On en sait un peu plus sur ce qu'il est convenu d'appeler "le cas Sandijry" du nom de cet ancien garde du corps d'Idrissa Seck. Il nous revient de bonnes sources que c'est le Directeur Général de la Police Nationale , en l'occurrence Omar Maal qui l'a fait cravater. En fait, le patron des limiers passait à la devanture de l'hôtel "Le Ndiambour". Il remarquera la présence d'éléments arborant des uniformes identiques a celles de la Brigade d'Intervention Polyvalente (BIP). Il écarquillera des yeux car une intervention de cette unité d'élite n'était pas à l'ordre du jour. C'est ainsi qu'il donnera des instructions au commissaire Dramé de la Sureté Urbaine d'activer ses éléments pour venir cueillir ses "faux" agents de la BIP.
La suite est connue. Alpagué, Vieux Sandjiry est gardé à vue puis déféré au parquet avant de se faire inculper. Bénéficiant d'une mise en liberté provisoire, il a ete jugé ce vendredi par le tribunal des flagrants délits de Dakar.
Il a été finalement condamné à un mois assorti de sursis et une amende de 100.000 francs CFA.
Devant la barre, il a fait des aveux circonstanciés, non sans avouer qu'il n'a pas d'autorisation pour l'exploitation d'une société de gardiennage. Vieux a nié la possession d'armes à feu de ses éléments. "Il s'agit plutôt d'armes factices et d'alarmes" a t'il précisé devant la barre du prétoire.
La suite est connue. Alpagué, Vieux Sandjiry est gardé à vue puis déféré au parquet avant de se faire inculper. Bénéficiant d'une mise en liberté provisoire, il a ete jugé ce vendredi par le tribunal des flagrants délits de Dakar.
Il a été finalement condamné à un mois assorti de sursis et une amende de 100.000 francs CFA.
Devant la barre, il a fait des aveux circonstanciés, non sans avouer qu'il n'a pas d'autorisation pour l'exploitation d'une société de gardiennage. Vieux a nié la possession d'armes à feu de ses éléments. "Il s'agit plutôt d'armes factices et d'alarmes" a t'il précisé devant la barre du prétoire.