Les observateurs avertis et ceux qui ont blanchi sous le harnais le savent : pour un chef de l’Etat, la fin la plus tragique c’est celle qui l’éjecte de son trône sous l’impulsion d’erreurs qu’il avait la possibilité d’éviter. Le président Macky Sall a, somme toute, les moyens d’empêcher le sieur Idrissa Seck de l’entraîner dans le piège bien tendu dans son vaste ministère de la Parole, qu’il gère avec maestria et avec une insolence calculée, avec le secret espoir de se faire emprisonner avant la tombée (très improbable) de ce grand silence qui l’enverra à la retraite.
Sa circonspection (celle de Macky Sall s’entend) et sa sobriété légendaire vis-à-vis de la vertigineuse logorrhée critique d’un adversaire en quête d’une incertaine rédemption ne doit, pour rien au monde, laisser place à des sorties intempestives destinées à amortir les effets de ses attaques (celles d’Idy s’entend).
Vous avez dit, un chef, maître d’œuvre de son propre piège…
Une autre erreur qui vient s’ajouter aux faux-pas évitables dont nous avons fait état plus haut, c’est le fait d’avoir interdit le meeting du sieur Khalifa Sall quelques heures après l’avoir autorisé. Cet homme, lui aussi, à l’image d’Idrissa Seck, est dans la logique d’une quête de notoriété et sait qu’il ne peut se tailler un bel habit de Présidentiable qu’avec l’aide du « couturier » Macky Sall. Il ne faut pas quand même perdre de vue qu’il a déjà engrangé dans son escarcelle des points importants après que son « rival » socialiste, Tanor Dieng (pour ne pas le nommer) a travaillé à faire convoquer à la DIC de jeunes scoliastes rebelles se réclamant à découvert de son autorité.
Autant de failles dans les postures adoptées par le président Macky Sall et son régime seront forcément préjudiciables à leur image d’ensemble au moment de franchir les prochaines joutes présidentielles. Il est temps donc qu’il rectifie, au risque de le payer cash. Et ce retour sur la ligne droite devrait commencer,à titre illustratif, par des poursuites notamment judiciaires contre ceux-là seconds couteaux du Macky qui ont été tristement épinglés par des rapports (Cour des Comptes) etc...
A bon entendeur...
Mamadou Ndiaye
Dirpub www.dakarposte.com
Mail: njaydakarposte@gmail.com
Sa circonspection (celle de Macky Sall s’entend) et sa sobriété légendaire vis-à-vis de la vertigineuse logorrhée critique d’un adversaire en quête d’une incertaine rédemption ne doit, pour rien au monde, laisser place à des sorties intempestives destinées à amortir les effets de ses attaques (celles d’Idy s’entend).
Vous avez dit, un chef, maître d’œuvre de son propre piège…
Une autre erreur qui vient s’ajouter aux faux-pas évitables dont nous avons fait état plus haut, c’est le fait d’avoir interdit le meeting du sieur Khalifa Sall quelques heures après l’avoir autorisé. Cet homme, lui aussi, à l’image d’Idrissa Seck, est dans la logique d’une quête de notoriété et sait qu’il ne peut se tailler un bel habit de Présidentiable qu’avec l’aide du « couturier » Macky Sall. Il ne faut pas quand même perdre de vue qu’il a déjà engrangé dans son escarcelle des points importants après que son « rival » socialiste, Tanor Dieng (pour ne pas le nommer) a travaillé à faire convoquer à la DIC de jeunes scoliastes rebelles se réclamant à découvert de son autorité.
Autant de failles dans les postures adoptées par le président Macky Sall et son régime seront forcément préjudiciables à leur image d’ensemble au moment de franchir les prochaines joutes présidentielles. Il est temps donc qu’il rectifie, au risque de le payer cash. Et ce retour sur la ligne droite devrait commencer,à titre illustratif, par des poursuites notamment judiciaires contre ceux-là seconds couteaux du Macky qui ont été tristement épinglés par des rapports (Cour des Comptes) etc...
A bon entendeur...
Mamadou Ndiaye
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