« J’apprends, par la presse de ce matin, que le sieur Tahibou Ndiaye a médiatisé une citation directe contre Yerimpost pour un article d’ailleurs repris d’un autre site.
Quelle gymnastique pour convoquer mon nom dans cette affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr qui défraie la chronique !
Ainsi donc, le sieur Tahibou Ndiaye a enjambé l’auteur originel de l’article pour viser Yerimpost parce qu’il y a mon prénom dans l’intitulé de ce blog !
De surcroît, c’est plus sensationnel qu’une citation directe servie à Yerimpost soit décrite comme une plainte me visant personnellement !
Le rappel est pédagogique, Yerimpost et Cheikh Yérim Seck sont deux personnes juridiques distinctes. Dans la triviale réalité, il arrive que la rédaction du blog publie des articles que je lis en même temps que tout le monde. Mais bon… L’amalgame fait les affaires de certains…
Comme tout média qui évoque des situations et des hommes, Yerimpost peut naturellement être attrait en justice.
Mais cette escroquerie, qui cherche vaille que vaille à imprimer mon nom dans le buzz ambiant, est dégueulasse.
Elle ne réussira pas à m’impliquer dans cette affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr que mon histoire personnelle m’interdit de commenter. Par décence.
Yerimpost, qui a existé avant cette affaire et lui survivra, ne pouvant ne pas la traiter, la traite avec une neutralité presque caricaturale.
Pour argumenter sa plainte dans les médias de ce matin, Tahibou Ndiaye a donné une information glaçante : il réfute avoir vu et eu des nouvelles de Sonko toutes ces dernières années.
Cette manière de se démarquer de celui qui le défendit publiquement, lorsqu’il se débattit dans une vague houleuse pour enrichissement illicite, relève d’un cynisme total.
Mais c’est ainsi, tous ne sont pas capables d’assumer leurs relations dans l’adversité. Tahibou Ndiaye devait se réjouir de l’article incriminé dont la tonalité globale le décrit dans le rôle normal d’un grand-frère à l’égard d’un petit-frère visé par une grave accusation.
Il a choisi de rétribuer l’engagement de Sonko à ses côtés par une derobade, pour montrer patte blanche. A travers une plainte exprimant clairement qu’il a pris ses distances de la cible pour ne courir le moindre risque de prendre une balle mal ajustée. Quelle tragédie ! »
Cheikh Yérim Seck
Quelle gymnastique pour convoquer mon nom dans cette affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr qui défraie la chronique !
Ainsi donc, le sieur Tahibou Ndiaye a enjambé l’auteur originel de l’article pour viser Yerimpost parce qu’il y a mon prénom dans l’intitulé de ce blog !
De surcroît, c’est plus sensationnel qu’une citation directe servie à Yerimpost soit décrite comme une plainte me visant personnellement !
Le rappel est pédagogique, Yerimpost et Cheikh Yérim Seck sont deux personnes juridiques distinctes. Dans la triviale réalité, il arrive que la rédaction du blog publie des articles que je lis en même temps que tout le monde. Mais bon… L’amalgame fait les affaires de certains…
Comme tout média qui évoque des situations et des hommes, Yerimpost peut naturellement être attrait en justice.
Mais cette escroquerie, qui cherche vaille que vaille à imprimer mon nom dans le buzz ambiant, est dégueulasse.
Elle ne réussira pas à m’impliquer dans cette affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr que mon histoire personnelle m’interdit de commenter. Par décence.
Yerimpost, qui a existé avant cette affaire et lui survivra, ne pouvant ne pas la traiter, la traite avec une neutralité presque caricaturale.
Pour argumenter sa plainte dans les médias de ce matin, Tahibou Ndiaye a donné une information glaçante : il réfute avoir vu et eu des nouvelles de Sonko toutes ces dernières années.
Cette manière de se démarquer de celui qui le défendit publiquement, lorsqu’il se débattit dans une vague houleuse pour enrichissement illicite, relève d’un cynisme total.
Mais c’est ainsi, tous ne sont pas capables d’assumer leurs relations dans l’adversité. Tahibou Ndiaye devait se réjouir de l’article incriminé dont la tonalité globale le décrit dans le rôle normal d’un grand-frère à l’égard d’un petit-frère visé par une grave accusation.
Il a choisi de rétribuer l’engagement de Sonko à ses côtés par une derobade, pour montrer patte blanche. A travers une plainte exprimant clairement qu’il a pris ses distances de la cible pour ne courir le moindre risque de prendre une balle mal ajustée. Quelle tragédie ! »
Cheikh Yérim Seck