Le moins que l'on puisse dire est que ce qu'il est convenu d'appeler "le cas du Parti Socialiste" est loin, très loin même de connaitre son épilogue. Et, pour cause? Dakarposte tient de bonnes sources que le maire socialiste de la commune d'arrondissement de la Médina reste très remonté.
En effet,Bamba Fall,pour ne pas le nommer, a fini d'adopter une posture de loi du Talion. Autrement dit, il entend croiser le fer avec "l'autre partie".
D'ailleurs, il a soutenu que: "Le moment venu, je dirai qui finançait dans le parti pour bruler des pneus entre autres pour faire partir Wade (...)"
Reste à savoir quand et à qui il fait allusion?
En tous les cas, comme fustigé par dakarposte (voir Coup de Gueule ci-contre), il ne restait donc que ça : après avoir, durant des mois, caché dans ses entrailles le monstre de ses propres divisions, le Parti Socialiste a enfin laissé exploser, de manière fort lamentable, le samedi dernier ses limites objectives en termes de gestion des crises multiples qui le déchirent depuis belle lurette. Et l’histoire du Sénégal politique retiendra, pour le regretter, que dans la matinée du samedi 5 mars 2016, l’héritage de Lamine Guèye, de Galandou Diouf, de Senghor et d’Abdou Diouf, du socle de son prestige cinquantenaire, est tombé de manière peu glorieuse dans la jungle des chiffonniers, autant dire dans l’antre des pugilistes de bas étage…
En effet,Bamba Fall,pour ne pas le nommer, a fini d'adopter une posture de loi du Talion. Autrement dit, il entend croiser le fer avec "l'autre partie".
D'ailleurs, il a soutenu que: "Le moment venu, je dirai qui finançait dans le parti pour bruler des pneus entre autres pour faire partir Wade (...)"
Reste à savoir quand et à qui il fait allusion?
En tous les cas, comme fustigé par dakarposte (voir Coup de Gueule ci-contre), il ne restait donc que ça : après avoir, durant des mois, caché dans ses entrailles le monstre de ses propres divisions, le Parti Socialiste a enfin laissé exploser, de manière fort lamentable, le samedi dernier ses limites objectives en termes de gestion des crises multiples qui le déchirent depuis belle lurette. Et l’histoire du Sénégal politique retiendra, pour le regretter, que dans la matinée du samedi 5 mars 2016, l’héritage de Lamine Guèye, de Galandou Diouf, de Senghor et d’Abdou Diouf, du socle de son prestige cinquantenaire, est tombé de manière peu glorieuse dans la jungle des chiffonniers, autant dire dans l’antre des pugilistes de bas étage…