Esthéticienne de son état,la dame du jour est spécialisée en dermoplastie (ndlr: nom générique des maladies de la peau) . Pour ainsi dire qu'elle a des prédispositions dans le traitement de la peau,l'embellissement, la génération des vieilles cellules.... Un sentier que Gigi comme on la surnomme arpente avec une grande aisance doublée d’efficacité.
Cette native de Dakar qui a grandi entre les quartiers Sicap Liberté, Zone B, Mermoz est la fille de Souleymane Mboup, qui n'est autre que l'ancien DG de la défunte Société Industrielle du Vêtement (SIV) . Il revient à dakarposte que Gigi a très tôt perdu sa mère, mais la belle plante a grandi sous la férule de son regretté père; lequel lui a inculqué des valeurs de probité, de sagesse, mais aussi et surtout d'altruisme. C'est dire donc que le sens du partage qui fait la réputation de "Gigi" est loin d'être fortuit.
La "dame du jour" (Mme Mboup) fustige au plus haut point le mensonge, l’hypocrisie, la délation, la compromission, le manque de respect vis-à-vis du prochain, bref les bassesses qui ont fini de gangréner notre monde.
Du fait, prônant l’excellence en toute chose, elle assoit sa vie sur des principes cardinaux intangibles tels l’amour du prochain, la rigueur, la ponctualité, la franchise, ainsi que la loyauté doublée du respect de la parole donnée et de l’intégrité.
Habibatou Mboup a eu à séjourner pendant des années au pays de Marianne où elle a poursuivi ses études. Dakarposte tient de cette dame,qui a grandi avec Gigi, que cette dernière a d'ailleurs décroché son parchemin en management en France (gestion des PME/PMI).
Très attachée à sa terre natale (le Sénégal), Habibatou Mboup a préféré revenir au bercail , crachant sur d'alléchantes propositions en France. "Elle voulait être aux côtés de ses frères et soeurs pour leur servir de tutrice suite au rappel à Dieu de leur maman" nous souffle notre source. Qui renchérit: "Gigi voulait ouvrir un institut d'esthétique spécialisé en prélastidermi entre autres soins. Malheureusement, elle a revu sa copie, découragée par la triste percée de la dépigmentation au Sénégal. N'empêche, elle a eu à gérer pendant 5 ans l'institut de soins esthétique et cosmétique de l'hôtel Teranga actuel Pullman. Par la suite, elle a préféré mener ses propres activités en tant qu'opératrice économique. Elle coordonne depuis quelques temps des partenariats win-win sur l'échiquier international avec des partenaires ,dans un souci permanent d'être serviable à son pays"
Suivre les informations et documentaires à la télévision, la musique (écouter les sonorités de ses idoles Youssou Ndour et Ndiaga Mbaye), discuter entre autres constituent ses loisirs majeurs. Mais des loisirs qui ne l’éloignent pas de ses centres d’intérêt que sont : le travail, le genre et développement, "mais surtout les études".
De façon particulière, sa passion pour les études remonte à sa prime jeunesse.
Une femme qui a horreur de la facilité
"Contrairement à la plupart des personnes qui privilégient sur le plan professionnel, les chemins courts, Mme Mboup a préféré opté pour le goût du challenge, la volonté d'entreprendre et l'ambition de réussir tout ce qu'elle entreprend".
Infirmant ainsi l’idée préconçue selon laquelle les "femmes aiment la facilité". Exemple édifiant de la femme qui vise l’excellence, elle confie s’être orientée vers l'approfondissement de ses connaissances. Elle a d'ailleurs décroché un autre diplôme sur la gestion entre autres au CESAG de Dakar .
Sa passion pour le management et la gestion a pris racine depuis sa tendre enfance influencée qu'elle était par son père . "Je l'ai vu grandir, cette fille, son plus grand désir était d’aller le plus loin possible dans ses études" nous souffle ce vieux briscard au cheveux de cendre rencontré à la devanture de la municipalité des Sicap et qui connait comme le délinéament de sa main la "dame du jour".
S’imposer par le travail a de tous temps été son leitmotiv. Le meilleur moyen pour parvenir à ce degré d’aisance dans l’exercice de son métier étant à ses dires : le Travail et rien que le Travail. Surtout, le travail bien fait. C’est la principale voie qu’elle emprunte depuis de longues années pour s’épanouir dans cette voie qu’elle a choisie.
Parallèlement, soucieuse du développement de son pays, elle occupe des fonctions maîtresses , précisément la Présidence de l'Alliance de Solidarité et d'Assistance aux Femmes (ASAF) ; un mouvement qui œuvre pour le développement du Sénégal à l’échelle nationale; "mais Gigi entend étendre les tentacules de cette association sur l'échiquier international. "Elle soutient ainsi depuis des années des dames qui souffrent en silence, des couches défavorisées trouvent ainsi leur compte, le réconfort avec l'appui de Gigi" fait savoir une des grosses légumes de cette chaîne de solidarité. Qui nous apprend que Mme Mboup a préféré cette voie sociale plutôt que militer dans un parti politique ou syndicat.
Ses obligations la rendent donc très mobile. Mais une mobilité qui n’a pourtant pas d’énormes impacts sur sa vie familiale. Car, elle use d’une parfaite organisation pour concilier sans trop de difficultés ses rôles de femme active et de "mère poule" de ses frères et soeurs,qui ont très tôt perdu leur mère.
Divorcée, elle a eu à goûter aux délices du mariage pendant deux décennies.
Nous avons appris que la Présidente d'ASAF insiste souvent sur le fait que les femmes doivent sans répit viser l’excellence et être compétentes pour mériter les postes qu’elles occupent ou qu'elles convoitent. "Elle ajoute à leur endroit de se battre pour avoir de bons niveaux de formation pour ne pas se sentir obligées de faire l’apologie d’un chef. Dans le même ordre d’idées, elle recommande aux jeunes filles d’avoir comme objectif premier à atteindre : un bon niveau d’instruction. Une bonne éducation et un bon emploi sont la clé de toutes les réussites, et même de la réussite dans le ménage".
Cette native de Dakar qui a grandi entre les quartiers Sicap Liberté, Zone B, Mermoz est la fille de Souleymane Mboup, qui n'est autre que l'ancien DG de la défunte Société Industrielle du Vêtement (SIV) . Il revient à dakarposte que Gigi a très tôt perdu sa mère, mais la belle plante a grandi sous la férule de son regretté père; lequel lui a inculqué des valeurs de probité, de sagesse, mais aussi et surtout d'altruisme. C'est dire donc que le sens du partage qui fait la réputation de "Gigi" est loin d'être fortuit.
La "dame du jour" (Mme Mboup) fustige au plus haut point le mensonge, l’hypocrisie, la délation, la compromission, le manque de respect vis-à-vis du prochain, bref les bassesses qui ont fini de gangréner notre monde.
Du fait, prônant l’excellence en toute chose, elle assoit sa vie sur des principes cardinaux intangibles tels l’amour du prochain, la rigueur, la ponctualité, la franchise, ainsi que la loyauté doublée du respect de la parole donnée et de l’intégrité.
Habibatou Mboup a eu à séjourner pendant des années au pays de Marianne où elle a poursuivi ses études. Dakarposte tient de cette dame,qui a grandi avec Gigi, que cette dernière a d'ailleurs décroché son parchemin en management en France (gestion des PME/PMI).
Très attachée à sa terre natale (le Sénégal), Habibatou Mboup a préféré revenir au bercail , crachant sur d'alléchantes propositions en France. "Elle voulait être aux côtés de ses frères et soeurs pour leur servir de tutrice suite au rappel à Dieu de leur maman" nous souffle notre source. Qui renchérit: "Gigi voulait ouvrir un institut d'esthétique spécialisé en prélastidermi entre autres soins. Malheureusement, elle a revu sa copie, découragée par la triste percée de la dépigmentation au Sénégal. N'empêche, elle a eu à gérer pendant 5 ans l'institut de soins esthétique et cosmétique de l'hôtel Teranga actuel Pullman. Par la suite, elle a préféré mener ses propres activités en tant qu'opératrice économique. Elle coordonne depuis quelques temps des partenariats win-win sur l'échiquier international avec des partenaires ,dans un souci permanent d'être serviable à son pays"
Suivre les informations et documentaires à la télévision, la musique (écouter les sonorités de ses idoles Youssou Ndour et Ndiaga Mbaye), discuter entre autres constituent ses loisirs majeurs. Mais des loisirs qui ne l’éloignent pas de ses centres d’intérêt que sont : le travail, le genre et développement, "mais surtout les études".
De façon particulière, sa passion pour les études remonte à sa prime jeunesse.
Une femme qui a horreur de la facilité
"Contrairement à la plupart des personnes qui privilégient sur le plan professionnel, les chemins courts, Mme Mboup a préféré opté pour le goût du challenge, la volonté d'entreprendre et l'ambition de réussir tout ce qu'elle entreprend".
Infirmant ainsi l’idée préconçue selon laquelle les "femmes aiment la facilité". Exemple édifiant de la femme qui vise l’excellence, elle confie s’être orientée vers l'approfondissement de ses connaissances. Elle a d'ailleurs décroché un autre diplôme sur la gestion entre autres au CESAG de Dakar .
Sa passion pour le management et la gestion a pris racine depuis sa tendre enfance influencée qu'elle était par son père . "Je l'ai vu grandir, cette fille, son plus grand désir était d’aller le plus loin possible dans ses études" nous souffle ce vieux briscard au cheveux de cendre rencontré à la devanture de la municipalité des Sicap et qui connait comme le délinéament de sa main la "dame du jour".
S’imposer par le travail a de tous temps été son leitmotiv. Le meilleur moyen pour parvenir à ce degré d’aisance dans l’exercice de son métier étant à ses dires : le Travail et rien que le Travail. Surtout, le travail bien fait. C’est la principale voie qu’elle emprunte depuis de longues années pour s’épanouir dans cette voie qu’elle a choisie.
Parallèlement, soucieuse du développement de son pays, elle occupe des fonctions maîtresses , précisément la Présidence de l'Alliance de Solidarité et d'Assistance aux Femmes (ASAF) ; un mouvement qui œuvre pour le développement du Sénégal à l’échelle nationale; "mais Gigi entend étendre les tentacules de cette association sur l'échiquier international. "Elle soutient ainsi depuis des années des dames qui souffrent en silence, des couches défavorisées trouvent ainsi leur compte, le réconfort avec l'appui de Gigi" fait savoir une des grosses légumes de cette chaîne de solidarité. Qui nous apprend que Mme Mboup a préféré cette voie sociale plutôt que militer dans un parti politique ou syndicat.
Ses obligations la rendent donc très mobile. Mais une mobilité qui n’a pourtant pas d’énormes impacts sur sa vie familiale. Car, elle use d’une parfaite organisation pour concilier sans trop de difficultés ses rôles de femme active et de "mère poule" de ses frères et soeurs,qui ont très tôt perdu leur mère.
Divorcée, elle a eu à goûter aux délices du mariage pendant deux décennies.
Nous avons appris que la Présidente d'ASAF insiste souvent sur le fait que les femmes doivent sans répit viser l’excellence et être compétentes pour mériter les postes qu’elles occupent ou qu'elles convoitent. "Elle ajoute à leur endroit de se battre pour avoir de bons niveaux de formation pour ne pas se sentir obligées de faire l’apologie d’un chef. Dans le même ordre d’idées, elle recommande aux jeunes filles d’avoir comme objectif premier à atteindre : un bon niveau d’instruction. Une bonne éducation et un bon emploi sont la clé de toutes les réussites, et même de la réussite dans le ménage".