Dans un discours d'adieu émouvant, Barack Obama a remercié mardi 10 janvier à Chicago les Américains pour leur soutien, assurant que l'Amérique était aujourd'hui "meilleure et plus forte" que lorsqu'il est arrivé au pouvoir il y a huit ans. "Yes we did" ("Oui, nous l'avons fait"), a lancé le président sortant sous un tonnerre d'applaudissements, allusion à son célébrissime slogan de campagne en 2008, "Yes we can" ("Oui, nous le pouvons"). "Il sait qu’une bonne partie de son legs est dans la balance, mais lui estime qu’il laisse des avancées", analyse Gallagher Fenwick, correspondant de France 24 à Washington.
Tout en reconnaissant que la question raciale est toujours un sujet "qui divise" en Amérique, Barack Obama a insisté, lors de son dernier discours en tant que président, sur les progrès accomplisdurant ses deux mandats. Citant les créations d'emplois, la couverture santé ou encore la mort d'Oussama Ben Laden, le démocrate de 55 ans, qui s'apprête à céder la place au républicain Donald Trump, 70 ans, a prononcé un long plaidoyer pour la démocratie. "Notre démocratie est menacée à chaque fois que nous la considérons comme acquise", a-t-il lancé, vêtu d'un costume sombre et d'une cravate bleue, la couleur démocrate. "Tous ensemble, quel que soit notre parti, nous devrions nous attacher à reconstruire nos institutions démocratiques", a-t-il martelé, insistant sur "le pouvoir des Américains ordinaires comme acteurs du changement".
Dans ce discours, "il était énormément question d’unité mais aussi de démocratie : c’est probablement le mot qu'il a le plus prononcé lors de cette allocution, pour dire que si elle n’est pas respectée, célébrée, pratiquée, elle devient très fragile, et que ceux qui la considèrent comme acquise la menacent par cette attitude", explique Gallagher Fenwick.
"Lorsque les taux de participation sont parmi les plus bas des démocraties modernes, nous devrions rendre le vote plus facile, pas plus difficile", a-t-il ajouté depuis le "McCormick Place", au cœur de son fief de l'Illinois. "Notre Constitution est un remarquable cadeau (...) mais elle n'a pas de pouvoir en tant que telle", a-t-il martelé.
Pour une transition pacifique
Le président sortant ne pouvait pas faire ses adieux sans dire quelques mots au sujet de Donald Trump. S'il n'a jamais cité le nom de celui qui lui succèdera le 20 janvier dans le Bureau ovale, il a lancé quelques mises en garde à son attention, en particulier sur le réchauffement climatique. "Nous pouvons, et devons, débattre de la meilleure approche pour s'attaquer à ce problème", a-t-il affirmé.
"Lorsque les taux de participation sont parmi les plus bas des démocraties modernes, nous devrions rendre le vote plus facile, pas plus difficile", a-t-il ajouté depuis le "McCormick Place", au cœur de son fief de l'Illinois. "Notre Constitution est un remarquable cadeau (...) mais elle n'a pas de pouvoir en tant que telle", a-t-il martelé.
Pour une transition pacifique
Le président sortant ne pouvait pas faire ses adieux sans dire quelques mots au sujet de Donald Trump. S'il n'a jamais cité le nom de celui qui lui succèdera le 20 janvier dans le Bureau ovale, il a lancé quelques mises en garde à son attention, en particulier sur le réchauffement climatique. "Nous pouvons, et devons, débattre de la meilleure approche pour s'attaquer à ce problème", a-t-il affirmé.
Tout en reconnaissant que la question raciale est toujours un sujet "qui divise" en Amérique, Barack Obama a insisté, lors de son dernier discours en tant que président, sur les progrès accomplisdurant ses deux mandats. Citant les créations d'emplois, la couverture santé ou encore la mort d'Oussama Ben Laden, le démocrate de 55 ans, qui s'apprête à céder la place au républicain Donald Trump, 70 ans, a prononcé un long plaidoyer pour la démocratie. "Notre démocratie est menacée à chaque fois que nous la considérons comme acquise", a-t-il lancé, vêtu d'un costume sombre et d'une cravate bleue, la couleur démocrate. "Tous ensemble, quel que soit notre parti, nous devrions nous attacher à reconstruire nos institutions démocratiques", a-t-il martelé, insistant sur "le pouvoir des Américains ordinaires comme acteurs du changement".
Dans ce discours, "il était énormément question d’unité mais aussi de démocratie : c’est probablement le mot qu'il a le plus prononcé lors de cette allocution, pour dire que si elle n’est pas respectée, célébrée, pratiquée, elle devient très fragile, et que ceux qui la considèrent comme acquise la menacent par cette attitude", explique Gallagher Fenwick.
"Lorsque les taux de participation sont parmi les plus bas des démocraties modernes, nous devrions rendre le vote plus facile, pas plus difficile", a-t-il ajouté depuis le "McCormick Place", au cœur de son fief de l'Illinois. "Notre Constitution est un remarquable cadeau (...) mais elle n'a pas de pouvoir en tant que telle", a-t-il martelé.
Pour une transition pacifique
Le président sortant ne pouvait pas faire ses adieux sans dire quelques mots au sujet de Donald Trump. S'il n'a jamais cité le nom de celui qui lui succèdera le 20 janvier dans le Bureau ovale, il a lancé quelques mises en garde à son attention, en particulier sur le réchauffement climatique. "Nous pouvons, et devons, débattre de la meilleure approche pour s'attaquer à ce problème", a-t-il affirmé.
"Lorsque les taux de participation sont parmi les plus bas des démocraties modernes, nous devrions rendre le vote plus facile, pas plus difficile", a-t-il ajouté depuis le "McCormick Place", au cœur de son fief de l'Illinois. "Notre Constitution est un remarquable cadeau (...) mais elle n'a pas de pouvoir en tant que telle", a-t-il martelé.
Pour une transition pacifique
Le président sortant ne pouvait pas faire ses adieux sans dire quelques mots au sujet de Donald Trump. S'il n'a jamais cité le nom de celui qui lui succèdera le 20 janvier dans le Bureau ovale, il a lancé quelques mises en garde à son attention, en particulier sur le réchauffement climatique. "Nous pouvons, et devons, débattre de la meilleure approche pour s'attaquer à ce problème", a-t-il affirmé.