Le journal satirique Charlie Hebdo a porté plainte contre X, jeudi 11 août, après avoir reçu de nouvelles insultes et menaces de mort depuis le début de l’été.
Charlie Hebdo a porté plainte contre X, jeudi 11 août, après avoir reçu une soixantaine de nouvelles menaces de mort depuis le début de l’été, rapporte le Parisien. Depuis la une du 14 juillet où il avait dessiné le footballeur Antoine Griezmann en vibromasseur, l’hebdomadaire a reçu insultes, propos antisémites et des messages tels que « vous allez mourir » sur sa page publique Facebook.
Et les messages de haine ont repris de plus belle avec la publication mercredi 10 août de la caricature d’une homme barbu et d’une femme voilée courant nus sur la plage, assortie du message « Musulmans. Dé-coin-cez-vous ! ». L’un des messages va jusqu’à menacer le journal satirique d’un attentat prochain.
L’enquête a été confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne. Mais il ne s’agit pas des premières menaces depuis l’attentat de janvier 2015. Le 22 juin dernier, une enquête avait été ouverte par le parquet de Paris et la direction du journal avait porté plainte à la suite de plusieurs messages sur la page Facebook du journal.
La rédaction de Charlie Hebdo est toujours sous protection policière renforcée depuis l’attentat du 7 janvier 2015 qui a coûté la vie à douze personnes, dont cinq dessinateurs historiques du titre et deux policiers.
BFMTV
Charlie Hebdo a porté plainte contre X, jeudi 11 août, après avoir reçu une soixantaine de nouvelles menaces de mort depuis le début de l’été, rapporte le Parisien. Depuis la une du 14 juillet où il avait dessiné le footballeur Antoine Griezmann en vibromasseur, l’hebdomadaire a reçu insultes, propos antisémites et des messages tels que « vous allez mourir » sur sa page publique Facebook.
Et les messages de haine ont repris de plus belle avec la publication mercredi 10 août de la caricature d’une homme barbu et d’une femme voilée courant nus sur la plage, assortie du message « Musulmans. Dé-coin-cez-vous ! ». L’un des messages va jusqu’à menacer le journal satirique d’un attentat prochain.
L’enquête a été confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne. Mais il ne s’agit pas des premières menaces depuis l’attentat de janvier 2015. Le 22 juin dernier, une enquête avait été ouverte par le parquet de Paris et la direction du journal avait porté plainte à la suite de plusieurs messages sur la page Facebook du journal.
La rédaction de Charlie Hebdo est toujours sous protection policière renforcée depuis l’attentat du 7 janvier 2015 qui a coûté la vie à douze personnes, dont cinq dessinateurs historiques du titre et deux policiers.
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