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Ce qui n'a jamais été dit sur Yérim Sow...Le secret de sa réussite dans les affaires...

Rédigé par Dakarposte le Samedi 27 Mai 2017 à 22:01 modifié le Dimanche 28 Mai 2017 - 03:12

Ce qui n'a jamais été dit sur Yérim Sow...Le secret de sa réussite dans les affaires...
Son statut de milliardaire le suit comme son ombre, mais une ombre insaisissable comme son propriétaire. Depuis près de deux décennies, Yérim Habib Sow cultive le secret, fuyant les médias avec constance et succès jusque là, tout comme pour ses affaires. C'est du moins ce qu’a écrit nos confrères de FORBES.
A 49 ans, du haut de son mètre 85, cet homme à l’allure élégante a su saisir et exploiter les opportunités pour se constituer une fortune estimée à 350 millions de dollars. Yérim Sow, en habile investisseur, déploie son sens prononcé des affaires dans les télécommunications et l’hôtellerie, en passant par les télécoms, l’immobilier, la banque, les énergies, l’industrie et l’agro-industrie.

Fils de...
Issu d’une fratrie de sept enfants, le fils de Aliou Sow, fondateur en 1970 du très puissant groupe de BTP dénommé Compagnie Sahélienne d’Entreprise (CSE), aurait pu se contenter de rejoindre l’empire paternel. Il a préféré se faire un prénom.
Né en 1967 à Dakar, il grandit dans le quartier huppé de Fann Residence. Une enfance et une adolescence dorées, pour un élève réputé brillant et sans histoire. A 18 ans, son bac scientifique en poche, il s’envole pour le Canada où il entre à Polytechnique, à l’université de Montréal. Sorti ingénieur, il fait ensuite cap vers les Etats-Unis voisins où il étudie le commerce à l’université de Boston.
Encore étudiant, il monte sa première entreprise en 1988, à 21ans: Direct Access, spécialisée dans l’informatique. Six ans plus tard, le succès n’est pas au rendez-vous. Yérim Sow se tourne alors vers son père pour solliciter et obtenir un prêt d’un milliard de francs CFA. L’homme compte commercialiser des pagers, sorte de bipeurs permettant de recevoir des messages, à travers des modèles baptisés «bip access». Cette fois, la magie opère. On est en 1994. Ces petits appareils font un tabac auprès de la jeune génération au Sénégal et en Côte d’Ivoire, pays dont il possède aussi la nationalité –car c’est le pays de sa mère, soeur de Mohamed Tiecoura Diawara, ancien ministre du Plan du président ivoirien Félix Houphouët-Boigny.

A force de « creuser », dakarposte en sait davantage sur ce Sénégalais, Ivoirien de coeur de par sa maman.
Il nous revient que c'est son papa, patron de CSE, qui lui a inculqué autant de vertus. Selon ce proche de la famille avec lequel nous avons taillé une bavette, ses parents, particulièrement son papa lui ont constamment fait croire qu’il détient lui-même les cartes de sa réussite dans ses mains.

Des infos glanées, il ressort que la première chose qui a amené Yerim à réussir, ce sont ses atouts naturels. D'abord, « il a vu le jour dans une bonne famille équilibrée ».
En un mot comme en mille, son pater est connu comme un « homme bon,mais assez discret », qui l'a bien encadré, et lui a certainement donné une bonne éducation et de bons conseils. Son papa a,nous souffle t’on, été de tous temps bien attentionné par rapport à sa progéniture, particulièrement à l'endroit de Yerim.



La deuxième chose qui a amené Yerim à la réussite, c'est qu'il a toujours eu le sens de l’écoute, non sans rester posé . C'est connu: une personne qui veut aller loin doit avoir un mentor.
« Le mentor est cette personne qui te conseille, qui te guide, qui te dirige, et qui te veut du bien. Les conseils et les avis du mentor sont appréciables, parce qu'il voit le futur pour toi, et il veut que tu brilles dans ce futur. Combien de personnes ont rejeté leur mentor, croyant, à un moment donné, être devenues capables de tout faire seules ? C'est pourquoi, il existe beaucoup d'échecs dans la vie. Le mentor de Yerim, c'est son papa qui lui donne jusque-là des conseils,notamment sur ses affaires, sur ses fréquentations… » nous souffle cette dame,qui a vu Yerim grandir avant d’éclore.
A l’en croire, Yérim Sow a gardé le même sens de l'écoute et de la soumission, et cela l'a aidé.
Des recherches ont démontré que pour réussir dans la vie, 15% sont attribués aux qualités et aux capacités de la personne (intelligence, jeûnes , ...). Les 85% qui restent sont attribués à ceux qui nous entourent, c'est-à-dire que ton entourage peut t'amener à réussir ou à échouer.
« Tu peux être brillant, mais si tu es mal entouré, tu rates ta vie ! Nous devons faire très attention à notre entourage, aux gens fréquentés » renchérit notre interlocutrice.



La troisième chose qui a conduit Yérim à la réussite, c'est qu'il ,de tous temps eu le sens de la discrétion. Il est d’ailleurs très rare de le croiser dans les mondanités ou autres autres réjouissances de ce monde futile et périssable « C'est encore son papa qui a inculqué cette discrétion à son fils.
De nos recoupements,nous avons pu glaner que Yérim s’active également à Dubaï, « où ses affaires sont encore florissantes,machallah »
Il est malheureusement réputé « près de ses sous » pour ne pas dire pingre.

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