Comme nous vous l'annoncions, Modou Fall plus connu sous le sobriquet de Modou Jinné a été encore cravaté. Pour cette fois, il est tombé dans la nasse des redoutables pandores de la Section Recherches.
Il revient à dakarposte que les gendarmes de la SR ont été activé depuis la dernière évasion de ce jeune fugitif. Ils ont fini par le cueillir chez Jammeh (en Gambie)
Seulement, Modou Jinné pourrait encore s'évader; en cause. Comme nous vous le disions, il use du "nerf de la guerre" (l'argent tiré de sa série de cambriolages). En fait, ce jeune "baol baol", ayant vu le jour à Diourbel, rusé comme un sioux, réussit, nous souffle t'on, à se familiariser dans sa détention avec les surveillants de prison. Aussitôt la relation huilée, il propose alors de fortes sommes d'argent pour se tailler. Si le marché est conclu, ce sont ses relations , notamment ses proches collaborateurs précisément ceux qui gèrent ses camions et autres, informés par téléphone, qui décaissent à son nom. C'est aussi simple comme bonjour!
C'est en substance ce qui nous revient de sources au fait des agissements du "Jinné" (qui n'en est pas un!).
Pour éviter qu'il prenne encore la clef des champs, il suffit selon cette source un professionnalisme dans la surveillance, suivi d'un régime carcéral spéciale c'est à dire un isolement dans un quartier haute sécurite de la prison. Pour ceux qui l'ignorent encore, toutes les prisons du Sénégal dispose de cellule d'isolement.
Aussi, il urge pour le "cas Jinné" une suppression de visites pendant une durée, lui infliger une ration alimentaire normale, c'est à dire qu'il soit tenu de consommer la ration alimentaire servie dans la prison et une surveillance assidue et régulière par deux matons régulièrement changé aux fins d'éviter que Jinné, réputé riche, se familiarise avec eux pour les soudoyer.
Il revient à dakarposte que les gendarmes de la SR ont été activé depuis la dernière évasion de ce jeune fugitif. Ils ont fini par le cueillir chez Jammeh (en Gambie)
Seulement, Modou Jinné pourrait encore s'évader; en cause. Comme nous vous le disions, il use du "nerf de la guerre" (l'argent tiré de sa série de cambriolages). En fait, ce jeune "baol baol", ayant vu le jour à Diourbel, rusé comme un sioux, réussit, nous souffle t'on, à se familiariser dans sa détention avec les surveillants de prison. Aussitôt la relation huilée, il propose alors de fortes sommes d'argent pour se tailler. Si le marché est conclu, ce sont ses relations , notamment ses proches collaborateurs précisément ceux qui gèrent ses camions et autres, informés par téléphone, qui décaissent à son nom. C'est aussi simple comme bonjour!
C'est en substance ce qui nous revient de sources au fait des agissements du "Jinné" (qui n'en est pas un!).
Pour éviter qu'il prenne encore la clef des champs, il suffit selon cette source un professionnalisme dans la surveillance, suivi d'un régime carcéral spéciale c'est à dire un isolement dans un quartier haute sécurite de la prison. Pour ceux qui l'ignorent encore, toutes les prisons du Sénégal dispose de cellule d'isolement.
Aussi, il urge pour le "cas Jinné" une suppression de visites pendant une durée, lui infliger une ration alimentaire normale, c'est à dire qu'il soit tenu de consommer la ration alimentaire servie dans la prison et une surveillance assidue et régulière par deux matons régulièrement changé aux fins d'éviter que Jinné, réputé riche, se familiarise avec eux pour les soudoyer.