Les enquêteurs de la Section de recherche de la Gendarmerie ont établi un lien direct entre le journaliste René Captain Bassène, actuellement en prison dans le cadre de la tuerie de Boffa, et un haut responsable du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance du nom d’Ousmane Tamba, membre de l’aile extérieur du Mfdc.
En effet, comme l’indique en exclusivité Libération, consulté par Actunet, c’est le téléphone de rené captain Bassène qui a « parlé ». Les Gendarmes ont découvert René a communiqué à plusieurs reprises avec Ousmane Tamba. Plusieurs communications qui ont eu lieu avant et après le carnage de Boffa.
Pour les enquêteurs, il n’y pas l’ombre d’un doute sur le fait que René Captain Bassène faisait des comptes rendus à Ousmane Tamba. De quoi et pourquoi ? Des questions sans réponse du journal. Mais en tout cas, il apparaît clair que c’est le journaliste René Bassène qui a planifié l’attaque sur les 14 bûcherons.
En effet, Libération affirme qu’il a tenu une réunion avec les habitants de Toubacouta, mis en cause dans cette affaire, pour leur dire que si elles voulaient que la coupe de bois cesse, ils devaient poser un acte fort, c’est-à-dire sanguinaire.
A noter que l’Armée a multiplié, depuis samedi, les bombardements dans la zone sud pour exterminer ces « bandits armés »
En effet, comme l’indique en exclusivité Libération, consulté par Actunet, c’est le téléphone de rené captain Bassène qui a « parlé ». Les Gendarmes ont découvert René a communiqué à plusieurs reprises avec Ousmane Tamba. Plusieurs communications qui ont eu lieu avant et après le carnage de Boffa.
Pour les enquêteurs, il n’y pas l’ombre d’un doute sur le fait que René Captain Bassène faisait des comptes rendus à Ousmane Tamba. De quoi et pourquoi ? Des questions sans réponse du journal. Mais en tout cas, il apparaît clair que c’est le journaliste René Bassène qui a planifié l’attaque sur les 14 bûcherons.
En effet, Libération affirme qu’il a tenu une réunion avec les habitants de Toubacouta, mis en cause dans cette affaire, pour leur dire que si elles voulaient que la coupe de bois cesse, ils devaient poser un acte fort, c’est-à-dire sanguinaire.
A noter que l’Armée a multiplié, depuis samedi, les bombardements dans la zone sud pour exterminer ces « bandits armés »