« Nous avons introduit plusieurs demandes et pour le président de la République et pour le premier ministre. On aussi adressé une correspondance pour que l’on puisse enfin régler le problème des titres de propriété, les titres fonciers qu’ils nous ont promis.
Mais vraiment nous sommes déçus parce que jusqu’à présent le dossier n’évolue pas. Donc, nous sommes là pour préparer une marche samedi prochain pour poursuivre notre action », a fait savoir Macodou Fall, coordonnateur du collectif des impactés du TER avant d’ajouter: « le président va partir le 2 avril, nous n’allons pas accepter qu’il s’en aille sans pour autant régler notre problème. Nous avons fait des sacrifices pour laisser passer ce grand projet de l’État qu’est le TER. Donc pourquoi le président ne peut pas prendre la chose en main et la régler définitivement.
Tout ce qu’ils font c’est du dilatoire ». Selon Abdou Diop, un des impactés du Ter, les conditions de vie auxquelles ils font face sont très difficiles et n’en peuvent plus. « L’attente a été très longue. Depuis quatre ans déjà, nous courons derrière ce dossier. On ne comprend vraiment rien et nous sommes fatigués. Plus de la moitié d’entre nous sont en location et c’est très difficile ». Pour rappel, ces impactés du TER courent derrière ce dossier depuis 2016.
Ces impactés du Train express régional courent derrière des indemnités, malgré une promesse de l’état du Sénégal de les reloger.
rewmi
Mais vraiment nous sommes déçus parce que jusqu’à présent le dossier n’évolue pas. Donc, nous sommes là pour préparer une marche samedi prochain pour poursuivre notre action », a fait savoir Macodou Fall, coordonnateur du collectif des impactés du TER avant d’ajouter: « le président va partir le 2 avril, nous n’allons pas accepter qu’il s’en aille sans pour autant régler notre problème. Nous avons fait des sacrifices pour laisser passer ce grand projet de l’État qu’est le TER. Donc pourquoi le président ne peut pas prendre la chose en main et la régler définitivement.
Tout ce qu’ils font c’est du dilatoire ». Selon Abdou Diop, un des impactés du Ter, les conditions de vie auxquelles ils font face sont très difficiles et n’en peuvent plus. « L’attente a été très longue. Depuis quatre ans déjà, nous courons derrière ce dossier. On ne comprend vraiment rien et nous sommes fatigués. Plus de la moitié d’entre nous sont en location et c’est très difficile ». Pour rappel, ces impactés du TER courent derrière ce dossier depuis 2016.
Ces impactés du Train express régional courent derrière des indemnités, malgré une promesse de l’état du Sénégal de les reloger.
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