Le ministère des Finances et du Budget a organisé, jeudi 20 février, une rencontre virtuelle avec la communauté des investisseurs internationaux afin de partager les conclusions du rapport de la Cour des comptes et présenter les mesures correctives et réformes mises en œuvre ou envisagées pour renforcer la gestion des finances publiques.
Selon un communiqué du ministère, cette réunion qui a réuni 371 participants, comprenant des investisseurs internationaux, en majorité anglo-saxons, américains et européens, s’inscrit « dans une dynamique de transparence vis-à-vis des partenaires économiques du Sénégal et de dialogue permanent et constructif avec ces derniers ». Cet exercice traduit également « une volonté de bâtir une gouvernance financière solide et crédible ». D’après le communiqué, le ministre Cheikh Diba a exposé aux investisseurs les défis liés à la gestion des finances publiques relevés par la Cour des comptes et les réponses apportées par le gouvernement.
La correction des écarts identifiés sera adressée notamment par l’amélioration des mécanismes de contrôle budgétaire ; l’optimisation de la gestion de la dette publique ; le renforcement de la fiabilité des statistiques de finances publiques ; la mise en place d’un système d’information intégré pour une digitalisation des opérations et une meilleure traçabilité des finances de l’État. M. Diba a réitéré l’engagement du gouvernement d’assurer un assainissement progressif des finances du pays avec l’objectif de ramener le déficit budgétaire à 7,1 % du Pib en 2025, puis à 5 % en 2026, pour atteindre 3% d’ici à 2027. Il a également tenu à rappeler que l’État continuera « à considérer favorablement les opportunités de gestion active de sa dette conformément à sa stratégie de gestion de la dette à moyen terme ».
Le Soleil
Selon un communiqué du ministère, cette réunion qui a réuni 371 participants, comprenant des investisseurs internationaux, en majorité anglo-saxons, américains et européens, s’inscrit « dans une dynamique de transparence vis-à-vis des partenaires économiques du Sénégal et de dialogue permanent et constructif avec ces derniers ». Cet exercice traduit également « une volonté de bâtir une gouvernance financière solide et crédible ». D’après le communiqué, le ministre Cheikh Diba a exposé aux investisseurs les défis liés à la gestion des finances publiques relevés par la Cour des comptes et les réponses apportées par le gouvernement.
La correction des écarts identifiés sera adressée notamment par l’amélioration des mécanismes de contrôle budgétaire ; l’optimisation de la gestion de la dette publique ; le renforcement de la fiabilité des statistiques de finances publiques ; la mise en place d’un système d’information intégré pour une digitalisation des opérations et une meilleure traçabilité des finances de l’État. M. Diba a réitéré l’engagement du gouvernement d’assurer un assainissement progressif des finances du pays avec l’objectif de ramener le déficit budgétaire à 7,1 % du Pib en 2025, puis à 5 % en 2026, pour atteindre 3% d’ici à 2027. Il a également tenu à rappeler que l’État continuera « à considérer favorablement les opportunités de gestion active de sa dette conformément à sa stratégie de gestion de la dette à moyen terme ».
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