Didier Awadi ne fait pas partie de la campagne de levée de fonds pour le paiement de 1,8 milliard représentant la caution de Khalifa Sall. Le rappeur dément : «L’information selon laquelle je suis signataire d’une pétition pour Khalifa Sall est fausse. Même sa femme n’est pas au courant de cette initiative et le maire lui-même n’en veut pas», a martelé Awadi sur son compte Instagram.
Khalifa Sall est placé sous mandat de dépôt depuis le 7 mars, dans le cadre de l’affaire de la Caisse d’avance. Il est accusé d’avoir détourné, entre 2011 et 2015, 1,8 milliard de francs Cfa représentant le cumul de la dotation mensuelle de la Caisse d’avance de la Ville.
Un groupe de personnalités politiques, religieuses et du monde de la culture ont initié une campagne de levée de fonds pour payer sa caution, fixée à 1,8 milliard. Les initiateurs de cette campagne avaient souligné qu’ils n’avaient pas demandé au maire de Dakar son avis, que ce dernier n’a rien demandé.
Hier, mercredi 7 juin, ils devaient tenir une conférence de presse au siège de la Raddho. L’accès au siège de l'organisation leur a été interdit. Selon le secrétaire général par intérim de la Raddho, Sadikh Niass, la rencontre devait être une tribune pour parler de droits de l’homme et non le lieu pour faire une collecte de fonds.
«Nous ne comprenons pas ce qui a poussé la Raddho à interdire la tenue de notre point de presse dans ses locaux, a déclaré Nicolas Ndiaye, un des initiateurs de la campagne de levée de fonds pour la caution du maire de Dakar. Mais cela ne nous empêchera pas de continuer notre combat pour libérer Khalifa Sall.»
Auteur: Sources : Le Témoin et VoxPOPuli - Seneweb.com
Khalifa Sall est placé sous mandat de dépôt depuis le 7 mars, dans le cadre de l’affaire de la Caisse d’avance. Il est accusé d’avoir détourné, entre 2011 et 2015, 1,8 milliard de francs Cfa représentant le cumul de la dotation mensuelle de la Caisse d’avance de la Ville.
Un groupe de personnalités politiques, religieuses et du monde de la culture ont initié une campagne de levée de fonds pour payer sa caution, fixée à 1,8 milliard. Les initiateurs de cette campagne avaient souligné qu’ils n’avaient pas demandé au maire de Dakar son avis, que ce dernier n’a rien demandé.
Hier, mercredi 7 juin, ils devaient tenir une conférence de presse au siège de la Raddho. L’accès au siège de l'organisation leur a été interdit. Selon le secrétaire général par intérim de la Raddho, Sadikh Niass, la rencontre devait être une tribune pour parler de droits de l’homme et non le lieu pour faire une collecte de fonds.
«Nous ne comprenons pas ce qui a poussé la Raddho à interdire la tenue de notre point de presse dans ses locaux, a déclaré Nicolas Ndiaye, un des initiateurs de la campagne de levée de fonds pour la caution du maire de Dakar. Mais cela ne nous empêchera pas de continuer notre combat pour libérer Khalifa Sall.»
Auteur: Sources : Le Témoin et VoxPOPuli - Seneweb.com