Tout le monde le sait. Khalifa Sall, maire de la ville de Dakar est emprisonné depuis près de sept mois parce que soupçonné d’avoir détourné un peu plus d’un milliard de francs CFA. Mis en cause donc dans le cadre de la gestion de la caisse d’avances de sa municipalité, il est en détention à la prison de Reubeus. Mais, ce que nombre d’observateurs ne comprennent pas, c’est pourquoi l’édile de la capitale est arrêté au moment où les fonctionnaires de l’Etat qui «gèrent» ces deniers publics sont mis sous contrôle judiciaire.
Et, comme pour «ajouter des poils au mouton» – traduction littérale – il est cette fois-ci demandé à l’Assemblée nationale de lever son immunité parlementaire. De quoi faire dire à plusieurs de ses proches que «tout est mis en œuvre pour le mener vers un procès om il sera condamné». Si tel est le cas, il est certain qu’il va perdre ses droits civiques et ne pourra plus se présenter à la présidentielle de 2019. Autant dire qu’il est donc parti pour passer sous la guillotine politique comme cela a été le cas avec Karim Wade, condamné, emprisonné, gracié puis exilé en direction de Doha (Qatar).
Seulement, pour ce qui concerne Khalifa Sall, il faudra bien s’attendre à des représailles. Non pas en usant de la force, mais plutôt d’une stratégie consistant à révéler au grand jour ceux qui ont eu à bénéficier de la caisse d’avances. C’est en tout cas, le souhait de certains de ses proches collaborateurs et autres souteneurs qui veulent surtout faire savoir que l’argent dont il est question a été «effectivement donné à des Dakarois, à des Sénégalais».
Ce qui est certain, actunet a pu apprendre de sources proches de la ville de Dakar que des politiques devenus pontes au sommet dans le régime actuel ont pu bénéficier de cette d’avances. L’un des hauts responsables actuellement au cœur du pouvoir, «s’est vu aidé par le maire de Dakar pour aller se faire soigner», nous apprend notre interlocuteur. Il poursuit en faisant savoir qu’un autre a littéralement été «un locataire de la cour de la ville de Dakar tout le temps que l’Apr était dans l’opposition sans oublier bien entendu des responsables du Parti socialiste (Ps) qui ont également été soutenu à partir de cette caisse» que certains assimilent à une caisse noire du maire de Dakar.
Dans tous les cas, si une telle idée discutée en interne est mise sur la place publique au grand jour, il est clair que les noms qui figureront sur la liste de bénéficiaires donneront des sueurs froides aux Dakarois et aux Sénégalais de manière générale.
Et, comme pour «ajouter des poils au mouton» – traduction littérale – il est cette fois-ci demandé à l’Assemblée nationale de lever son immunité parlementaire. De quoi faire dire à plusieurs de ses proches que «tout est mis en œuvre pour le mener vers un procès om il sera condamné». Si tel est le cas, il est certain qu’il va perdre ses droits civiques et ne pourra plus se présenter à la présidentielle de 2019. Autant dire qu’il est donc parti pour passer sous la guillotine politique comme cela a été le cas avec Karim Wade, condamné, emprisonné, gracié puis exilé en direction de Doha (Qatar).
Seulement, pour ce qui concerne Khalifa Sall, il faudra bien s’attendre à des représailles. Non pas en usant de la force, mais plutôt d’une stratégie consistant à révéler au grand jour ceux qui ont eu à bénéficier de la caisse d’avances. C’est en tout cas, le souhait de certains de ses proches collaborateurs et autres souteneurs qui veulent surtout faire savoir que l’argent dont il est question a été «effectivement donné à des Dakarois, à des Sénégalais».
Ce qui est certain, actunet a pu apprendre de sources proches de la ville de Dakar que des politiques devenus pontes au sommet dans le régime actuel ont pu bénéficier de cette d’avances. L’un des hauts responsables actuellement au cœur du pouvoir, «s’est vu aidé par le maire de Dakar pour aller se faire soigner», nous apprend notre interlocuteur. Il poursuit en faisant savoir qu’un autre a littéralement été «un locataire de la cour de la ville de Dakar tout le temps que l’Apr était dans l’opposition sans oublier bien entendu des responsables du Parti socialiste (Ps) qui ont également été soutenu à partir de cette caisse» que certains assimilent à une caisse noire du maire de Dakar.
Dans tous les cas, si une telle idée discutée en interne est mise sur la place publique au grand jour, il est clair que les noms qui figureront sur la liste de bénéficiaires donneront des sueurs froides aux Dakarois et aux Sénégalais de manière générale.