L’Américain Floyd Mayweather a remporté ce que l’on a appelé le « combat du siècle » face au Philippin Manny Pacquiao, ce dimanche 3 mai à Las Vegas, aux Etats-Unis. Toujours invaincu - 48 victoires pour 48 combats -, Floyd Mayweather réunit ainsi les ceintures de champion du monde des welters (63,5 à 66,67 kg) délivrées par la WBA, la WBC et la WBO, trois des quatre grandes fédérations internationales de boxe.
Le « combat du siècle » entre un Floyd Mayweather tout en maîtrise et un Manny Pacquiao pas assez agressif n’aura même pas été le combat de l’année. Et ce, malgré l'hypermédiatisation de l'événement et les près de 150 millions de dollars promis à l’Américain, et la centaine de millions à son adversaire. Du jamais vu dans l’histoire de la boxe et du sport.
C’est finalement à 3 h 58 (TU) que le premier coup de gong retentit, dans une MGM Grand Arena clairement acquise à la cause du Philippin. Après un premier round d’observation, Manny Pacquiao s’enhardit. Mais l’Américain, plus grand et avec des bras plus longs, tient son adversaire à distance, grâce à son incomparable capacité à esquiver les coups.
Le challenger sourit au milieu de la quatrième reprise : un de ses directs du gauche a atteint Floyd Mayweather qui reste statique quelques secondes, la garde haute, pour se protéger d’une pluie de coups.
Floyd Mayweather à l’économie
L’Américain encaisse, presque sans broncher. A la 6e reprise, il nargue son rival en essuyant un enchaînement avec une bordée de « no way » (« pas moyen ») et de « no pain » (« même pas mal »). Aucun des deux champions ne se livre totalement, malgré les acclamations d’un impressionnant parterre de stars présents dans une salle remplie par 16.000 spectateurs et les millions de téléspectateurs. Le poids de l’âge, peut-être, entre un Mayweather de 38 ans qui compte prendre sa retraite à la fin de l’année, et un Pacquiao moins véloce à 36 ans ?
Tout se règle donc durant les onzième et douzième reprises. Avec son habituelle habileté tactique, Floyd Mayweather délivre les quelques coups qui lui permettent d’emporter la victoire après décision des trois juges, malgré les huées du public. Celui que l’on surnomme « Money » (« Argent), « The Best Ever » (« Le meilleur de tous les temps ») ou « Pretty Face » (« Belle gueule ») reste ainsi invaincu chez les professionnels, avec 48 victoires en 48 combats.
Avec RFI
Le « combat du siècle » entre un Floyd Mayweather tout en maîtrise et un Manny Pacquiao pas assez agressif n’aura même pas été le combat de l’année. Et ce, malgré l'hypermédiatisation de l'événement et les près de 150 millions de dollars promis à l’Américain, et la centaine de millions à son adversaire. Du jamais vu dans l’histoire de la boxe et du sport.
C’est finalement à 3 h 58 (TU) que le premier coup de gong retentit, dans une MGM Grand Arena clairement acquise à la cause du Philippin. Après un premier round d’observation, Manny Pacquiao s’enhardit. Mais l’Américain, plus grand et avec des bras plus longs, tient son adversaire à distance, grâce à son incomparable capacité à esquiver les coups.
Le challenger sourit au milieu de la quatrième reprise : un de ses directs du gauche a atteint Floyd Mayweather qui reste statique quelques secondes, la garde haute, pour se protéger d’une pluie de coups.
Floyd Mayweather à l’économie
L’Américain encaisse, presque sans broncher. A la 6e reprise, il nargue son rival en essuyant un enchaînement avec une bordée de « no way » (« pas moyen ») et de « no pain » (« même pas mal »). Aucun des deux champions ne se livre totalement, malgré les acclamations d’un impressionnant parterre de stars présents dans une salle remplie par 16.000 spectateurs et les millions de téléspectateurs. Le poids de l’âge, peut-être, entre un Mayweather de 38 ans qui compte prendre sa retraite à la fin de l’année, et un Pacquiao moins véloce à 36 ans ?
Tout se règle donc durant les onzième et douzième reprises. Avec son habituelle habileté tactique, Floyd Mayweather délivre les quelques coups qui lui permettent d’emporter la victoire après décision des trois juges, malgré les huées du public. Celui que l’on surnomme « Money » (« Argent), « The Best Ever » (« Le meilleur de tous les temps ») ou « Pretty Face » (« Belle gueule ») reste ainsi invaincu chez les professionnels, avec 48 victoires en 48 combats.
Avec RFI