La Banque nationale de développement économique (Bnde) va connaitre sous peu une mue. L’Etat du Sénégal a décidé de
racheterles actions de l’homme d’affaires,Yerim Sow. Un tiers du capital de cette institution financière née des cendres du l’ex Fpe est détenue par l’homme d’affaires. Mais pour avoir un meilleur contrôle sur la banque, en vue de financer le secteur privé, le gouvernement a décidé de lui racheter l’intégralité de ses parts. Il faut dire que la présence de Yerim Sow n’a pas été appréciée par les milieux d’affaires qui ne comprennent pas comment un concurrent peut détenir autant de parts dans une banque destinée à la promotion du secteur privé. Aussi, les capitaux et fonds propres de la BNDE ont dépassé ceux de Bridge Bank, la banque de Sow en Côte d’Ivoire qui est le partenaire principal de la banque sénégalaise. «Même le logo a été loué par Yerim Sow ». Une situation qui a fini par indisposer plus d’un. Les négociationssont en cours et l’homme d’affaires n’est pas fermé à sa sortie définitive du capital. Reste que
le prix à payerrisque d’être fort pour le Sénégal.
Le Soir
racheterles actions de l’homme d’affaires,Yerim Sow. Un tiers du capital de cette institution financière née des cendres du l’ex Fpe est détenue par l’homme d’affaires. Mais pour avoir un meilleur contrôle sur la banque, en vue de financer le secteur privé, le gouvernement a décidé de lui racheter l’intégralité de ses parts. Il faut dire que la présence de Yerim Sow n’a pas été appréciée par les milieux d’affaires qui ne comprennent pas comment un concurrent peut détenir autant de parts dans une banque destinée à la promotion du secteur privé. Aussi, les capitaux et fonds propres de la BNDE ont dépassé ceux de Bridge Bank, la banque de Sow en Côte d’Ivoire qui est le partenaire principal de la banque sénégalaise. «Même le logo a été loué par Yerim Sow ». Une situation qui a fini par indisposer plus d’un. Les négociationssont en cours et l’homme d’affaires n’est pas fermé à sa sortie définitive du capital. Reste que
le prix à payerrisque d’être fort pour le Sénégal.
Le Soir