Moustapha Cissé Lô n’en a pas encore terminé avec l’affaire de l’incendie de ses deux maisons à Touba. Le sujet revient au galop ce matin dans la presse où le député membre de l’Alliance pour la république (Apr) solde (encore) ses comptes avec ses détracteurs.
Cissé Lô a émis l’idée de quitter la cité religieuse de Touba. «Si je dérange à Touba, qu’on me foute dehors, si je suis un talibé qui dérange, je peux vendre mes avoirs et m’en aller, on l’a fait à des individus arrêtés. Mais je n’accepte pas qu’on m’agresse, moi et ma famille, tout en continuant à me solliciter à tout bout de champ», a martelé le député, vice-président de l’Assemblée nationale, cité par l’Observateur. «Parce que depuis que je vis ces difficultés, que ce soient les populations ou les chefs religieux à Touba, tous ceux qui ont des problèmes viennent me solliciter et je les règle. Alors, si je suis un pestiféré comme on le prétend, pourquoi ne pas m’abandonner à la merci de la poubelle ? Ils doivent cesser de faire des escapades nocturnes chez moi en sollicitant mon indulgence quand ils organisent des «Magal» ou des problèmes de passeports et dans la mêlée, chercher à me détruire. Ça, il faut que je le dénonce parce que je n’ai peur de personne, je ne crains qu’Allah…», dit-il.
Seneweb News
Cissé Lô a émis l’idée de quitter la cité religieuse de Touba. «Si je dérange à Touba, qu’on me foute dehors, si je suis un talibé qui dérange, je peux vendre mes avoirs et m’en aller, on l’a fait à des individus arrêtés. Mais je n’accepte pas qu’on m’agresse, moi et ma famille, tout en continuant à me solliciter à tout bout de champ», a martelé le député, vice-président de l’Assemblée nationale, cité par l’Observateur. «Parce que depuis que je vis ces difficultés, que ce soient les populations ou les chefs religieux à Touba, tous ceux qui ont des problèmes viennent me solliciter et je les règle. Alors, si je suis un pestiféré comme on le prétend, pourquoi ne pas m’abandonner à la merci de la poubelle ? Ils doivent cesser de faire des escapades nocturnes chez moi en sollicitant mon indulgence quand ils organisent des «Magal» ou des problèmes de passeports et dans la mêlée, chercher à me détruire. Ça, il faut que je le dénonce parce que je n’ai peur de personne, je ne crains qu’Allah…», dit-il.
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