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Les aveugles et les sourds qui chercheraient à cacher leur cécité ou surdité ne pourraient pas duper leur entourage bien longtemps. En revanche, les personnes n’éprouvant ni sentiments ni émotions (appelées pervers narcissiques, manipulateurs ou encore psychopathes) peuvent cacher leur déficience très facilement. N’importe qui, devant son miroir par exemple, peut s’amuser à mimer la peur, la joie, l’inquiétude, la tristesse, l’amour, la haine... sans ressentir ces états au moment de les mimer.
Depuis quelques décennies, la psychologie, la médecine et la biologie étudient ces cas psychopathologiques. Malheureusement, ces études restent encore peu connues de l’opinion publique.
Leur insensibilité sentimentale et émotionnelle (démontrée par l’imagerie médicale IRM) les rend incapables d’empathie, c’est pourquoi ils n’éprouvent aucun remords ni sentiment de culpabilité. Ils sont indifférents au mal qu’ils font et se croient dès lors tout permis.
Cela dit, tout porte à croire que Karim Wade est de cette catégorie de personnes. Il est impitoyable avec son papa, indifférent à son état de santé chancelant, son âge très avancé...
Cette vidéo, qui affole la toile démontre que Karim Wade ne prend pas, du tout alors conscience de la gravité de son acte.
Comment peut-il envoyer un "Vieux" de plus de 90 ans au charbon, se battre pour lui? Car, il s'agit de cela, "Pa Bi" a débarqué à Dakar avec un objectif précis, une feuille de route bien déterminée, fixée -osons le dire-par son fils Karim Meïssa Wade. Lequel, loin du Sénégal, dans sa niche dorée du Qatar, tire les ficelles, manipule habilement son papa et certains responsables du Pds et alliés comme des marionnettes.
Réussissant à asservir son entourage proche, particulièrement son papa, Karim Wade use de l’intrigue. Il s'est entouré de gens choisis pour leur manque d’esprit critique, leur carriérisme... c’est-à-dire des gens complices.
Comme il fallait s'y attendre, Me Wade, de retour au bercail, ne change pas son fusil d'épaule: "Pa Bi" ,toujours dans le ton de la menace, a rameuté toutes ses troupes. Certes il a été accueilli par ses militants et sympathisants mais, au finish son discours est resté guerrier.
Ce grand monsieur de qui l’on attendait plus de sagesse, appelle aujourd’hui les jeunes de notre pays à l’insurrection parce que son fils, Karim Wade, candidat à la présidentielle et ancien pensionnaire de Reubeuss pour cause d’enrichissement illicite a été écarté de la course.
Mais malgré l’accueil populaire dont il a bénéficié et ses allusions pour empêcher la tenue des élections, les candidats en compétition ne l’écouteront pas, leurs militants non plus. Au finish "Pa bi" et son fils jouent au poker perdant.
Depuis quelques décennies, la psychologie, la médecine et la biologie étudient ces cas psychopathologiques. Malheureusement, ces études restent encore peu connues de l’opinion publique.
Leur insensibilité sentimentale et émotionnelle (démontrée par l’imagerie médicale IRM) les rend incapables d’empathie, c’est pourquoi ils n’éprouvent aucun remords ni sentiment de culpabilité. Ils sont indifférents au mal qu’ils font et se croient dès lors tout permis.
Cela dit, tout porte à croire que Karim Wade est de cette catégorie de personnes. Il est impitoyable avec son papa, indifférent à son état de santé chancelant, son âge très avancé...
Cette vidéo, qui affole la toile démontre que Karim Wade ne prend pas, du tout alors conscience de la gravité de son acte.
Comment peut-il envoyer un "Vieux" de plus de 90 ans au charbon, se battre pour lui? Car, il s'agit de cela, "Pa Bi" a débarqué à Dakar avec un objectif précis, une feuille de route bien déterminée, fixée -osons le dire-par son fils Karim Meïssa Wade. Lequel, loin du Sénégal, dans sa niche dorée du Qatar, tire les ficelles, manipule habilement son papa et certains responsables du Pds et alliés comme des marionnettes.
Réussissant à asservir son entourage proche, particulièrement son papa, Karim Wade use de l’intrigue. Il s'est entouré de gens choisis pour leur manque d’esprit critique, leur carriérisme... c’est-à-dire des gens complices.
Comme il fallait s'y attendre, Me Wade, de retour au bercail, ne change pas son fusil d'épaule: "Pa Bi" ,toujours dans le ton de la menace, a rameuté toutes ses troupes. Certes il a été accueilli par ses militants et sympathisants mais, au finish son discours est resté guerrier.
Ce grand monsieur de qui l’on attendait plus de sagesse, appelle aujourd’hui les jeunes de notre pays à l’insurrection parce que son fils, Karim Wade, candidat à la présidentielle et ancien pensionnaire de Reubeuss pour cause d’enrichissement illicite a été écarté de la course.
Mais malgré l’accueil populaire dont il a bénéficié et ses allusions pour empêcher la tenue des élections, les candidats en compétition ne l’écouteront pas, leurs militants non plus. Au finish "Pa bi" et son fils jouent au poker perdant.