parlementaire Moustapha Niasse.
« Je ne suis l’esclave de personne. Il a refusé que je m’exprime. Alors j’ai décidé de me retirer. Et personne ne peut m’empêcher de s’exprimer ».
En annonçant sa démission de la Commission Ad hoc, Moustapha Guirassy assure que c’est pour ne pas avoir de responsabilité à assumer dans ce qu’il considère comme une mascarade.
Mais le moins que l’on puisse dire est, qu’hier, ça a chauffé à l’Assemblée et comme l’a annoncé la Une d’un quotidien : il n’y a que les coups de poings qui ont manqué.
« Je ne suis l’esclave de personne. Il a refusé que je m’exprime. Alors j’ai décidé de me retirer. Et personne ne peut m’empêcher de s’exprimer ».
En annonçant sa démission de la Commission Ad hoc, Moustapha Guirassy assure que c’est pour ne pas avoir de responsabilité à assumer dans ce qu’il considère comme une mascarade.
Mais le moins que l’on puisse dire est, qu’hier, ça a chauffé à l’Assemblée et comme l’a annoncé la Une d’un quotidien : il n’y a que les coups de poings qui ont manqué.