Dans son intervention, le chef de l’Etat, IBK, a souhaité la bienvenue aux différentes chefs d’Etat et leur délégation. Avant de rendre des hommages appuyés au président Hollande, celui qui a fait le choix du Mali pour abriter ce 27è Sommet Afrique/France. «Le 7 novembre 2013, à l’occasion du sommet de l’Elysée pour la paix et la sécurité en Afrique, vous avez fait la proposition de tenir, à Bamako, le présent sommet», a déclaré le président Keïta. Qui a salué l’optimisme du président Hollande pour avoir désigné le Mai, pays hôte du sommet alors qu’il n’était pas complètement sorti de la crise politico-sécuritaire qui l’avait ébranlé jusque dans ses fondements. «Votre initiative traduit la confiance que vous avez dans la capacité de notre pays à renouer avec l’ambition après avoir subi l’épreuve», a ajouté Ibrahim Boubacar. Qui a évoqué sur le rôle joué par la France dans la gestion de la crise sécuritaire dans laquelle notre pays fut précipité, en mars 2012. «Il y a quatre ans, les forces maliennes et françaises étaient engagées pour conquérir le Nord du Mali.. Le peuple malien tremblait et les africains partageaient cette inquiétude ; aujourd’hui, nous sommes réunis pour prendre la dimension de ce qui a été engagé, ici, il y a 4 ans», a déclaré François Hollande, qui constate avec bonheur que, depuis l’engagement de la France au Mali, le terrorisme perd du terrain et n’occupe plus aucun territoire, au Mali. François Hollande a réaffirmé les liens forts qui unissent son pays et l’Afrique et a pris un engagement : «la France restera au Mali jusqu’à ce que l’Etat puisse faire respecter sa souveraineté sur tout le territoire».
Une autre intervention phare ayant marquée la cérémonie d’ouverture, est celle du président Tchadien, et non moins président en exercice de l’Union Africaine, Idriss Deby ITNO et dont le pays a également apporté une importante contribution dans la crise que le Mali a connue. «La tenue de ce sommet en ce début d’année est plein de promesses et porteur d’espoirs ; au-delà de la symbolique de l’agenda, il y a la pertinence de la thématique de nos assises : le Partenariat, la Paix et l’Emergence qui résument nos attentes », a déclaré le président Deby. Avant de faire une brillante intervention sur la lutte contre le terrorisme et le crime organisé au Sahel. Il a prôné une mutualisation des efforts des Etats africains pour endiguer le phénomène. Pour le président Deby, malgré les grandes actions qui ont été engagées au Sahel, la sécurité des Etats reste toujours précaire dans cette bande. Pour le chef de l’Etat Tchadien, il n’y a pas d’autre alternative à la lutte contre le terrorisme : il faut mettre les efforts en synergie. «Aucun Etat seul ne peut y faire face», a-t-il tenu à préciser. Les travaux viennent d’être suspendus pour permettre aux chefs d’Etat de se concerter, à huis-clos.
Une autre intervention phare ayant marquée la cérémonie d’ouverture, est celle du président Tchadien, et non moins président en exercice de l’Union Africaine, Idriss Deby ITNO et dont le pays a également apporté une importante contribution dans la crise que le Mali a connue. «La tenue de ce sommet en ce début d’année est plein de promesses et porteur d’espoirs ; au-delà de la symbolique de l’agenda, il y a la pertinence de la thématique de nos assises : le Partenariat, la Paix et l’Emergence qui résument nos attentes », a déclaré le président Deby. Avant de faire une brillante intervention sur la lutte contre le terrorisme et le crime organisé au Sahel. Il a prôné une mutualisation des efforts des Etats africains pour endiguer le phénomène. Pour le président Deby, malgré les grandes actions qui ont été engagées au Sahel, la sécurité des Etats reste toujours précaire dans cette bande. Pour le chef de l’Etat Tchadien, il n’y a pas d’autre alternative à la lutte contre le terrorisme : il faut mettre les efforts en synergie. «Aucun Etat seul ne peut y faire face», a-t-il tenu à préciser. Les travaux viennent d’être suspendus pour permettre aux chefs d’Etat de se concerter, à huis-clos.