A peine à t'il assisté au baptême du fils de son frère Aliou Sall que le chef de l'Etat, qui a passé une zone de fortes turbulences (les fameux événements de l'UCAD) est encore retourné dans sa niche de Popenguine (ndlr: résidence secondaire de tout Président de la République du Sénégal).
Une retraite qui fait délier des langues. Devant un interlocuteur, généralement bien informé de ce qui se trame au sommet de l'Etat, il nous revient que "Macky cherche à renouveler, il se cherche encore, il veut une équipe de choc à même de mouiller le maillot". Macky, à l'image d'un joueur de pari mutuel, cogite sur la bonne combinaison qui pourra conjurer les critiques, les inquiétudes ou les doutes.
Assez informé, le Président n'est pas sans savoir que bien des dossiers, notamment les coupures de courant encore intempestives, mais surtout les inondations notées sèment le trouble au sein des populations. Bref, bien des dossiers, notamment la crise universitaire, le "cas Bassirou Faye", entre autres ont fini de soulever plus d'inquiétudes que d'espoirs, sans compter la situation économique du pays, qui exaspère le commun des Sénégalais, nécessitant une réflexion sereine, loin de toute pression. D'où sa retraite dans la résidence pieds dans l'eau de Popenguine.
Des explications de notre source, nous avons pu glaner que Macky entend donner un nouveau souffle et qu'il ne souhaite qu'une chose "avoir la majorité tant aux législatives qu'aux prochaines échéances Présidentielles". Et, c'est normal qu'il se retire pour cogiter. Car, il ne veut pas, du tout alors que le même scénario des locales se reproduise.
Il nous revient que l'actuel "homme fort du pays" a fini d'avoir une idée claire sur l'ossature gouvernementale qui fera l'affaire. Seulement, Macky est confronté à des hics.
D'abord, que faire de ses alliés dite de la majorité Présidentielle (Benno Bokk Yaakar)? L'APR, c'est connu, entretient constamment des relations en dents de scie avec ses alliés.
Quoi qu'il en soit, avec l'AFP de Moustapha Niass, le climat est au beau fixe, donc lui et son parti ne posent pas de problème.
L'autre dilemme: que faire de certains de ses lieutenants de l'APR? Qui ne font pas le poids, "mais le Président a de l'estime pour eux", notamment pour "leur loyauté à toute épreuve"?
Aussi, avons-nous pu tirer des vers nu nez d'autres canaux, que pas moins de trois grosses pointures du...Pds, qui seraient discrètement démarchés par des émissaires, pour rejoindre le camp Présidentiel, n'auraient pas encore donné leur dernier mot. "Un d'entre eux que je ne vais pas vous dévoiler, a déjà craché dessus, il a dit niet" consent à nous souffler notre interlocuteur.
Qui renchérit que des "figures insoupconnés de l'opposition, qui ont fini de toquer à la porte de Macky, vont faire leur entrée au gouvernement ou se faire nommer à des postes de Directeurs , Pca etc..."
Les prochains jours, nous édifieront bien!
Une retraite qui fait délier des langues. Devant un interlocuteur, généralement bien informé de ce qui se trame au sommet de l'Etat, il nous revient que "Macky cherche à renouveler, il se cherche encore, il veut une équipe de choc à même de mouiller le maillot". Macky, à l'image d'un joueur de pari mutuel, cogite sur la bonne combinaison qui pourra conjurer les critiques, les inquiétudes ou les doutes.
Assez informé, le Président n'est pas sans savoir que bien des dossiers, notamment les coupures de courant encore intempestives, mais surtout les inondations notées sèment le trouble au sein des populations. Bref, bien des dossiers, notamment la crise universitaire, le "cas Bassirou Faye", entre autres ont fini de soulever plus d'inquiétudes que d'espoirs, sans compter la situation économique du pays, qui exaspère le commun des Sénégalais, nécessitant une réflexion sereine, loin de toute pression. D'où sa retraite dans la résidence pieds dans l'eau de Popenguine.
Des explications de notre source, nous avons pu glaner que Macky entend donner un nouveau souffle et qu'il ne souhaite qu'une chose "avoir la majorité tant aux législatives qu'aux prochaines échéances Présidentielles". Et, c'est normal qu'il se retire pour cogiter. Car, il ne veut pas, du tout alors que le même scénario des locales se reproduise.
Il nous revient que l'actuel "homme fort du pays" a fini d'avoir une idée claire sur l'ossature gouvernementale qui fera l'affaire. Seulement, Macky est confronté à des hics.
D'abord, que faire de ses alliés dite de la majorité Présidentielle (Benno Bokk Yaakar)? L'APR, c'est connu, entretient constamment des relations en dents de scie avec ses alliés.
Quoi qu'il en soit, avec l'AFP de Moustapha Niass, le climat est au beau fixe, donc lui et son parti ne posent pas de problème.
L'autre dilemme: que faire de certains de ses lieutenants de l'APR? Qui ne font pas le poids, "mais le Président a de l'estime pour eux", notamment pour "leur loyauté à toute épreuve"?
Aussi, avons-nous pu tirer des vers nu nez d'autres canaux, que pas moins de trois grosses pointures du...Pds, qui seraient discrètement démarchés par des émissaires, pour rejoindre le camp Présidentiel, n'auraient pas encore donné leur dernier mot. "Un d'entre eux que je ne vais pas vous dévoiler, a déjà craché dessus, il a dit niet" consent à nous souffler notre interlocuteur.
Qui renchérit que des "figures insoupconnés de l'opposition, qui ont fini de toquer à la porte de Macky, vont faire leur entrée au gouvernement ou se faire nommer à des postes de Directeurs , Pca etc..."
Les prochains jours, nous édifieront bien!