Le président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) est revenu sur quelques difficultés qu'il a eu à rencontre à la tête de cette institution.
"Je n’ai pas voulu accepter ce poste parce que je suis difficilement régulable. J’ai beaucoup appris de mes frustrations, de l’imagination conjuguée de mes collaborateurs du secteur et de la société", relève Babacar Touré.
"Je ne tire aucun bilan, c’est à ceux qui m’ont mis là de tirer un bilan. Maintenant, si je tirais le bilan, je dirais que je suis le plus beau, le plus fort et ça a été formidable", explique l’ancien Pdg du Groupe Sud Communication.
Babacar Touré sera remplacé à la tête du Cnra par Babacar Diagne après six ans passés à la tête de l’organe de régulation de l’audiovisuel.
"Je n’ai pas voulu accepter ce poste parce que je suis difficilement régulable. J’ai beaucoup appris de mes frustrations, de l’imagination conjuguée de mes collaborateurs du secteur et de la société", relève Babacar Touré.
"Je ne tire aucun bilan, c’est à ceux qui m’ont mis là de tirer un bilan. Maintenant, si je tirais le bilan, je dirais que je suis le plus beau, le plus fort et ça a été formidable", explique l’ancien Pdg du Groupe Sud Communication.
Babacar Touré sera remplacé à la tête du Cnra par Babacar Diagne après six ans passés à la tête de l’organe de régulation de l’audiovisuel.