Le nouveau directeur général de la Sogip, Dame Modj, a révélé un scandale financier autour d’un prêt de 46 milliards FCFA contracté auprès de la Bank of Africa, destiné à la construction de l’Université Amadou Makhtar Mbow de Diamniadio.
Le prêt, garanti illégalement par l’État sans autorisation parlementaire, a été octroyé à Marylis BTP, une entreprise non signataire du contrat initial et aujourd’hui liquidée. Malgré la résiliation du contrat en 2017 pour retards, rapporte Libération, l’intégralité du prêt a été consommée, laissant la Sogip responsable du remboursement d’une dette pour un chantier inachevé.
La Cour des comptes a dénoncé cette irrégularité dans son rapport, révélant une gestion opaque et des montages douteux, alimentant les soupçons de détournement et de mauvaise gouvernance.
Senego
Le prêt, garanti illégalement par l’État sans autorisation parlementaire, a été octroyé à Marylis BTP, une entreprise non signataire du contrat initial et aujourd’hui liquidée. Malgré la résiliation du contrat en 2017 pour retards, rapporte Libération, l’intégralité du prêt a été consommée, laissant la Sogip responsable du remboursement d’une dette pour un chantier inachevé.
La Cour des comptes a dénoncé cette irrégularité dans son rapport, révélant une gestion opaque et des montages douteux, alimentant les soupçons de détournement et de mauvaise gouvernance.
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