Les secouristes ont continué d'arpenter les côtes de Kalamata, en Grèce, à la recherche de survivants au naufrage du bâteau de pêche qui a fait au moins 79 morts ce mercredi. Il s'agit du pire naufrage d’un bateau de migrants depuis 2016. A Kalamata, les habitants se relaient pour venir en aide aux rescapés.
"Nous sommes choqués. C'est quelque chose que le cerveau humain ne peut pas comprendre. Nous sommes tous des êtres humains, des parents et quand ces choses arrivent, nous sommes choqués et nous pensons au déroulement de ces tragédies. La communauté s'est mobilisée, les autorités locales, de nombreuses organisations ont également apporté de la nourriture pour ces personnes. Et de nombreux habitants m'ont appelé pour me proposer de nous apporter ce dont ces personnes avaient besoin. Tout le monde a réagi positivement" a commenté la situation le maire de Kalamata, Athanasios Vasillopoulos.
Selon le témoignage des rescapés, le navire transportait près de 750 personnes. Les autorités grecques ont décrété trois jours de deuil national.
"Quand ces choses arrivent, nos pensées vont à ces gens. Nous ne voulons pas que des gens meurent ici ou ailleurs. Ces gens ont le droit de venir chez nous et en Europe et nous devrions prendre soin d'eux. C'est incroyable comment cela s'est passé avec seulement ce vent. J'espère qu'il y aura plus de survivants et que nous les aiderons de toutes les manières possibles" se désole Gioli Kambouropoulou, une habitante venue en aide aux rescapés.
Dès que les premiers survivants ont atteint le port de Kalamata, de nombreux habitants étaient déjà là pour leur offrir des vêtements, de la nourriture et des médicaments. Des psychologues sont là pour aider et soutenir les survivants, mais personne ne peut leur apporter de réponse à la question cruciale: qu'est il arrivé aux proches à bord de l'embarcation ?
"Nous sommes choqués. C'est quelque chose que le cerveau humain ne peut pas comprendre. Nous sommes tous des êtres humains, des parents et quand ces choses arrivent, nous sommes choqués et nous pensons au déroulement de ces tragédies. La communauté s'est mobilisée, les autorités locales, de nombreuses organisations ont également apporté de la nourriture pour ces personnes. Et de nombreux habitants m'ont appelé pour me proposer de nous apporter ce dont ces personnes avaient besoin. Tout le monde a réagi positivement" a commenté la situation le maire de Kalamata, Athanasios Vasillopoulos.
Selon le témoignage des rescapés, le navire transportait près de 750 personnes. Les autorités grecques ont décrété trois jours de deuil national.
"Quand ces choses arrivent, nos pensées vont à ces gens. Nous ne voulons pas que des gens meurent ici ou ailleurs. Ces gens ont le droit de venir chez nous et en Europe et nous devrions prendre soin d'eux. C'est incroyable comment cela s'est passé avec seulement ce vent. J'espère qu'il y aura plus de survivants et que nous les aiderons de toutes les manières possibles" se désole Gioli Kambouropoulou, une habitante venue en aide aux rescapés.
Dès que les premiers survivants ont atteint le port de Kalamata, de nombreux habitants étaient déjà là pour leur offrir des vêtements, de la nourriture et des médicaments. Des psychologues sont là pour aider et soutenir les survivants, mais personne ne peut leur apporter de réponse à la question cruciale: qu'est il arrivé aux proches à bord de l'embarcation ?