Tangus n’est plus Nekhus ! L’idée unique de street food moderne bat de l’aile. Les travailleurs courent 2 mois derrières de salaires, les points de vente sont fermés un à un. Malgré un financement de 2,5 milliards, le management est décrié. Au-delà, la responsabilité du Fongip quand à la viabilité des projets financés pose la problématique de la gestion des PME.
Selon une source qui s’est confiée au nouveau quotidien « 24 Heures » l’origine de cette est à voire dans le ménagement du groupe : « au début les 25 points de fonctionnaient correctement avec 380 salariés et on n’avait aucun problème de salaire. On percevait nos salaires, avant le 6 de chaque mois. Le problème de Tangus, ce sont les produits importés. Tout ce qu’on importe peut être produit au niveau local » laisse-t-il. Toujours selon le quotidien « des gens qui occupent des postes de ménagers qui courtisaient les jeunes filles et leurs imposaient un chantage et passaient ainsi à des recrutements de convenance. Aujourd’hui, il n’y’a qu’un seul manager qui travaille avec Tangus « confirme-t-il.
Il est d’usage qu’une grande partie des problèmes internes aux organisations sont directement liés à une mauvaise gestion de la communication. C’est le constat à Tangus où « il se pose un problème de communication et de motivation. On travaille de 07 heures à 15 heures et de 15 à 23 heures. Seul le point de l’aéroport fonctionne de 24 heures sur 24 heures. Les travailleurs ne sont pas motivés » nous dit.