Les faits se sont déroulés au quartier Maristes. Il s'est agi d'une plainte formulée par le sieur Oumar Diouf à l'encontre de Salif Mbengue plus connu sous le pseudo de Gaston pour "occupation illégale d'une parcelle au quartier Hann Maristes".
De nos recoupements, dakarposte tient qu'il s'agit d'une parcelle sis au quartier sus indiqué d'une superficie de 293 mètres carrés, découlant d'un morcellement du titre foncier 14.../DG.
A l'époque des faits, il nous revient qu'aucune construction n'était effectué sur le site et selon le plaignant, le mis en cause c'est à dire Gaston Mbengue y aurait effectué un terrassement en vue d'y implanter un enclos et plus tard y réaliser un édifice.
En somme, les nommés Oumar Diouf et Salif Mbengue ont alors entamé un bras de fer qui a fini devant la table de Dame Justice. En cause, chaque partie réclame être propriétaire des lieux.
Le mis en cause et le plaignant ont chacun introduit une demande d'attribution de cette parcelle.
Le plaignant évoque en fait avoir occupé les lieux avant de se rendre en Mauritanie. De retour, il a introduit une demande pour régularisation. Cette requête a , nous souffle t'on, connu un accusé de réception au niveau du bureau des domaines de Dakar. Même cas de figure pour Salif Mbengue dit Gaston. C'est donc cette parcelle que réclame le plaignant en l'occurence Oumar Diouf.
De nos investigations, dakarposte est en mesure de révéler que les enquêteurs, voulant y voir plus clair, ont alors pris langue avec tous les services concernés. Non sans se rendre sur le terrain litigieux.
Selon nos sources, après avoir effectué leurs recoupements ont alors invité les deux parties à produire chacune les actes de propriété relatifs à cette parcelle, pomme de discorde. Il en découle qu'à l'époque le plaignant avait introduit auparavant une demande d'attribution d'une parcelle de 150 m2 à distraire d'une parcelle du T. F 3007 quartier Hann Maristes auprès des Impôts et Domaines de Dakar. C'était en 2001, avons-nous pu glaner.
"Cuisiné" (entendu), le plaignant dira avoir suivi la demande introduite au niveau des services des Impôts et Domaines de Dakar pour l'octroi d'une parcelle sise à Maristes; ce, notamment une parcelle de 150 m2 distraite du T.F 3007 de cette localité. Poursuivant , il soutiendra avoir suivi la demande au niveau du receveur des domaines et Impôts qui a accusé réception de celle-ci.
A l'en croire, au niveau du cadastre c'est la lettre 1003 du 21/06/ 2001 alors qu'au niveau de l'Urbanisme c'est la lettre 1004 de la même...date. C'est ainsi que dira t'il, le cadastre lui alors mis en rapport avec un géomètre et des techniciens pour le bornage de la dite parcelle. Cette opération effectuée, le plaignant entamera par la suite la régularisation de ses documents. Pour conclure, il précisera avoir "himself" viabilisé le terrain avant son séjour en Mauritanie.
Dans leur conclusion, les enquêteurs ont révélé qu'une réquisition à Personne qualifiée adressée au Directeur Régional des Domaines de Dakar aux fins d'être édifiés, a fini de révéler que le terrain est en liséré rouge.
En somme, cette parcelle est occupée par Salif Mbengue mais il ressort que c'est un morcellement du TF suscité, appartenant à l'Institut de Technologie Alimentaire (ITA).
De nos recoupements, dakarposte tient qu'il s'agit d'une parcelle sis au quartier sus indiqué d'une superficie de 293 mètres carrés, découlant d'un morcellement du titre foncier 14.../DG.
A l'époque des faits, il nous revient qu'aucune construction n'était effectué sur le site et selon le plaignant, le mis en cause c'est à dire Gaston Mbengue y aurait effectué un terrassement en vue d'y implanter un enclos et plus tard y réaliser un édifice.
En somme, les nommés Oumar Diouf et Salif Mbengue ont alors entamé un bras de fer qui a fini devant la table de Dame Justice. En cause, chaque partie réclame être propriétaire des lieux.
Le mis en cause et le plaignant ont chacun introduit une demande d'attribution de cette parcelle.
Le plaignant évoque en fait avoir occupé les lieux avant de se rendre en Mauritanie. De retour, il a introduit une demande pour régularisation. Cette requête a , nous souffle t'on, connu un accusé de réception au niveau du bureau des domaines de Dakar. Même cas de figure pour Salif Mbengue dit Gaston. C'est donc cette parcelle que réclame le plaignant en l'occurence Oumar Diouf.
De nos investigations, dakarposte est en mesure de révéler que les enquêteurs, voulant y voir plus clair, ont alors pris langue avec tous les services concernés. Non sans se rendre sur le terrain litigieux.
Selon nos sources, après avoir effectué leurs recoupements ont alors invité les deux parties à produire chacune les actes de propriété relatifs à cette parcelle, pomme de discorde. Il en découle qu'à l'époque le plaignant avait introduit auparavant une demande d'attribution d'une parcelle de 150 m2 à distraire d'une parcelle du T. F 3007 quartier Hann Maristes auprès des Impôts et Domaines de Dakar. C'était en 2001, avons-nous pu glaner.
"Cuisiné" (entendu), le plaignant dira avoir suivi la demande introduite au niveau des services des Impôts et Domaines de Dakar pour l'octroi d'une parcelle sise à Maristes; ce, notamment une parcelle de 150 m2 distraite du T.F 3007 de cette localité. Poursuivant , il soutiendra avoir suivi la demande au niveau du receveur des domaines et Impôts qui a accusé réception de celle-ci.
A l'en croire, au niveau du cadastre c'est la lettre 1003 du 21/06/ 2001 alors qu'au niveau de l'Urbanisme c'est la lettre 1004 de la même...date. C'est ainsi que dira t'il, le cadastre lui alors mis en rapport avec un géomètre et des techniciens pour le bornage de la dite parcelle. Cette opération effectuée, le plaignant entamera par la suite la régularisation de ses documents. Pour conclure, il précisera avoir "himself" viabilisé le terrain avant son séjour en Mauritanie.
Dans leur conclusion, les enquêteurs ont révélé qu'une réquisition à Personne qualifiée adressée au Directeur Régional des Domaines de Dakar aux fins d'être édifiés, a fini de révéler que le terrain est en liséré rouge.
En somme, cette parcelle est occupée par Salif Mbengue mais il ressort que c'est un morcellement du TF suscité, appartenant à l'Institut de Technologie Alimentaire (ITA).