Selon la procureure de la CPI, les accusés ont participé à un plan pour corrompre des témoins, quatorze au total.
Le but du plan était "d'obtenir l'acquittement" de Jean-Pierre Bemba dans son procès pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité présumés commis en Centrafrique, sous le défunt président Ange Félix Patassé. Ce procès s’est ouvert en 2010.
Outre M. Bemba, sont poursuivis Aimé Kilolo, son avocat principal, Jean-Jacques Mangenda, un membre de son équipe de défense, Fidèle Babala, un député de son parti, le MLC (Mouvement de libération du Congo), et Narcisse Arido, un des témoins de la défense.
Les cinq hommes ont plaidé non coupable.
Selon l'accusation, ils ont contribué à des degrés divers à ce plan en recrutant les témoins, leur versant de l'argent, leur donnant des téléphones portables ainsi que des instructions visant à orienter leurs témoignages, le tout entre la fin 2011 et novembre 2013.
Le but du plan était "d'obtenir l'acquittement" de Jean-Pierre Bemba dans son procès pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité présumés commis en Centrafrique, sous le défunt président Ange Félix Patassé. Ce procès s’est ouvert en 2010.
Outre M. Bemba, sont poursuivis Aimé Kilolo, son avocat principal, Jean-Jacques Mangenda, un membre de son équipe de défense, Fidèle Babala, un député de son parti, le MLC (Mouvement de libération du Congo), et Narcisse Arido, un des témoins de la défense.
Les cinq hommes ont plaidé non coupable.
Selon l'accusation, ils ont contribué à des degrés divers à ce plan en recrutant les témoins, leur versant de l'argent, leur donnant des téléphones portables ainsi que des instructions visant à orienter leurs témoignages, le tout entre la fin 2011 et novembre 2013.