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Il revient à dakarposte.com que depuis des années, la Première Dame s’est impliquée personnellement et de façon volontaire dans le développement d’un hôpital mobile.
Des informations glanées, elle a eu l’occasion d’organiser à plusieurs reprises, sans tambour ni trompette, avec l’aide d’un pool de médecins rompus à la tâche, des "camps thérapeutique" dans des régions reculées du Sénégal "et a donc pu ainsi se rendre compte du manque d’accès de cette population pauvre aux soins de santé spécialisés".
Selon cette dame A. Ndoye rencontrée à Bargny, au delà des soins offerts, la Première Dame a soulagé plus d'un de par sa présence. Poursuivant, elle confie: "Lorsqu'une personne, ou qu'elle se trouve dans le pays, est malade, souffre en silence parce que démunie, dépendante, quelquefois incapable de communiquer par la parole et qu'on a comme moi des douleurs dans le corps, le plus important, ce ne sont pas les perfusions, les pansements entre autres, mais bien plutôt le sourire, un regard. Marième Faye nous a regardé, elle a souri à tous. Sa présence rassure et une main qui ne vous considère pas comme un objet, mais comme une personne, c'est là que la démarche de soin prend tout son sens. Marième Faye Sall devrait plutôt être surnommée la première servante du peuple"
Ibra, un vieux aux cheveux de cendre, écoutant la dame, toute enthousiaste, d'opiner du bonnet avant d'abonder dans le même sens. "La communication est fondamentale. Quand on prend en charge quelqu'un et qu'on lui donne les éléments de compréhension de sa situation, l'inquiétude et la souffrance diminuent. C'est ce qu'a fait Marième et toute l'équipe médicale. Bref, ils ont fait preuve de ce qui est rare de nos jours: le don de soi, la disponibilité à son prochain qui souffre, l'oreille attentive... C'est réconfortant. Même les superlatifs du Larousse ou du Robert ne suffiront pour remercier Mme la Première Dame du Sénégal"
Cela dit, dakarposte a pu glaner que cet hôpital mobile de la fondation Servir le Sénégal comprend plusieurs unités spécialisées. Il a été équipé en matériel médicale nécessaire pour différentes maladies, pouvant fournir les soins nécessaires aux patients.
Une marée humaine de patients a pu bénéficier gratis des services de cette unité de soins mobile. Vieux, femmes, jeunes, bref toutes les couches Bargnoises et même d'autres fiefs ont été pris en charge par une équipe médicale composée de médecins généralistes et spécialistes.
L'histoire jamais racontée sur Marième Faye Sall
La Première Dame, Marième Faye Sall n’est pas une inconnue pour les Sénégalais et même les étrangers. Elle a su restée présente sur la scène publique, malgré la grande discrétion qui l’a toujours caractérisée.
Elégante, d'une humilité désarmante et distinguée, l’épouse du chef de l'Etat Sénégalais est aussi une femme de cœur. Aussi loin qu’on s’en souvienne, son nom et son image ont toujours été associées à des actions caritatives ou à caractère social.
Elle est relativement jeune, elle est douce et elle respire la fraîcheur d’une excroissance solaire exposée sous les torches d’un solstice d’été. Sa beauté ne se discute pas, même si cette faveur de dame nature est, chez elle, plutôt embusquée que proéminente. Marième Faye Sall, pour ne pas la nommer, a sacrifié autant de prétentions égoïstes au bénéfice des commodités conjugales, à un moment où elle ignorait tout encore de ce que la providence réservait au père de ses trois enfants, celui à qui elle a librement choisi de confier les clés de son cœur, pour le meilleur et pour la vie ! La quarantaine légèrement dépassée, Marième Faye Sall est une personnalité singulière à qui il n’est pas difficile d’appliquer le statut de « grande dame ». De cette grâce féminine, il se dégage un mélange de mystère et d’attractivité magnétique qui rappellent étrangement la délicatesse sculpturale qui caractérise la « Grande Royale », cette héroïne si passionnément décrite par Cheikh Hamidou Kâne dans son roman « L’aventure ambiguë ».
Promue à la plus haute marche de la République consacrée à la femme, cette sénégalaise bon teint garde froidement la tête sur les épaules et continue à développer les réflexes comportementaux les plus attendus chez une femme au foyer…
A vrai dire, la position de première dame que Marième Faye Sall occupe aujourd’hui est loin d’être un privilège usurpé. Elle le mérite largement au regard des qualités exceptionnelles qu’elle présente et que tout homme qui se croit investi d’une mission présidentielle souhaiterait voir chez sa femme. Ceux qui la connaissent de longue date confient qu’elle a la discrétion et le sens de la retenue chevillés à l’âme. Quand on est l’épouse d’un homme politique comme Macky Sall, à qui bien des adversaires se faisaient un point d’honneur d’asséner des coups au bas de la ceinture, on finit forcément par craquer et par se dévoiler si on n’a pas le mental de Marième Faye Sall, cette épouse pas vraiment comme les autres. Auprès de son homme, hier cible de prédilection de ses propres frères de parti dégoulinant de cynisme et de suffisance mal placée, Mme Sall a dû faire des moissons troublantes sur les surfaces de son observation. Mais elle n’a jamais eu pour autant la confidence facile. Elle a vu bien des choses désarmantes dans le giron conjugal, mais n’a presque jamais cru bon d’en faire l’objet d’une conversation ouverte.
En fait Marième Faye a très tôt compris à quel type de mari elle avait affaire, et par conséquent, à quelles exigences morales elle devait sacrifier de façon discontinue pour mériter et son respect et sa confiance. Il faut remonter la source pour comprendre que la passion qui sert de plateforme à l’univers conjugal de ce couple est faite de l’étoffe d’une sincérité inoxydable. Voyons donc !
Cela remonte à un temps dont les habitués du couple, comme Racine Talla, se souviennent bien encore. C’est d’ailleurs le frère de ce journaliste émérite, El Hadji Talla, qui eut l’honneur de faire les présentations entre les deux futurs tourtereaux. Nous sommes au début des années 90. En 1992, pour être plus précis. Et la scène se passe à Diourbel. Comme dans toutes les mémorables histoires d’amour appelées à se sédimenter et à avoir la consistance du silex, tout alla très vite : les murmures porteurs de pépites d’aimant, les carquois de silences chargé de flèches de Cupidon, les jeux de regards romantiques bruissants d’aveux et qui en disent plus long que toutes les litanies d’amour.
Quand la maladie freine les élans de la collégienne
Mais c’est comme si les prémices de cette relation naissante étaient incompatibles, chez Marième Faye, avec la poursuite d’une trajectoire scolaire naissante. En effet, dès les premiers mois, la future épouse fait face à d’inénarrables complications sanitaires et dut quitter les bancs, bien malgré elle. Cet abandon forcé lui ouvre cependant les portes de la mythique université conjugale. La jeune Marième Faye, désormais ex collégienne malgré elle, devient alors l’épouse dévouée du jeune cadre Macky Sall, appelé à faire valoir ses compétences en termes de fidélité et de constance dans la ferveur.
Sur la responsabilité conjugale de Marième Faye, les témoignages convergent et sont admirablement têtus. Nous de www.dakarposte.com avons remué ciel et terre. Mais, loin de tresser des lauriers à la Première Dame, tous nos interlocuteurs, rencontrés à Rufisque, Diourbel, Fatick et Saint Louis, sont unanimes à dire que la native de Rufisque s’est très tôt fait un point d’honneur de montrer à la face des sympathisants du couple combien il lui importait d’être une exceptionnelle femme au foyer. Dans son propos, dans ses gestes comme dans sa démarche au quotidien, ce pari ferme mais discret semblait être l’unique litanie d’un bréviaire sacré.
Une femme juchée au pinacle de ses élans humanistes
Des confidences recueillies auprès de quelques proches du couple Sall relèvent aussi que Marième est d’une générosité alerte et ne veut guère prendre le soin de se perdre en calculs d’épicier lorsqu’arrive le moment de voler au secours de ses semblables qui s’inclinent de désespoir et de privations à la lisière des rigueurs de la vie. Il y a très peu que son époux a été porté à la tête de l’Etat sénégalais, mais elle n’a pas perdu de temps pour prouver à la face des sénégalais à quel point cette réputation de femme altruiste cadre à merveille avec son nouveau statut de première dame. Pour Marième Faye, exister comme première dame dans un pays comme le Sénégal, c’est comme assumer un service sacerdotal consistant à écrire au quotidien des comptes de faits, c’est-à-dire être permanemment en instance de veille à la droite du peuple pour recueillir ses doutes, ses détresses et ses aspirations secrètes.
Les qualités de cette femme singulière nous échappent !
Voilà donc en quelques fugaces ports et traits Marième Faye Sall, cette discrétion faite femme. Peu importe si vous ne saisissez pas, par ces mots, l’essence de ce personnage qui vient pour la première fois d’incarner la vraie femme sénégalaise, sous toutes ses mesures, au cœur de l’avenue Roume. Car le plus important chez les femmes de sa trempe est fait pour échapper aux limites classiques d’une simple description. Qui dit mieux?
Des informations glanées, elle a eu l’occasion d’organiser à plusieurs reprises, sans tambour ni trompette, avec l’aide d’un pool de médecins rompus à la tâche, des "camps thérapeutique" dans des régions reculées du Sénégal "et a donc pu ainsi se rendre compte du manque d’accès de cette population pauvre aux soins de santé spécialisés".
Selon cette dame A. Ndoye rencontrée à Bargny, au delà des soins offerts, la Première Dame a soulagé plus d'un de par sa présence. Poursuivant, elle confie: "Lorsqu'une personne, ou qu'elle se trouve dans le pays, est malade, souffre en silence parce que démunie, dépendante, quelquefois incapable de communiquer par la parole et qu'on a comme moi des douleurs dans le corps, le plus important, ce ne sont pas les perfusions, les pansements entre autres, mais bien plutôt le sourire, un regard. Marième Faye nous a regardé, elle a souri à tous. Sa présence rassure et une main qui ne vous considère pas comme un objet, mais comme une personne, c'est là que la démarche de soin prend tout son sens. Marième Faye Sall devrait plutôt être surnommée la première servante du peuple"
Ibra, un vieux aux cheveux de cendre, écoutant la dame, toute enthousiaste, d'opiner du bonnet avant d'abonder dans le même sens. "La communication est fondamentale. Quand on prend en charge quelqu'un et qu'on lui donne les éléments de compréhension de sa situation, l'inquiétude et la souffrance diminuent. C'est ce qu'a fait Marième et toute l'équipe médicale. Bref, ils ont fait preuve de ce qui est rare de nos jours: le don de soi, la disponibilité à son prochain qui souffre, l'oreille attentive... C'est réconfortant. Même les superlatifs du Larousse ou du Robert ne suffiront pour remercier Mme la Première Dame du Sénégal"
Cela dit, dakarposte a pu glaner que cet hôpital mobile de la fondation Servir le Sénégal comprend plusieurs unités spécialisées. Il a été équipé en matériel médicale nécessaire pour différentes maladies, pouvant fournir les soins nécessaires aux patients.
Une marée humaine de patients a pu bénéficier gratis des services de cette unité de soins mobile. Vieux, femmes, jeunes, bref toutes les couches Bargnoises et même d'autres fiefs ont été pris en charge par une équipe médicale composée de médecins généralistes et spécialistes.
L'histoire jamais racontée sur Marième Faye Sall
La Première Dame, Marième Faye Sall n’est pas une inconnue pour les Sénégalais et même les étrangers. Elle a su restée présente sur la scène publique, malgré la grande discrétion qui l’a toujours caractérisée.
Elégante, d'une humilité désarmante et distinguée, l’épouse du chef de l'Etat Sénégalais est aussi une femme de cœur. Aussi loin qu’on s’en souvienne, son nom et son image ont toujours été associées à des actions caritatives ou à caractère social.
Elle est relativement jeune, elle est douce et elle respire la fraîcheur d’une excroissance solaire exposée sous les torches d’un solstice d’été. Sa beauté ne se discute pas, même si cette faveur de dame nature est, chez elle, plutôt embusquée que proéminente. Marième Faye Sall, pour ne pas la nommer, a sacrifié autant de prétentions égoïstes au bénéfice des commodités conjugales, à un moment où elle ignorait tout encore de ce que la providence réservait au père de ses trois enfants, celui à qui elle a librement choisi de confier les clés de son cœur, pour le meilleur et pour la vie ! La quarantaine légèrement dépassée, Marième Faye Sall est une personnalité singulière à qui il n’est pas difficile d’appliquer le statut de « grande dame ». De cette grâce féminine, il se dégage un mélange de mystère et d’attractivité magnétique qui rappellent étrangement la délicatesse sculpturale qui caractérise la « Grande Royale », cette héroïne si passionnément décrite par Cheikh Hamidou Kâne dans son roman « L’aventure ambiguë ».
Promue à la plus haute marche de la République consacrée à la femme, cette sénégalaise bon teint garde froidement la tête sur les épaules et continue à développer les réflexes comportementaux les plus attendus chez une femme au foyer…
A vrai dire, la position de première dame que Marième Faye Sall occupe aujourd’hui est loin d’être un privilège usurpé. Elle le mérite largement au regard des qualités exceptionnelles qu’elle présente et que tout homme qui se croit investi d’une mission présidentielle souhaiterait voir chez sa femme. Ceux qui la connaissent de longue date confient qu’elle a la discrétion et le sens de la retenue chevillés à l’âme. Quand on est l’épouse d’un homme politique comme Macky Sall, à qui bien des adversaires se faisaient un point d’honneur d’asséner des coups au bas de la ceinture, on finit forcément par craquer et par se dévoiler si on n’a pas le mental de Marième Faye Sall, cette épouse pas vraiment comme les autres. Auprès de son homme, hier cible de prédilection de ses propres frères de parti dégoulinant de cynisme et de suffisance mal placée, Mme Sall a dû faire des moissons troublantes sur les surfaces de son observation. Mais elle n’a jamais eu pour autant la confidence facile. Elle a vu bien des choses désarmantes dans le giron conjugal, mais n’a presque jamais cru bon d’en faire l’objet d’une conversation ouverte.
En fait Marième Faye a très tôt compris à quel type de mari elle avait affaire, et par conséquent, à quelles exigences morales elle devait sacrifier de façon discontinue pour mériter et son respect et sa confiance. Il faut remonter la source pour comprendre que la passion qui sert de plateforme à l’univers conjugal de ce couple est faite de l’étoffe d’une sincérité inoxydable. Voyons donc !
Cela remonte à un temps dont les habitués du couple, comme Racine Talla, se souviennent bien encore. C’est d’ailleurs le frère de ce journaliste émérite, El Hadji Talla, qui eut l’honneur de faire les présentations entre les deux futurs tourtereaux. Nous sommes au début des années 90. En 1992, pour être plus précis. Et la scène se passe à Diourbel. Comme dans toutes les mémorables histoires d’amour appelées à se sédimenter et à avoir la consistance du silex, tout alla très vite : les murmures porteurs de pépites d’aimant, les carquois de silences chargé de flèches de Cupidon, les jeux de regards romantiques bruissants d’aveux et qui en disent plus long que toutes les litanies d’amour.
Quand la maladie freine les élans de la collégienne
Mais c’est comme si les prémices de cette relation naissante étaient incompatibles, chez Marième Faye, avec la poursuite d’une trajectoire scolaire naissante. En effet, dès les premiers mois, la future épouse fait face à d’inénarrables complications sanitaires et dut quitter les bancs, bien malgré elle. Cet abandon forcé lui ouvre cependant les portes de la mythique université conjugale. La jeune Marième Faye, désormais ex collégienne malgré elle, devient alors l’épouse dévouée du jeune cadre Macky Sall, appelé à faire valoir ses compétences en termes de fidélité et de constance dans la ferveur.
Sur la responsabilité conjugale de Marième Faye, les témoignages convergent et sont admirablement têtus. Nous de www.dakarposte.com avons remué ciel et terre. Mais, loin de tresser des lauriers à la Première Dame, tous nos interlocuteurs, rencontrés à Rufisque, Diourbel, Fatick et Saint Louis, sont unanimes à dire que la native de Rufisque s’est très tôt fait un point d’honneur de montrer à la face des sympathisants du couple combien il lui importait d’être une exceptionnelle femme au foyer. Dans son propos, dans ses gestes comme dans sa démarche au quotidien, ce pari ferme mais discret semblait être l’unique litanie d’un bréviaire sacré.
Une femme juchée au pinacle de ses élans humanistes
Des confidences recueillies auprès de quelques proches du couple Sall relèvent aussi que Marième est d’une générosité alerte et ne veut guère prendre le soin de se perdre en calculs d’épicier lorsqu’arrive le moment de voler au secours de ses semblables qui s’inclinent de désespoir et de privations à la lisière des rigueurs de la vie. Il y a très peu que son époux a été porté à la tête de l’Etat sénégalais, mais elle n’a pas perdu de temps pour prouver à la face des sénégalais à quel point cette réputation de femme altruiste cadre à merveille avec son nouveau statut de première dame. Pour Marième Faye, exister comme première dame dans un pays comme le Sénégal, c’est comme assumer un service sacerdotal consistant à écrire au quotidien des comptes de faits, c’est-à-dire être permanemment en instance de veille à la droite du peuple pour recueillir ses doutes, ses détresses et ses aspirations secrètes.
Les qualités de cette femme singulière nous échappent !
Voilà donc en quelques fugaces ports et traits Marième Faye Sall, cette discrétion faite femme. Peu importe si vous ne saisissez pas, par ces mots, l’essence de ce personnage qui vient pour la première fois d’incarner la vraie femme sénégalaise, sous toutes ses mesures, au cœur de l’avenue Roume. Car le plus important chez les femmes de sa trempe est fait pour échapper aux limites classiques d’une simple description. Qui dit mieux?
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