Suite aux événements meurtriers de Tambacounda lundi dernier, l'État a décidé d'assurer la sécurité des candidats qui feront face à Macky Sall pendant la présidentielle. Une offre saluée par Idrissa Seck, Madické Niang et Issa Sall qui ont accueilli la Bip et le Gign à bras ouverts.
Mais, selon Les Échos, le leader de Pastef a opposé une fin de non-recevoir à la décision des pouvoirs publics de doter les candidats d'éléments de la police ou de la gendarmerie pour assurer leur sécurité. Mieux, Ousmane Sonko n'a pas daigné donner les raisons de son refus.