La réunion que la direction du port de Dakar a convoquée hier pour arrondir les angles avec les acteurs portuaires s’est soldée par un échec. Pour marquer leur désaccord sur la non convocation de certains syndicalistes, les acteurs ont tenu un point de presse pour expliquer les raisons de leur boycott qui risque de se répéter pour la rencontre qui va se tenir aujourd’hui à 9 heures.
La surtaxe que les multinationales imposent au port de Dakar qui est jugée illégale par le ministère du Commerce juge illégale devait être au centre d’une rencontre entre la direction général et les acteurs portuaires a accouché d’une souris. En fait, c’est en protestation contre la non convocation de certains syndicats comme l’Union sénégalaise des entreprises de transit et transport agrées (Usetta) que les autres opérateurs ont boudé la rencontre. La coordination du boycott de la réunion qui devait se tenir à 16 a été assurée oar Idy Thiam, le Président de L’Unacois. Aujourd’hui à 9 heures, une autre réunion doit se tenir entre les autorité du port et les acteurs qui risquent de ne pas y prendre. A propos de cette rencontre, une source concernée nous apprend que les acteurs du port vont s’y rendre mais juste pour dénoncer la tentative de division de leur mouvement , réitérer leur position sur la tarification et la congestion pour ensuite la bouder comme celle d’avant-hier. Au port de Dakar où les négociations peinent à démarrer entre la direction et les acteurs, ces derniers sont pour une rencontre qui n’exclue aucun syndicat ou coordination d’acteurs concernés. La semaine dernière, les acteurs portuaires qui sont composés par les commerçants, les transitaires et les opérateurs étaient montés au créneau pour dénoncer une taxe que la tutelle portuaire à travers le ministère du commerce a estimé illégale. Les acteurs avaient annoncé la saisine du Premier ministre, Mahammed Dionne, et menacé de paralyser toutes les activités au port. En tout cas vu la détermination qu’ils affichent, les acteurs du port ne semblent prêts à faire avec cette taxe prélevée par des multinationales étrangères, en dépit des injonctions du ministère du Commerce, qui la déclare illégale à travers une décision du Directeur du commerce intérieur.
Pour les syndicats, et les commerçants, cette taxe refusée au niveau de tous les autres ports de la sous région est la résultante d’une brèche ouverte par l’ancien régime qui avait pris courant 2010, un arrêté suite à une demande formulée par des armateurs étrangers qui sont parvenus à faire modifier un texte règlementaire du Sénégal. L’arrêté dont il s’agit, porte homologation des prestations locales des agents maritimes et consignataires Cette taxe a été dénoncée par tous les acteurs qui ont été mis devant le fait accompli. En sa qualité de Président de la communauté des acteurs portuaires de Dakar ( CAP/Dakar), Mamadou Mbengue Guèye trouve inadmissible que le guichet unique du port soit attribué à une société étrangère, la Sojet au détriment de Sénégalais qui ont présenté de bonnes offres pour ce service. Tout en demandant à l’Etat de reemettre à plat l’arrêté interministériel sur la libéralisation et le transport des conteneurs, Mbengue Guèye s’accorde avec Massar Sarr de la Sats pour dire que cette taxe en cause est payée par le fournisseurs au départ du conteneur.Ils convoquent une note de DP Word qui déclare n’avoir jamais changé sa tarification pour demander que les sommes ont été indument perçues sur la base de ce taxe leur soient répétées. Les acteurs qui informent en faire un combat de principe ont saisi un avocat à cette fin.
La surtaxe que les multinationales imposent au port de Dakar qui est jugée illégale par le ministère du Commerce juge illégale devait être au centre d’une rencontre entre la direction général et les acteurs portuaires a accouché d’une souris. En fait, c’est en protestation contre la non convocation de certains syndicats comme l’Union sénégalaise des entreprises de transit et transport agrées (Usetta) que les autres opérateurs ont boudé la rencontre. La coordination du boycott de la réunion qui devait se tenir à 16 a été assurée oar Idy Thiam, le Président de L’Unacois. Aujourd’hui à 9 heures, une autre réunion doit se tenir entre les autorité du port et les acteurs qui risquent de ne pas y prendre. A propos de cette rencontre, une source concernée nous apprend que les acteurs du port vont s’y rendre mais juste pour dénoncer la tentative de division de leur mouvement , réitérer leur position sur la tarification et la congestion pour ensuite la bouder comme celle d’avant-hier. Au port de Dakar où les négociations peinent à démarrer entre la direction et les acteurs, ces derniers sont pour une rencontre qui n’exclue aucun syndicat ou coordination d’acteurs concernés. La semaine dernière, les acteurs portuaires qui sont composés par les commerçants, les transitaires et les opérateurs étaient montés au créneau pour dénoncer une taxe que la tutelle portuaire à travers le ministère du commerce a estimé illégale. Les acteurs avaient annoncé la saisine du Premier ministre, Mahammed Dionne, et menacé de paralyser toutes les activités au port. En tout cas vu la détermination qu’ils affichent, les acteurs du port ne semblent prêts à faire avec cette taxe prélevée par des multinationales étrangères, en dépit des injonctions du ministère du Commerce, qui la déclare illégale à travers une décision du Directeur du commerce intérieur.
Pour les syndicats, et les commerçants, cette taxe refusée au niveau de tous les autres ports de la sous région est la résultante d’une brèche ouverte par l’ancien régime qui avait pris courant 2010, un arrêté suite à une demande formulée par des armateurs étrangers qui sont parvenus à faire modifier un texte règlementaire du Sénégal. L’arrêté dont il s’agit, porte homologation des prestations locales des agents maritimes et consignataires Cette taxe a été dénoncée par tous les acteurs qui ont été mis devant le fait accompli. En sa qualité de Président de la communauté des acteurs portuaires de Dakar ( CAP/Dakar), Mamadou Mbengue Guèye trouve inadmissible que le guichet unique du port soit attribué à une société étrangère, la Sojet au détriment de Sénégalais qui ont présenté de bonnes offres pour ce service. Tout en demandant à l’Etat de reemettre à plat l’arrêté interministériel sur la libéralisation et le transport des conteneurs, Mbengue Guèye s’accorde avec Massar Sarr de la Sats pour dire que cette taxe en cause est payée par le fournisseurs au départ du conteneur.Ils convoquent une note de DP Word qui déclare n’avoir jamais changé sa tarification pour demander que les sommes ont été indument perçues sur la base de ce taxe leur soient répétées. Les acteurs qui informent en faire un combat de principe ont saisi un avocat à cette fin.