Né en 1934 à Marsassoum (Sédhiou), Kacha a fréquenté l’école primaire de Tivaouane où il a réussi au concours des Bourses (entrée en sixième).
Après le Baccalauréat qu’il obtint au Lycée Faidherbe, il se présenta et, avec brio, réussit au concours d’entrée à l’Institut des Hautes Études d’Outre-Mer de Paris d’où il sortit avec le diplôme alors très prisé d’Administrateur civil.
À son retour au Sénégal, il aura occupé diverses hautes fonctions aussi bien dans l’administration centrale (Prefet, puis gouverneur) que dans des directions stratégiques du Sénégal post-colonial dont l’Industrie dont il fut nommé chef de service en octobre 1961.
Il y remplaçait le français Maillochaux appelé à piloter le secrétariat général de la Chambre de Commerce de Marseille. La Raffinerie de Mbao fut parmi les grands projets dont il a contribué à la création .
À l’industrie, il servit aux côtés de son ami Abdoul Aziz Wane, de Kanel, qui en était le directeur général. Ce dernier fut le premier ingénieur négro-africain diplômé de la fameuse École Centrale de Paris.
Kacha est un intellectuel de haut niveau , un Foutankais authentique qui aimait bien et œuvrait pour Saldé, village de son arrière-grand-père Tafsir Mamadou Lamine LY, un des derniers almamis du Fouta.
Il descend également d’Abdoulaye Alpha Ciré Kane (père de Racine Abdoulaye, son grand-père maternel) qui assuma la charge de chef de la province des Yirlabé-Hebbiyabé (1894 à 1912) dont Saldé-Tébégoutt était le chef-lieu de 1894 à 1960.
Kacha est un acronyme formé à partir de Kane «Ka», Cheikh «Ch» et Amidou « A». Ce surnom qu’il a porté jusqu’à son dernier souffle lui a été collé par un de ses camarades de promotion, au Lycée Faidherbe de Saint-Louis, Senegal.
Son rappel à Dieu nous plonge dans une grande tristesse car sa générosité de cœur et l’esprit d’ouverture qui l’animait forçaient l’admiration et l’estime de tous.
Paix à son âme et que Jannatul Firdawsi soit sa résidence éternelle !
Harouna Amadou LY dit Harouna Rassoul, oncle, jeune frère et ami du défunt.
Après le Baccalauréat qu’il obtint au Lycée Faidherbe, il se présenta et, avec brio, réussit au concours d’entrée à l’Institut des Hautes Études d’Outre-Mer de Paris d’où il sortit avec le diplôme alors très prisé d’Administrateur civil.
À son retour au Sénégal, il aura occupé diverses hautes fonctions aussi bien dans l’administration centrale (Prefet, puis gouverneur) que dans des directions stratégiques du Sénégal post-colonial dont l’Industrie dont il fut nommé chef de service en octobre 1961.
Il y remplaçait le français Maillochaux appelé à piloter le secrétariat général de la Chambre de Commerce de Marseille. La Raffinerie de Mbao fut parmi les grands projets dont il a contribué à la création .
À l’industrie, il servit aux côtés de son ami Abdoul Aziz Wane, de Kanel, qui en était le directeur général. Ce dernier fut le premier ingénieur négro-africain diplômé de la fameuse École Centrale de Paris.
Kacha est un intellectuel de haut niveau , un Foutankais authentique qui aimait bien et œuvrait pour Saldé, village de son arrière-grand-père Tafsir Mamadou Lamine LY, un des derniers almamis du Fouta.
Il descend également d’Abdoulaye Alpha Ciré Kane (père de Racine Abdoulaye, son grand-père maternel) qui assuma la charge de chef de la province des Yirlabé-Hebbiyabé (1894 à 1912) dont Saldé-Tébégoutt était le chef-lieu de 1894 à 1960.
Kacha est un acronyme formé à partir de Kane «Ka», Cheikh «Ch» et Amidou « A». Ce surnom qu’il a porté jusqu’à son dernier souffle lui a été collé par un de ses camarades de promotion, au Lycée Faidherbe de Saint-Louis, Senegal.
Son rappel à Dieu nous plonge dans une grande tristesse car sa générosité de cœur et l’esprit d’ouverture qui l’animait forçaient l’admiration et l’estime de tous.
Paix à son âme et que Jannatul Firdawsi soit sa résidence éternelle !
Harouna Amadou LY dit Harouna Rassoul, oncle, jeune frère et ami du défunt.